Rétiaire

char possédant 4 chevaux est un quadrige et avec 2 chevaux c'est un bige. Le conducteur s'appelle l'aurige. _ des combats de gladiateurs: Ils sont entraînés dans des écoles de gladiateurs (ludi gladiatorii).Les différents gladiateurs sont: - le retiaire: il posséde un filet et un trident - le thrace: il est muni d'un bouclier, d'une armure, d'un casque et d'une courte épée - le samnite: lui, posséde une épée et un bouclier plus longs et est lourdement armé - le gaulois et le myrmillon: quant

Pars, s'il le faut. L'un court, et l'autre se tapit
 Pour tromper l'ennemi vigilant et funeste,
 Le Temps! Il est, hélas! des coureurs sans répit, Comme le Juif errant et comme les apôtres,
 À qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau,
 Pour fuir ce rétiaire infâme; il en est d'autres
 Qui savent le tuer sans quitter leur berceau. Lorsque enfin il mettra le pied sur notre échine,
 Nous pourrons espérer et crier: En avant!
 De même qu'autrefois nous partions pour la Chine,
 Les yeux fixés au large et

sanglote ; La fête qu’assaisonne et parfume le sang ; Le poison du pouvoir énervant le despote, Et le peuple amoureux du fouet abrutissant ; Comme le Juif errant et comme les apôtres, A qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau, Pour fuir ce rétiaire infâme ; il en est d’autres Qui savent le tuer sans quitter leur berceau. Plusieurs religions semblables à la nôtre, Toutes escaladant le ciel ; la Sainteté, Comme en un lit de plume un délicat se vautre, Dans les clous et le crin cherchant

Pars, s’il le faut. L’un court, et l’autre se tapit Pour tromper l’ennemi vigilant et funeste, Le Temps ! Il est, hélas ! des coureurs sans répit, Comme le Juif errant et comme les apôtres, A qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau, Pour fuir ce rétiaire infâme ; il en est d’autres Qui savent le tuer sans quitter leur berceau. Lorsque enfin il mettra le pied sur notre échine, Nous pourrons espérer et crier : En avant ! De même qu’autrefois nous partions pour la Chine, Les yeux fixés au large et les

Un fantôme, il est montré comme un « noir assassin » et Le Goût du néant le dessine engloutissant le poète minute après minute15. On le retrouve « ennemi vigilant et funeste » dans le poème final Le Voyage où il endosse également l'image d'un « rétiaire infâme » qui nous prendrait dans ses filets. La Chambre double de Le Spleen de Paris en fait un « hideux vieillard » qu'accompagne « son démoniaque cortège de Souvenirs, de Regrets, de Spasmes, de Peurs, d’Angoisses, de Cauchemars, de Colères et

LXXXV Ami, ne fais aucun projet pour demain. Sais-tu, seulement, si tu pourras achever la phrase que tu vas commencer ? Demain, nous serons peut-être loin de ce caravansérail, et déjà pareils à ceux qui ont disparu, il y a sept mille ans. LXXXVI Ô rétiaire des cœurs, prends une urne et une coupe ! Allons-nous asseoir au bord du ruisseau. Svelte adolescent au clair visage, je te contemple et je songe à l'urne et à la coupe que tu seras, un jour. LXXXVII Il y a longtemps que ma jeunesse est allée rejoindre

s’il le faut. L’un court, et l’autre se tapit Pour tromper l’ennemi vigilant et funeste, Le Temps ! Il est, hélas ! des coureurs sans répit, Comme le Juif errant et comme les apôtres, À qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau, Pour fuir ce rétiaire infâme : il en est d’autres Qui savent le tuer sans quitter leur berceau. Le voyage, Charles Baudelaire LE BARON : Vous ne me ferez point changer d’avis, cher Charles. Il est temps pour moi de lever l’ancre, de prendre le large. C’est ici que

restent chez eux en attendant la mort ; la conclusion sur les voyage → inutile ; (v.8) « Le Temps » majuscule donc personnification → allégorie image concrète qui exprime une notion  + l’ennemi vigilant et funeste (qui apporte la mort/malheur) + « ce rétiaire infâme » cruauté et violence quand la mort s’abat sur nous (hyperbole négatif) Le voyage vers la mort : métaphore filée (métaphore qui dure pendant tout le texte) ; allégorie (expression d’une idée par une image/histoire) de la mort : capitaine

fonction de la catégorie à laquelle le gladiateur était destiné : * Les mirmillons : armés légèrement ; * Les samnites : armés avec de lourds équipements ; * Les thraces : armés de sabres courts et porteurs de boucliers ; * Les rétiaires : armés avec leur trident et leur filet ; * Les bestiaires : préparés à affronter les fauves. Il existait donc des « écoles » dans les villes italiennes qui logeaient, équipaient et entraînaient ces hommes. Capoue était justement un centre

Robert, L’Écritoire. Outils pour la lecture et la rédaction des textes raisonnés, Montréal, McGraw-Hill, coll. du « Savoir plus », 1991, 189 p. TREMBLAY, Robert, Savoir faire. Précis de méthodologie pratique, Montréal, McGraw-Hill, coll. du « Rétiaire », 1994, 321 p. THOMAS, Adolphe V., Dictionnaire des difficultés de la langue française, Paris, Larousse, 1981, 435 p. TIMBAL-DUCLAUX, Louise, La prise de notes efficace, Paris, Retz, 1988, 163 p.