Ridicule

typique pour les romans de Zola. On voit cette influence dans le fait qu’il montre du mépris envers l’inconnue malgré son désir et cela car il avait peur d’être ridicule: « Cette fille l’occupait, un sourd débat bourdonnait en lui, le mépris qu’il était heureux d’afficher, la crainte d’encombrer son existence, s’il cédait la peur de paraitre ridicule ». Ce mépris des femmes est donc apparemment une caractéristique des artistes qui vivent ensemble. Le trouble psychologique de Claude se déduit au début du

dictature. Gogo dit une seule phrase : il n’a pas compris. Il n’a pas sa place de chef. Analyse de la prestation scénique Costumes : Le costume de Gogo se résume à une simple boule de neige et une couronne d’une taille démesurée : la couronne rend Gogo ridicule car cela montre qu’il a un énorme ego et qu’il veut être impressionnant, mais cela a l’effet inverse, comme elle est trop grande pour sa tête ça le ridiculise. La boule de neige peut signifier qu’il ne sait pas gérer les problèmes car la neige fond

cocufié par Agnés et confident de celui qui le cocufie). deux valets (zanni)et deux vieillards jouent ces sketches. Les deux vieillards (Pantalon/ le docteur, ou Pantalon/ Ottavio) sont des bourgeois : Pantalon est marchand de Venise, souvent ridicule et amoureux, c’est un tendre qui fait rire. Le docteur est un pédant, libidineux souvent. Les deux valets, Arlequin et Brighella s’opposent : Brighella vif, rusé, et intéressé par l’argent, berne souvent Arlequin balourd et gourmand, souvent amoureux

soutenue par la violence d’Arnolphe exaspéré par l’indifférence d’Agnès Il faut imaginer Agnès droite vaguement ennuyée et Arnolphe excité B. Une déclaration d’amour ridicule Il explique son amour par une métonymie ridicule : mon pauvre petit bec : champs lexical de l’amour sincère aux accents lyriques. Il promet des choses ridicules : bonheur éternel, de s’arracher les cheveux… Impératifs nombreux qui dévoilent son caractère tyrannique ; et qui mélangé à ses mimiques montrent le jeu de comédien

souligne, dans le sonnet Marcher d’un grave pas, le ridicule. En quoi l’ironie est-elle ici au service du poète ? Nous montrerons, à la fois ce caractère ridicule des courtisans, leur moralité des douteuses et comment le poète se livre dans Marcher d’un grave pas à un portrait de lui –même sans complésance . I. Le ridicule des courtisants II. Moralité douteuse III. Portrait qu’il fait de lui-même sans complésance I. Le ridicule des courtisans DU BELLAY choisit de monter

On peut également trouver une rime entre crin et lapin pour accentuer cet effet ridicule. ➔ À travers le nom donné à la femme, Prévert se moque des titres donnés seulement aux familles bourgeoises. Après une description de la femme il y les présidents qui arrivent et qui « sucent les cure-dents que leur jette la femme ». Le passage est assez ridicule et les présidents sont décrits comme étant vieux mais avec de l’argent « leurs souliers neufs craquent et les

de son public.Le rire du public est provoqué par une exagération des traits de caractères débauchés des personnages. Au travers de ses personnages déficients, Molière raisonne sur leurs défauts par le biais de l’exposition de ce défaut de manière ridicule. En effet, le rire chez Molière ne repose pas sur l’expulsion d’un ennemi mais sur

attribue à la comédie un effet moralisant parallèle à celui qui est aussi attribué à la tragédie. La tragédie purge des passions, la comédie nettoie les ridicules. C’est le principe fameux Castigat ridendo mores (par le rire les mœurs sont châtiées, vieil adage latin). La représentation du « ridicule » est dotée d’une efficience morale : « Le ridicule est la forme extérieure et sensible que la providence de la nature a attaché à tout ce qui est déraisonnable, pour nous en faire apercevoir, et nous obliger

construction : «fais que ...»/«entre tous» et «que ceux qui ... ceux qui». Par ailleurs, Voltaire fait encore référence aux faiblesses de l’homme : qu’elles soient physique «débiles corps»(L9), intellectuelle «langage insuffisant»(L9), de moeurs «usages ridicules»(L10), institutionnelle «lois imparfaites»(L10) ou sociale «conditions disproportionnées»(L11). Ainsi, Voltaire s’adresse en réalité aux hommes et les exhorte à mettre fin à l’intolérance religieuse qui est au centre de sa prière aux hommes.

procédés visant à provoquer une réaction du spectateur, cest pourquoi à une même lecture peut correspondre différentes interprétations. Toutefois, dans la plupart des comédies, un personnage a souvent pour unique fonction de faire rire par son ridicule, tel que Harpagon dans l'Avare de Molière, et son célèbre monologue " je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré " lorsqu il découvre le vol de sa "chère cassette. On remarque ici que le personnage a une réaction disproportionnée