Risque De Crédit Amen Bank

Depuis de très nombreuses années, le risque de crédit est l'une des causes majeures de la volatilité des résultats des entreprises et des institutions financières. Comme toute entreprise, un établissement de crédit est exposé à une multitude de risques qui peuvent entraîner sa défaillance et sa faillite. Le maintien de l'activité bancaire revêt une importance toute particulière, car il conditionne en grande partie celui de la vie économique d'un pays. Le crédit et le capital en général constituent

: - après appel d’offres, la création et la mise en place, pour la première fois dans l’histoire du pays, d’un crédit à la consommation, soutenu par un taux compétitif de 15%, encore jamais appliqué en matière de produit bancaire grand public, - la sélection, parmi plusieurs prestataires, d’une entreprise marocaine accompagnant SGI ALO dans son développement, en partageant les risques avec   4   elle et mettant à disposition une large gamme de tablettes tactiles. La proximité des deux

marque de confiance est due notamment à sa classification en troisième catégorie de risque d’après l’OCDE, à l’attribution de «Investment Grade», à la bonne gestion de sa dette et également à la stabilité politique dont elle jouit. Ceci a été aussi affirmé par l’agence de notation financière japonaise 'Rating and Investment Information, Inc (R&I)' qui a annoncé, en Mars 2008, sa décision d'améliorer la notation du risque souverain de la Tunisie, la relevant de 'BBB+' à 'A-' avec perspective stable. Récemment

d’outils de mesure et d’analyse des risques plus performants au sein des banques ont contribué à faire converger les méthodologies sous-jacentes à ces deux concepts. Ainsi, le nouvel Accord de Bâle vise à obtenir une mesure du capital réglementaire davantage sensible aux risques inhérents à chaque type de portefeuille, qui s’apparente, en de nombreux points, à la façon de mesurer le capital économique au sein des banques. Dans un environnement à la fois plus risqué et plus concurrentiel, l’objectif

amortissements 4 UUSection 3 : Analyse critique du Tableau de bord 44 UU1. Risque de crédit et de contrepartie 4 UU2. Risque de marché 4 UU3. Risque comptable 4 UU4. Risque administratif 4 UU5. Risque informatique 4 UU6. Risque commercial et de réputation 4 UU7. Risque juridique et fiscal 4 UU8. Risque de ressources humaines 4 UU9. Risque comptable filiales/ reportings BNP Paribas 4 UUSection 4 : Analyse critique

UU7. UU8. UU9. UUSection 4 : Analyse critique du budget 37 38 40 Détermination du PNB par agence Les frais généraux Les amortissements 44 Risque de crédit et de contrepartie Risque de marché Risque comptable Risque administratif Risque informatique Risque commercial et de réputation Risque juridique et fiscal Risque de ressources humaines Risque comptable filiales/ reportings BNP Paribas 48 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 UUCHAPITRE III : RECOMMANDATIONS PAR

 DÉPARTEMENT “GESTION DES ENTREPRISES ET DES ADMINISTRATIONS” DIPLÔME UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE (D.U.T.) Crédit Agricole de Saint Leu rue du Général Lambert et ruelle Dennemont 97436 Saint Leu 0262 722664 Rapport de stage 2e année D.U.T G.E.A. / Option GMO Stage Crédit Agricole Sabine Catherine Stage effectué du 09/12/14 au 06/02/15 Maître de stage IUT : Jean Philippe Castillon Tuteur en entreprise : Mylène Payet REMERCIEMENTS Je tiens à remercier dans un premier temps toute l'équipe

50.000 Fonds propres Bâtiment et génie 250.000 Promoteur 28.500 FOPRODI 171.000 civil 285.000 SICAR 28.500 Autres actionnaires 57.000 Equipements 300.000 Crédit bancaire 380.000 Matériels de 50.000 moyen terme Frais d’approches 40.000 Crédit court terme 250.000 et divers ( F.A.D). ________________ Crédit moyen terme 415.000 Total 950.000 transport Frais de premier 10.000 établissement Fond de roulement* 250.000 Total 950.000 21 *Le fond de roulement a été calculé

de la puissance publique, aussi bien en termes de détention du capital qu'en terme de fixation des règles de fonctionnement du marché, notamment en ce qui concerne les taux débiteurs et créditeurs, le prix des services bancaires, les quantités de crédits distribuées, l'entrée dans le secteur, le choix des clients...etc. Ces conditions permettaient d'assurer aux acteurs bancaires des revenus appréciables. Historiquement, le système bancaire marocain est passé par trois phases importantes qui ont marqué

financières), et, à l’intérieur desquels s’effectue la majorité des flux d’échanges, 80% de la totalité. Le phénomène de mondialisation est donc avant tout celui d’une « triadisation » car, en voulant croître toujours plus, ces centres d’impulsion ont été amenés à élargir leur champ d’activité au reste du monde et d’y intégrer les périphéries. Les pays industrialisés et développés (PID) de la triade, présentent en outre des indices économiques très positifs. Ainsi, le PIB annuel par habitant des Etats-Unis