Ridicule

appel : «  Hélas ! Non » (v 1531-1532). La fin de la scène 4 de l’acte V touche au ridicule et dans l’expression du désespoir amoureux. Arnolphe est lui-même confronté aux «  mystères d’amour » (v1139). « Chose étrange d’aimer » (v1572), confronté par un sentiment qu’il ne comprend pas et qu’il ne peut contrôler. Mais il est trop tard, il a laissé passer sa chance. A l’opposé d’un Arnolphe maître de lui et ridicule au début de la pièce, il devient tragique dans son amour pour Agnès (v1586-1589, 1594-1596)

mon fait »). • Il est ridicule : il est toujours dans l’excès avec ses propos extrêmes ; il jure et il a des gestes brusques (différent de la Cour ; = paysans, rustres). Le spectateur aurait presque pitié pour lui ; c’est un vrai personnage de comédie. • Alceste dit des sottises qui le rendent comiques à comédie. Mais il a aussi parfois raison et on se moque de lui à tragédie. • Alceste croit qu’il a raison : « je veux qu’on me distingue » (mais pas de manière ridicule !). • Il sait très bien

que le fond et en pratiquant les exagérations linguistiques, le Précieux se place sur le fil du rasoir, entre le bon goût et le ridicule. Plus il s'éloigne du naturel et de la spontanéité, plus il tombe dans l'affectation et le grotesque. Elmire utilise donc ce vocabulaire extravagant et fortement mélioratif à ses fins. Molière dans son oeuvre « Les précieuses ridicules » a fort bien raillé et dépeint les travers de ces extravagances de langage, de manières et d'habits. Dans cette V scène

leur maître: “je n’ai jamais rien vu de si méchant que ce maudit vieillard”. Ceci mène aussi à l’isolation de H. • H fouille la Flèche jusqu’à un degré extrême. H a peur des autres et est paranoïde. • H interroge la Flèche d’une manière ridicule et il dit exactement ce qu’il ne veut pas dire: “…que j’ai chez moi de l’argent caché. > Vous avez de l’argent caché?” H ne comprend pas les autres et a un pauvre rapport avec eux. • H suspecte ses enfants de l’avoir entendu parler de son argent

» et terme «artifices » = culte de l’apparence et superficialité des femmes. → Périphrase «une épaisseur de cheveux étrangers » = masques ridicules → Attelage = «ils leurs préfèrent des repas, des viandes, et des amours ridicules » = ironie → «peindre » au lieu de «maquiller », «étalent avec leur gorge », «précipite le déclin » =absurde, ironique → Ridicule et ironie au service de la caricature et donc de la satire = les courtisans n’ont qu’un seul but : ils veulent plaire à tout prix et s’attirer

malgré elle, à M. Thomas Diafoirus, le fils de son médecin. Heureusement celle-ci trouve un puissant auxiliaire dans sa servante Toinette qui ne craint pas d’affronter le courroux d’Argan et même de Béline, sa seconde femme, pour s’opposer à ce ridicule mariage. Il est vrai que Béline ne demande pas mieux que d’éconduire de la maison les enfants d’un premier lit ; même, par des caresses perfides, elle flatte les faiblesses de son mari, lui donne des témoignages hypocrites de tendresse, jusqu’à ce

Cet extrait est la scène d’exposition d’un Vaudeville de Feydeau mettant en scène la bourgeoisie, avec histoires légères et personnages caricaturaux. I/ Une scène comique * Construite sur un jeu de mots : Hébrides _ Objet d’une conversation ridicule. Follavoine se trompe sur l’orthographe du mot. Le spectateur ne l’apprend qu’à la fin de la scène (l.60). * Le comique de caractère : Rose -> personnage ignorant. Dans son attitude  (« ouvre de grands yeux », « abrutie », « voulant avoir

2 : Flaubert : Charles Bovary victime du rire de toute la classe = le rire rassemble au détriment de quelqu’un (doc4) Doc 3 : Ridicule : celui qui ne sait pas l’effet du rire, son intelligence devient ridicule (doc5) Doc4 : Victor Hugo, l’homme qui rit Les gens de la cour anglaise se moquent de gwynplaine. Hélàs son discours progressiste s’en trouve tourné en ridicule Doc5 : Bergson Le rire, 1900 Pour une il faut se détacher de l’émotion Le rire s’adresse à l’intelligence Le rire est celui

est enrichissant car tout simplement chaque pièce est unique et différente à chaque séance. Les aspects comiques sont la plupart du temps au service d’une réflexion plus perspicace. La comédie s’utilise avec l’ironie mais aussi en dénonçant les ridicules des mœurs d’une société. Le but premier d’une comédie est principalement de divertir mais cela représente aussi la communauté. De plus, il ne faut pas s’arrêter au premier degré mais il faut concevoir le message que l’auteur a voulu exprimer. L’ironie

connait les sentiments du personnage, ses pensées, et les évènements passés et présents. C'est ainsi que l'on peut relever à la ligne 5 " un peu gêné, intimidé, mal à l'aise ", à la ligne 16 " L'esprit anxieux, harcelé surtout par la crainte d'être ridicule ", à la ligne 5/6 " il portait un habit pour la première fois de sa vie ". Donc le point de vue omniscient est bien dominant dans le texte. 3. Duroy est vêtu d'un plastron trop mince, d'une chemise à quatre francs cinquante, de bottines