Rimbaud Modernité Et Tradition

ressemblances, des affinités, qui est bien obligé de s'exprimer de temps en temps par des classements »(T). Tout finalement même et surtout l'unique s'élève à ce mon de qu'est la République des Lettres, ou pour G. « la Littérature » (« mot dont la curieuse modernité ne s'est pas encore dissipée »G.) Vient ensuite la définition de cet esprit classificateur qui en réalité est ce que G. nomme la « critique pure », critique pure puisque « [elle] porte non sur des êtres, non sur des œuvres mais sur des essences

vision de l’univers, où il découvre de secrètes « correspondances ». Après les Fleurs du mal (1857) qui lui valurent une condamnation pour immoralité, son œuvre critique et ses petits poèmes en prose (1869) sont à la source de la réflexion sur la modernité. - Queneau : Né au Havre 1903 – Mort à Paris 1976, écrivain français. Fondateur de l’oulipo, il a fait de son œuvre romanesque et poétique une expérimentation systématique, à la fois humoristique et mélancolique, des possibilités de la langue

Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867. « Dante d'une époque déchue »1 selon le mot de Barbey d'Aurevilly, nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire du XIXe siècle. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non

fantastique. Celle ci lui permet alors d'aller chercher en dehors du réel son inspiration. L'absence de ponctuation tt au long du poeme nous laisse imaginer la liberté d'esprit de cepoete qui ne se met aucune contraintes. Ce qui ns fait penser à Rimbaud et Baudellaire qui, avec Apollinaire étaient taxés de «poètes maudis» car ils allaient chercher ailleurs que dans la réalité leur inspiration. Le pont Mirabeau INTRO Guillaume Apollinaire est un poète et écrivain français. D'après

satire Repères Inspirées de textes latins (la parenté est évidente entre l’Ysengrimus de Nivard, un moine de Gand qui écrit vers 1150, et certains épisodes et noms du Roman de Renart), les histoires du goupil appartiennent également à une tradition universelle, celle des contes d’animaux, que l’on retrouve par exemple dans les civilisation indienne ou arabe. Les auteurs semblent s’amuser à mettre en scène des animaux vivant à l’image des hommes : chacun, roi ou simple paysan, est rarement

chevaleresque, matière bretonne : Satire de Cervantès dans Don Quichotte. Dante ou l’Italie Dante est considéré comme le Sommet de la poésie moderne avec la  vita nuova  (vie nouvelle), qui est l’éloge du renoncement amoureux. Ainsi, selon la tradition courtoise, Dante afin de faire la cour à Béatrice, il chante à une autre femme, cependant il le fait si bien, que Béatrice ne le salue plus. Dante comprend désormais que l’essentiel sera la transfiguration poétique de cet amour. Il écrivit aussi

passionnés, tels Albert Lazeau, Louis Dantin, Albert Ferland font de la poésie pure. Elle se caractérise par la musicalité des sons, la beauté des images, l’expression du moi. Ce genre littéraire heurte l’idéologie du terroir. Ch. Baudelaire, A. Rimbaud, P. Verlaine sont les modèles de ces poètes montréalais qui célèbrent l’art pour l’art. Ils insistent particulièrement sur la liberté du choix de la thématique. On les appelle les « exotistes » parce qu’ils puisent leur inspiration ailleurs. Il s’agit

travers le langage. La poésie, chez René Char, est affaire de « matinaux », fidèles au vœu baudelairien (Le Peintre de la vie moderne) de voir le monde « en nouveauté » et à l’ivresse printanière de l’enfant, de l’infans, prêt, comme le bateau ivre de Rimbaud, à quitter les chemins de halage et à se jeter dans l’océan de la vie, à bras le corps ou à corps perdu, mais sans se réfugier derrière la protection des idées. Le roman de Kourouma, Les Soleils des indépendances, ne se réduit pas à une dénonciation

Lamartine, Vigny, Musset, ne passera pas le cap des bouleversements idéologiques et politiques des 1848-50, c'est, avec l'inusable Hugo, le romantisme « noir » qui survivra au mouvement et en assurera la continuité avec les écrivains de la modernité (Baudelaire, Rimbaud, Lautréamont principalement) et, par-delà, avec ceux de la génération surréaliste. C'est lui encore qui fondera, dans la période 1850-1880, la contestation du réalisme officiel et installé. Le romantisme noir ou romantisme obscur, caractérise

passant par Baudelaire, jusqu’aux symbolistes. Les formes du fantastique sont bien diverses chez les romantiques. Les personnages de Bertrand sont des créatures mi-humaines mi-divines des contes populaires ; Nerval, dans ses Chimères, utilise la tradition héritée de la mythologie grecque ou égyptienne qui se mêlent à la Kabale et aux rêveries tirées de l’existence du poète (pour Nerval, le rêve est une autre vie, aussi réelle que l’autre, et la folie n’est peut-être pas la faiblesse, mais un monde