Risque De Déflation

un premier temps une crise de liquidité caractérisée par la quasi-fermeture du marché interbancaire. La crise de solvabilité est arrivée ensuite, quand il est apparu que les banques ne disposaient pas suffisamment de fonds propres pour couvrir les risques liés à certaines de leurs activités. Ces 2 crises successives ont mis en évidence le rôle central des banques dans l’économie, Il est intéressant de voir d’une part en quoi elles sont des acteurs économiques particulièrement sensibles et d’autre

sous tension les finances publiques de la plupart des pays développés. La rapidité avec laquelle la crise de liquidité sur les marchés financiers se transforme en crise de solvabilité pour les États les plus fragiles fait peser sur les autres un risque de contagion quil faut evaluer Comme souvent dans l’histoire financière, la récente crise bancaire internationale a eu pour conséquence une crise de la dette souveraine(1), qui fragilise aujourd’hui l’économie mondiale, et plus particulièrement

plans de relance dès 2008 limitent la dépression. Mais l’endettement excessif des Etats fait rebondir la crise en 2010. Les pays avancés risquent la déflation, une situation dont il est difficile de sortir. Attention !!! Attention !!! Ne pas confondre la désinflation/ déflation : la désinflation est le ralentissement de la hausse des prix. La déflation est une situation de baisse des prix et de la production. Question 2 : Comment expliquer la variabilité de la croissance ? Les effets des mouvements

de l’UEM, elle contrôle M3 avec pour objectif stabilité des prix à 2%. Taux directeur à 2% depuis 2009. Souvenir des deux guerres mondiales provoqué par l’Inflation ! ➢ Aujourd’hui, la BCE intervient pour : - couvrir le risque de liquidité, elle en a injecté pour la crise et pour un bon fonctionnement du marché interbancaire, rétablir les lignes d’échange de devise entre FED et BCE car plus de dollar sur le marché interbancaire en mai dernier. - Intervient

leurs déficits dans les normes européennes (3%), ils devraient ↘ leurs dépenses de 120 Mds d’€ →désordre sl, récession, ↘D extérieure… Engagement de la Grèce à le faire d’ici 2012 : déficit 12.7→3 %. →L’apport de Keynes : soutien de la D évite la déflation. →Coopération alors nécessaire pour éviter les déséquilibres futurs. →La compensation des perdants de la M° . B/Eviter les stratégies non-coopératives, surtout monétaires. →La stratégie allemande est-elle soutenable ? L’ajustement demandé

des nouvelles technologies du début des années 2000, Greenspan a alors décidé d’abaisser le taux directeur afin d’injecter des liquidités dans le système. Ainsi, il mena une politique monétaire expansionniste pour relancer l’économie Américaine au risque de voir augmenter l’inflation. Cette baisse du taux directeur de plus de 5 points pendant l’année 2001 a favorisé l’émergence de la bulle immobilière qui éclata et qui est à l’origine de la crise financière actuelle. En effet, des

bancaire. Les banques ont une situation financière très dégradée. Elles ont besoins de rembourser des créanciers mais n’ont pas l’argent nécessaire à leur disposition pour le faire. Après avoir baissé son taux directeur et face à la persistance de la déflation, la banque du japon a donc pris la décision de mettre en place une stratégie de quantitative easing offensive en rachetant obligations d’État et des actions japonaises.En 2008, c’est suite à la crise immobilière des subprimes que les banques des

le moyen terme n'excède pas 2 %. La déflation décrit la situation d'une économie où est constatée une baisse générale et durable des prix. Comme le phénomène historiquement le plus fréquent, du moins dans la période contemporaine, est bien l'inflation, certains parlent d'une inflation négative. Une vraie déflation est généralisée et affecte toute l'économie, mais le terme est aussi utilisé lorsqu'un seul secteur économique est affecté (par exemple : déflation du marché immobilier). Cette situation

échéant, l’Etat qui perçoit les droits de douane. Mais il désavantage les consommateurs, qui doivent payer leurs biens plus chers et donc, dans certains cas, y renoncer. De plus, la mise en œuvre des politiques protectionnistes par certains pays risque d’entrainer des représailles qui nuiraient à l’ensemble des pays. Le protectionnisme a néanmoins été défendu pour favoriser le développement d’industrie « dans l’enfance », incapables d’être immédiatement compétitives. Il peut également être utilisé

dépression. ERNEST LABROUSS : cette crise a une composante moderne : se caractérise par des phénomènes de surproduction. Mais quelque chose de classique/ancien : se traduit par des phénomènes de déflation. Or les crises de nos jours sont marquées par la stagflation. On n’a plus de phénomènes de déflation massifs. Les causes : crise de 1873 : ressemble à celle de 2008, dans les facteurs de la crise. Ce qui est à l’origine : éclatement d’une bulle du crédit. SCOTT NELSON : « Comme en 1873, une pyramide