Ripert Morale

les trois premières ? Il n’y a pas de transition de l’albatros au poète. Le poète semble aborder un thème nouveau mais l’outil de comparaison « semblable » éclaire immédiatement l’analogie entre l’albatros et le poète  clé du poème, morale, conclusion. La dernière strophe mêle des références à l’animal et au poète : « ses ailes de géant l’empêchent de marcher » renvoie au champ lexical du poète et de l’animal. Dans la première strophe, il évoque un cas général : adverbe

Ensuite, nous pouvons voir qu’il y a une autre caractéristique de l’apologue qui lie les deux textes, ces deux textes ont chacun une morale, une leçon à tirer. La moralité des textes de Jean de la Fontaine et de Jean Anouilh est de façon indirecte, elle est derrière un récit imagé mis en scène avec des animaux. Elle invite le lecteur à une réflexion. La morale de la cigale et la fourmi montre que la cigale est dépensière et que la fourmi est prévoyante mais l’ont pourrait aussi dire que la fourmi

semble subjuguée de plus belle. Pourtant Mathilde est choquée que Julien puisse admirer un être aussi laid physiquement que Danton, qui est aussi considéré comme un « boucher », la laideur physique et morale allant de pair pour elle ; Julien est « beau » donc il ne peut pas y avoir de laideur morale en lui. N’écoutant que sa naïveté, elle se permet d’interrompre Julien, qui l’intimide, mais aussi l’intrigue. Elle « n’hésite » pas à s’adresser à lui directement, et sa candeur est soulignée par l’expression

affranchi) est de nature à éclairer le sens qu'il convient de lui donner dans Les Liaisons dangereuses. "Grand seigneur méchant homme" aux dires du valet de Don Juan, son activité n'a en effet de sens que dans une société fortement sanglée dans des codes moraux : ceux de la représentation et de la bonne compagnie; ceux de la réputation et de l'honneur. A travers les personnages de Valmont et Merteuil, Laclos entend faire le portrait de deux libertins au sens où l'on entendait ce mot sous le règne de Louis

La règle impérative s'impose à tous c'est-à-dire à l'ensemble de la société et à l'égard de chacun d'entre nous. En respectant la loi impérative nous agissons non seulement pour notre bien mais aussi pour le bien de tout le groupe. Même si la règle morale et religieuse ont une sensibilité qui intéresse notre groupe dans la mesure où ses règles déterminent une action individuelle au sein du groupe. Par exemple, l'interdiction et la condamnation du meurtre, il en sera de même pour le vole, le viol ou

et savait que le roman épistolier rendait beaucoup. IV. LE ROMAN LIBERTIN Libertin → Libertinus (s'affranchi, esclave auquel on avait rendu sa liberté). Le mot à été apliqué à tous ceux qui tentent de mener une vie affranchie des règles de la morale de la religion pour donner à leur existence un sens uniquement terrestre. Il revendique le droit à l'incrédulité, à réfléchir, la raison. Débute au 16ème avec des humanistes (Rabelais, Montaigne) et ils prennent plus d'importance au 17ème avec Théophile

être un artiste Texte 2 p211 Kant, critique de la faculté de jugé Kant a fait 3 critiques : - critique de la raison pure : faculté de connaitre, d’entendement => faculté des concepts - critique de la raison pratique : faculté des principes moraux cad la raison - critique de la faculté de jugé => le beaux : tt ce qui est du domaine de l’art. Le beau est un jugement qui vient d’un jeu entre l’entendement et l’imagination. Kant montre que l’art se distingue de la science tt comme le pouvoir

déguisés à la ressemblance du totem, l’imitent par les sons et les mouvements, comme s’ils voulaient insister sur son identité qui est aussi la leur[7] ». La fonction paternelle fonderait la loi transcendante qui règne dans chaque organisation sociale, morale, religieuse. Le pire châtiment pour un être humain serait d’être exclu du groupe social. D’après le philosophe J.-J. Rousseau, « l’ordre social est un droit sacré, qui sert de base à tous les autres. Cependant ce droit ne vient point de la nature ;

cette façon il ne désirera jamais incarner un objet par exemple. L’être humain est donc capable de s‘autoréguler, de faire face à ses désirs et ainsi de s’ouvrir au bonheur. De plus, les Epicuriens ne voient pas en les désirs d’aspect nocif dans la morale humaine. Ils distinguent les désirs nécessaires des désirs non nécessaires. Selon eux, ces derniers n’entravent aucunement l’accès au bonheur ; au contraire, ils y contribuent dans la mesure où ils permettent à l’homme de répondre à ses besoins, et

critique très vivement, souvent lorsqu'il n'est pas là. Ainsi, il le qualifie, dés la scène 1 de l'acte I (p. 12), de « pourceau d' Epicure » (l. 6) « vrai Sardanapale » (l. 7), « hérétique » (l. 5)… Il présente son maître comme un libertin sans aucune morale : « rien n'est trop chaud ni trop froid pour lui ». Il a tenté de raisonner son maître à propos de ses mœurs qu'il n'approuve pas mais en vain, Don Juan ne suivra pas ses conseils et finira emporter enfer. Il prend parti pour les victimes de Don Juan