Revenu disponible

! ! ! ! ! ! ! ! ! Savoir lire et interpréter un rapport interdécile, une courbe de Lorenz, le coefficient de Gini, un strobiloïde, Connaître les principaux instruments de mesure des inégalités. Distinguer inégalité de patrimoine et inégalité de revenu. Connaitre les principales inégalités sociales Expliquer le rôle des inégalités économiques sur les inégalités sociales et le caractère cumulatif des inégalités Décrire l’évolution des inégalités et le rôle du patrimoine dans l’explication de cette

que le ménage va placer son revenu disponible celui qui n’est pas destinée a une consommation immédiate en vue d’obtenir un meilleur rendement dans le futur mais cela implique un sacrifice cet argent épargné pourra servir a acheté une voiture une maison ou tout simplement a prévenir les risque ( maladie, accident ect…). 1. Définition de l'épargne. Les ménages renoncent parfois à certaines consommations immédiates et épargnent une partie de leur revenu disponible pour acquérir, dans le futur

utilisent une partie de leur revenus et épargnent l’autre. (LT : Biens durable Entreprise ( CT : trésorerie courante. Emprunter l’argent qu’on n’a pas et qu’on récupérera après) (LT : Bâtiments, matériel Administrations (CT : Il y a des frais régulier avec des impôts qu’on reçoit une fois par an. Donc besoin d’une trésorerie. (LT : Investissement publics B. La capacité de financement Ménage : Revenus (15% des revenus épargné par les français) L’argent

importation, exportation, variation des stocks b) Les opérations de répartition Il s’agit des revenus créés entre les différents SI. Ce sont des transferts de revenu entre SI. Répartition primaire : elle concerne la répartition des revenus entre SI en fonction de leur contribution à la production (Rémunération des salariés, Impôts liés à la production et à l’importation (DD), les subventions d’exploitations, TVA Les revenus de la propriété et de l’entreprise (RPE) issus de la possession d’un actif : loyer,

impôts T 16 A. La consommation (agrégée), C Composante la plus importante de la demande globale (≈ 60%). Quels sont ses déterminants potentiels ? Le revenu disponible, i.e. le revenu après impôts : YD = Y − T = Revenu − Impôts Le revenu est ici le revenu macroéconomique comprenant à la fois les revenus du travail (salaires ) et les revenus du capital (patrimoine mobilier et immobilier) La consommation dépend également des possibilités d’emprunt et du coût du crédit (à la consommation), donc

ressources * Leurs revenus * L'argent qu'ils peuvent emprunter * celui qu'ils peuvent retirer de leur patrimoine (désépargne) Ces ressources sont employées pour * Leur consommation * Leurs impôts et taxes * Leurs remboursements d'emprunts * Leur constitution d'épargne et leurs investissements (immobiliers...). En principe l'épargne sert à une consommation différée dans le temps. On voit donc que la consommation dépend des revenus des consommateurs, mais

au niveau des agents économiques. Pour les ménages la hausse des prix entraine une perte du pouvoir d’achat. Le pouvoir d’achat peut se définir comme la quantité de biens et de services consommé en fonction du revenu disponible qui ce calcule de la façon suivante : revenu disponible= revenus primaires (salaire, loyer, intérêt) – cotisation sociale – impôts + prestation sociale (allocation familiale). Lorsque les prix baissent les ménages voient leur pouvoir d’achat augmenter ainsi que leur niveau

Les sceptiques ont encore quelques raisons de l’être. La consommation des ménages — le moteur par excellence d’une croissance autoentretenue — reste faible par rapport au PIB (graphique 2). Ce ratio est nettement inférieur à celui d’autres pays à revenu comparable et d’autres pays asiatiques. Il est aussi faible si l’on considère la tendance observée dans d’autres pays à forte croissance tels que la Corée et le Japon, où, durant leurs années de décollage, la consommation avait baissé en pourcentage

individus ? Doc 3 p.94. 1. L’auteur dit qu’assimiler niveau économie et statut social est très simplificateur car la différence entre les métiers ne se réduit pas seulement à une différence de revenus. Assimiler les deux n’est pas précis et ne fait pas des différences pour tout, il s’agit uniquement du revenu. 2. Le document nous explique comment les CSP sont classés, quels critères sont pris en compte pour les différences et quels sont ceux qui sont plus important que d’autres. Doc 1 p.93. 1

Les hôteliers indépendants II. Généralités sur le « Revenu management » 1. Définition du revenue management 2. Indicateurs de performance III. La mise en place d’une stratégie « revenue management » pour l’hôtellerie indépendante 1. Principes de tarification 2. Les conditions de la mise en place d’une stratégie de revenue management 3. Le processus d’implantation du yield management 4. Offrir plusieurs prix optimise les revenus IV. Comment définir sa stratégie tarifaire pour 2014