Rire Et Dérision

«Peut on rire de tout?» 1) Idées de paragraphes: ( désordre) Aujourd'hui nous remarquons que le rire tient une place importante dans notre société . En effet , on constate que les spectacles humoristiques jouissent d'un grand succès et que les émissions du même genre rapportent à chaque fois un taux d'audience assez élevé. Mais qu'est ce que le rire ? Le rire permet de rassembler, de faire oublier l'espace d'un instant le stress et les problèmes quotidiens. Mais l'humour a également la

Rire philosophe, blasphémateur, grimaçant, mordant, sardonique, sardonien, railleur, moqueur, narquois, satirique, ironique, sarcastique, blessant, sadique. Rire panique, populaire, gras, grossier, franc, enjoué, joyeux, goguenard, argentin, retentissant, sonore, bruyant, énorme, communicatif, éclatant, contagieux, compulsif, convulsif, inextinguible, irrépressible, épais, gloussant, spasmodique, aigu, homérique... Rire charmeur, séducteur, ensorceleur, émerveillé, rose, rouge, blanc, agréable

toutes les blagues, c'est le plus souvent sur le mal être de quelqu'un, une chose courante susceptible de nous faire bien rire par exemple, c’est de voir quelqu’un trébucher dans la rue. La personne a mal, mais nous rions.... Le rire est pluriel. Son intensité d'abord varie selon les contextes, la nature des effets comiques. Ainsi poser la question de la finalité du rire ne va pas sans mal : on peut certes savoir de quoi l'on rit, mais pourquoi, dans quelle intention ? Il convient de s'interroger

 Le rire, les Hommes, les Dieux Georges Minois, histoire du rire et de la dérision Epoque du rire divin -> Antiquité Epoque du rire diabolique -> ère chrétienne Epoque du rire humain -> Epoque moderne I Rire divin: Antiquité -> Rire et Dieux ont d'excellent rapport, ils sont à l'origine du rire. Signe de liberté de certain Dieux: Pan, Dionysos, fêtes dionysiaques. Guido Reni, Bacchus A.Dorothea Therbush, Bacchus Mythologie nordique -> trickster, lutins farceurs Rire permet consolider liens

conséquences. Mode comique : registre plaisant, utilisation du rire. « Plaire » pour mieux mener leur réflexion, argumenter et « instruire ». I) Thèse : 1) L’humour détend, évite l’ennui et touche un public plus large. Plus plaisant Le public préfère écouter une argumentation sur un sujet grave de manière comique (donc en étant divertit) plutôt que d’une manière sérieuse dans une tragédie (en étant affligé). 2) Le rire introduit une distance et atténue la gravité d’un sujet. Il permet

Il a été prix Nobel de la littérature en 1969. Il devient lecteur d’anglais à l’Ecole normale supérieure. Il a été l’auteur de roman tel que Malone meurt en français ou Murphy en anglais, mais il a surtout été dramaturge de pièce de théâtre de dérision. Sa pièce la plus connue est une pièce française En attendant Godot, écrite en 1952, mais il en a aussi écrit d’autres tels que Oh les beaux jours en français, ou bien Whoroscope qui est un poème anglais. Pièce : En attendant Godot En attendant

Rabelais introduit-il une œuvre à la fois comique mais aussi sérieuse ? En premier lieu nous étudierons l’introduction par Rabelais d’une œuvre comique, puis, le prologue d’une œuvre sérieuse. Dans ce prologue, Rabelais choisit de tourner en dérision le philosophe Socrate. Pour ce faire, il utilise une analogie « semblable au Silène » l.3. Il révèle la laideur de Socrate par l’hyperbole « le voyant au dehors et l’estimant par l’extérieure apparence, n’en eussiez donné un copeau d’oignon » l.

l'on évoque le rire à l'écrit, on rit moins ou pas. On brise ce qui fait son essence même c'est à dire sa spontanéité, une musique qui n'a ni partition ni note mais une chanson que chacun d'entre nous connait d'instinct. Ne pas rire de tout, c'est limiter, donner des frontières au rire qui ne devraient pas en connaître. Le principe de la blague étant de s'attaquer à tout, de tout tourner en dérision, de dégénérer des situations ou des personnes et c'est en ça qu'on va provoquer le rire. Dans le nom

propres bourgeois, qui cherchent une littérature où se reflètent ses défauts, ses faiblesses, avec un but de fuite euphorisante, c´est-à-dire, ils cherchent la dérision d´eux-mêmes, soit pour moraliser, soit pour échapper aux malheurs de la vie quotidienne (logiquement, la vie au XIII siècle n´était pas couleur de rose) à travers le rire. Les principaux exemples de littérature satirique de cette bourgeoisie sont Le Roman de Renard et Les Fabliaux, dont on fait l´analyse à continuation. LE ROMAN

la satire de l'avarice dans ce monologue. Un monologue comique Cet extrait est fondé du début à la fin sur le registre comique qui apparaît à travers les procédés traditionnels de la comédie classique. Molière a en effet choisi de faire rire le spectateur en ayant recours à plusieurs type de comique. Tout d'abords, le monologue débute par une succession d'exclamation et d'imprécation inattendus si l'on se réfère à la situation dans laquelle se trouve Harpagon. En effet, il s'écrit : « A