Révolution scientifique

Bibliographie Lectures obligatoires : FLECK, Ludwig, Genèse et développement d’un fait scientifique, Paris, Flammarion, 2008, coll. « Champs sciences ». En entier. JAMES, William, Le Pragmatisme, Paris, Flammarion, coll. « Champs ». En entier. JAMES, William, La Volonté de croire, trad. Loÿs Moulin, Paris, Les Empêcheurs de penser en rond, 2005. Lisez le chap. 1 : « La volonté de croire ». Pour approfondir : BERGSON, Henri, La pensée et le mouvant, Paris, PUF, 2003, coll. « Quadrige ». Le chap. VIII

pensée économique, Cours magistral de M. Nicolas Chaigneau INTRODUCTION : DE L’INTERET DE L’HISTOIRE DE L’ANALYSE ECONOMIQUE SECTION 1 : PARADIGMES ET REVOLUTIONS SCIENTIFIQUES 4 4 1. Kuhn et la structure des révolutions scientifiques (1962) 4 2. La notion de paradigme en économie 4 A. La révolution scientifique : une vision a priori pertinente en économie 4 B. La coexistence de plusieurs paradigmes en économie 5 SECTION 2 : LES DIFFICULTES DE LA REFUTATION

(le scientifique doit se détacher de toutes préoccupations normatives comme par exemple la philosophie, la morale ou la religion ; il ne doit pas se demander ce qui serait souhaitable ou bénéfique dans le cadre de l’organisation de l’ordre politique mais il doit s’attacher à étudier les faits, à observer et le raisonnement scientifique doit se fonder sur des démonstrations ; il va séparer un regard clinique, froid et objectif porté sur les faits des jugements de valeurs), puis le scientifique doit

s'appuie sur 2 notions : La notion de paradigme La notion de réfutation Section – Paradigme et révolutions scientifiques 1/ Kuhn et la structure des révolutions scientifiques Ouvrage de sociologie des sciences. Il observe le fonctionnement des communautés scientifiques notamment les physiciens. On retrouve une forte cohésion entre les membres de cette communauté du fait d'un consensus scientifique et méthodologique. Ils travaillent au sein d'un même paradigme et cherchent à résoudre des énigmes

sur le tard est devenu un historien des sciences voir un philosophe, il a proposé ce concept dans «De la Structure des Révolutions scientifiques ». Quand on veut un recul, un esprit critique il faut avoir réfléchis à l’importance des mots. Notre vocabulaire n’est pas neutre, ça façonne notre façon de voir le monde. Il s’est dit que dans le domaine de la recherche scientifique le premier domaine était les sciences de la nature. Il faut mathématiser le monde. Kuwn propose quelques concept pour expliquer

Samuel "La Structure des Révolutions Scientifiques" Trad. Française, Paris : Flammarion, 1972. TABLE DES MATIÈRES : * BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR * POSTULATS ET HYPOTHESES * MODE DE DEMONSTRATION * RESUME 1. L’acheminement ver la science normale. 2. La nature de la science normale. 3. La science normale. Résolution des énigmes. 4. Antériorité des paradigmes. 5. Anomalie et apparition des découvertes scientifiques. 6. Crise et apparition des théories scientifiques. 7. Réponse à la crise

des révolutions scientifiques, 1962) définit le concept de paradigme. Ce sont des pensées convergentes, consensuelles. On a eu pendant quelques siècles, par exemple, un paradigme visant à dire que la Terre est plate. En science sociale, le paradigme ne meure jamais (puisqu’il n’y a pas de vérité absolue), en revanche, en science dure, un paradigme chasse l’autre (puisqu’il y a des preuves) - Karl POPPER (La logique de la découverte scientifique, 1935) montre comment la démarche scientifique se démarque

membre des Archives Henri Poincaré (LPHS, UMR 7117 du CNRS), Nancy. Résumé L’article propose une analyse comparative des positions de Popper et de Kuhn sur quatre points liés : la comparaison des « cadres théoriques » ou des « paradigmes scientifiques » ; le pouvoir contraignant que sont susceptibles d’avoir les arguments invoqués dans les discussions critiques ; les éléments qui, en fin de compte, pèsent ou doivent peser sur les praticiens lorsqu’il s’agit d’élire un cadre théorique au détriment

Commentaire d'un texte de Nietzsche portant sur la formation des concepts scientifiques Résumé: ce texte m'a servi à poser à mes élèves la question suivante : quelle conception du travail scientifique, et de la science en général, soutient Nietzsche dans ce texte ? Mon but était donc, en proposant cet exercice, de vérifier leurs connaissances en ce qui concerne le cours " théorie et expérience ". Ce qui explique que j'accorde plus de place et donc d'importance, dans mon corrigé, à l'intérêt philosophique

Introduction                 Pour le scientifique comme pour le philosophe, pour tout homme qui recherche la vérité, « vouloir avoir raison » semble légitime. Mais, à travers l’usage de cette expression dans le langage courant, on manifeste souvent le reproche d’une volonté pervertie en un désir tyrannique ou désespéré d’imposer coûte que coûte son point de vue à son auditoire ou de s’en persuader soi-même. Alors « vouloir avoir raison » est-ce critiquable ?                 La délimitation de l’acte