Risque De Déflation

masse monétaire augmente (hypothèse forte) → augmentation du prix des exportations → diminution des quantités exportées, alors que c'est l'inverse qui se produits chez les partenaires en déficit : sortie d'or → contraction de la masse monétaire → déflation (hypothèse forte) → quantités exportés qui augmentent et quantité importés qui diminuent. C'est donc un équilibre automatique par le jeu des entrées et des sorties d'or des balances extérieures. C'est un effet des prix sur les quantités. HUME appelle

la valeur n'est pas affectée par l'inflation (terrains, entreprises, etc.), et les détenteurs de monnaie ou titres financiers équivalent (rente à taux fixes, etc.) qui sont affectés par l'inflation. La déflation agit en sens inverse. Pour être plus précis, ce n'est pas l'inflation ni la déflation qui comptent, ce sont les variations de l'inflation par rapport à celle qui était prévue ; ce qui est la même chose que l'inflation si, mais seulement si, l'anticipation était une variation nulle de la

de pouvoir d’achat. | 100% | On exclut de la masse monétaire tous les placements que l’on ne peut pas facilement transformer en argents liquide : placement à long terme (plans d’épargne logement, placement en obligations) et les placements risqués (placement en actions). B. L’influence de la quantité de monnaie * L’évolution de la masse monétaire et le niveau général des prix : un excès de monnaie peut se traduire par l’inflation si la demande des ménages croit plus vite que l’offre

patronales. En conséquent, pour le patron on lui coutera 200, et on touchera 100 d'où l'expression tu me coutes chère (parole du patron), tu me paies mal (parole du salarié). Quand un pays est noté AAA (=le pays est bien noté, il est solvable et pas de risque). La note B ça veut dire qu'on est pas certain qu'on sera remboursé, si on investit dans ce pays. 3. L’impôt sur le revenu Cet impôt est payé par 50% des français. C'est un impôt exponentiel, contrairement à la TVA qui est un impôt quasiment

semestre 2009, elle reste insuffisante pour que la population en constate les bénéfices dans les deux domaines prioritaires à ses yeux : l'emploi et la consommation. De plus, les prix à la baisse suscitent l’attention des économistes, craignant la déflation. La Fed s’alarme de l’essoufflement de la reprise et décide alors de réactiver des mesures exceptionnelles de soutien à l’économie le 10 Aout. 1. Le produit intérieur brut (PIB) américain n'a crû que de 2,4 %, le taux le plus faible depuis la

centrale entraine une réaction du crédit distribué par les banques ce qui exerce une influence sur l'activité. Dans le cas d’une inflation, on se retrouve avec une contraction de la masse monétaire ce qui implique une hausse des prix et en cas de déflation ce serait une augmentation du pouvoir d’achat donc d’une baisse générale et durable des prix. En effet, les taches de la politique monétaire sont de stabiliser les prix, Maintenir le plein emploi (adapter l’émission monétaire au revenu national de

unique de 17 pays qui forment la zone euro. Elle va donc cumuler les 3 fonctions de la monnaie • Elle est un intermédiaire des échanges : comme pour échanger entre pays de la zone euro, on n’a plus besoin d’opérer une conversion des monnaies, les risques et les coûts liés au change diminuent, ce qui incitent les pays de la zone euro à échanger • Elle est un étalon de mesure : tous les prix sont exprimés en euros, ce qui favorise la concurrence entre les entreprises européennes, donc assure une

des sentiments moraux". Il dit que le discours de l'économie politique stipule l'existence de lois économiques. Première loi économique fondamentale : la loi de la rareté. "Tout bien rare est cher, tout bien abondant est bon marché". La rareté risque de mener au désordre. L'objectif de l'économiste est de passer d'une économie de rareté à une économie d'abondance. Les lois économiques ont 3 grandes caractéristiques : - elles sont naturelles, - éternelles, - universelles. Ces lois s'imposent

Lettre de l' D Vendredi 22 octobre 2010 324 Page 6 ■ France : Go, stock and ... Perspectives 2010-2011 pour l’économie française La route vers la déflation ? Perspectives 2010-2011 pour l’économie mondiale * epuis un an, l’économie mondiale s’est engagée sur la voie du redressement, après un choc récessif d’une ampleur sans précédent dans la période contemporaine. Les difficultés budgétaires de certains pays en zone euro ont déclenché une nouvelle crise financière au printemps

liquidity) à certaines catégories d’agents (Borio et Disyatat, 2009). Cet objectif fait des banques centrales des banques de refinancement, voire de préfinancement lorsque la fourniture de liquidité aux banques leur permet de se prémunir contre le risque de « run ». On peut ainsi considérer que les mesures qui relèvent de cette action, décrites ci-après comme politiques non conventionnelles de quantité (PNCQ), constituent une politique financière plus qu’une politique monétaire (De Bandt et Pfister