Rimbaud Parnasse

au classicisme(=mouvement basé sur l’esthétisme, recherche de la perfection, dessine un idéal incarnant «l'homme honnête et parfait »). -principaux auteurs : V.Hugo, Chateaubriand, Musset, Johann Wolfgang von Goethe, Arthur Rimbaud(partagé entre le romantisme et le parnasse). les critères de l'écriture romantique : -attitude non-conformiste, anti-classicisme -écriture individuelle et très personnelle -la liberté d'écriture : -vers libéré -beau et laid= complémentaire -le culte

restituer et critiquer la réalité . Pour enfin dire que bien souvent les poètes se laissent "emporter" non pas par l'imagination mais par leurs sentiments Avec une première partie , illustrée par Verlaine "de la musique avant tout " , Boileau et le parnasse , " un sonnet sans défaut vaut seul un long poème" , Apollinaire et ses calligrammes .. Une deuxieme partie avec d'aubigné , les tragiques = guerre de religion , V.hugo = querelle anciens/Moderne + napoleon 3 et les poète engagés/resistant Aragon

bohème parisienne. Il voyage contre son gré dans les Indes pour être éloigné de Paris ; ce périple nourrira son imaginaire exotique. Baudelaire n’appartient à aucun mouvement ou courant particulier ; influencé par le Romantisme et son Spleen, et le Parnasse, il influencera à son tour les symbolistes. D’après Baudelaire, le poète doit admirer la « modernité » qui consiste à refuser les canons habituels de la Beauté : le « beau » peut être « bizarre ». L’artiste doit explorer les correspondances entre

poètes maudits se sentent marginaux, entre souffrance et fierté face à ce statut anti-conformiste ; ils sont volontiers provocateurs ; hypersensibles(« il faut se faire voyant » RIMBAUD) ils transmettent des émotions subtiles parfois énigmatiques (« çà veut dire ce que çà veut dire, littéralement et dans tous les sens » RIMBAUD) : le lecteur doit être un interprète et pas seulement un récepteur. LE ROMANTISME (1800-1850) : réaction La poésie refuse l’héritage philosophique et rationnel des Lumières

« Il pleut doucement sur la ville » est une dédicace à Rimbaud. RAPPEL Le Parnasse, ici suivi par Verlaine, est né en réaction contre le romantisme : on refuse ces confidences personnelles, débridées et larmoyantes (dont les représentants sont Théophile Gauthier, Lamartine). Rimbaud et Verlaine ne sont pas parnassiens. Ils vont au-delà et ne refusent pas le romantisme. Selon eux, toutes les influences sont bonnes. Ils font donc « du neuf avec du vieux ». NB : Ceux qui sont considérés comme

définitivement deux genres séparés. Au XIX eme siécle, les poétes s'inspireant d'Orphée mais le sonnet est en concurence avec l'ode. Pour finir, le parnasse, mouvement littéraire et poétique du XIX ème siécle, a pour but de valoriser l’art poétique par la retenue, l'impersonnalité et le rejet de l'engagement social et politique de l'artiste. Le Parnasse apparaît en réaction aux excès lyriques et sentimentaux du romantisme imités de la poésie de Lamartine et de Musset qui mettent en avant les épanchements

perfection formelle sans faille. La conception moderne de la poésie fut inaugurée à la moitié du siècle par Baudelaire, avec la publication des Fleurs du mal (1857), texte fondateur d'une nouvelle esthétique. Tout en utilisant, comme le recommandait le Parnasse, des formes fixes traditionnelles tel le sonnet, Baudelaire bouleversa les anciennes conceptions du genre. Pour lui, le langage poétique (en particulier dans l'élaboration de l'image poétique) pouvait opérer une transmutation du monde réel ; passé

termine au milieu du XIXème siècle, supplanté par le réalisme et le Parnasse. Les auteurs principaux de ce mouvement sont : Lamartine, Vigny, Hugo, Musset, Chateaubriand, et Nerval. Le Réalisme est un mouvement littéraire et culturel de la seconde moitié du XIXème siècle. Il est naît par réaction au mouvement romantisme vers 1850, et se termine vers 1950 en étant supplanté par le surréalisme, le symbolisme et le parnasse. Les artistes réalistes manifestent le désir de représenter la réalité

fonction quelque peu décorative. Dans ces conditions, la poésie a pu être considéré comme artificiel, c'est à dire sans fondement et presque gratuite. C'est ce que reproduisent certain poèmes versifiés dont la construction est parfaite. A cet égard, le Parnasse constitue une école symboliste qui cultive la conception artistique de « l'art pour l'art ». Le poème est un joyaux musical dont l'intérêt serait tout simplement de pouvoir l'admirer et l'écouter. Nous pensons à Mallarmé dans Apparition qui révèle

poétique » : « deux quatrains de mesure pareille », « ensuite six vers, artistement rangés » doivent bannir toute « licence ». Le poète devait se soumettre à ce « dieu bizarre » qu’est Apollon, sans discuter. La Pléiade, Malherbe, le classicisme ou le Parnasse ont pris parti pour les règles formelles et exigent du poète qu’il s’y conforme. Ces contraintes sont-elles une entrave à la poésie et à la création ? Jaillissement de l’esprit –souvent intuitif-, virtualités. Les contraintes fournissent un cadre