Risque De Déflation

exportations comme source de développement. La Chine, l'Inde et le Brésil ont confirmé leur rang de locomotives de la croissance économique mondiale avec (+ 10,2% de croissance en Chine et + 5,7% pour l'Amérique latine). La fragilité du système bancaire, le risque d’éclatement des bulles financières, la crise de la dette publique notamment au sein de la zone euro, la divergence entre les économies émergentes et les économies développés, et enfin les déséquilibres monétaires et commerciaux internationaux continuent

2: Comment expliquer l'instabilité de la croissance Être capable de définir Notions à acquérir en terminale Notions acquises en première ● fluctuations économiques ● crise économique ● désinflation ● croissance potentielle ● dépression ● déflation ● inflation ● politique conjoncturelle ● politique monétaire ● politique budgétaire ● chômage ● demande globale Dans cette partie, il s'agit de démontrer que la croissance n'est pas régulière mais plutôt cyclique, quelles sont les explications

par tous. Un instrument de mesure de valeur : unité de compte qui permet de mesurer et de comparer la valeur des produits, dans une unité comprise par tous. Un instrument de réserve de valeur : thésaurisée : conservée chez soi en liquide avec un risque de perte de valeur en cas d’inflation ou épargnée : on renonce à une consommation immédiate pour augmenter les quantités achetées ultérieurement grâce aux intérêts perçus. Monnaie fiduciaire : pièces et billets. Fiducia = confiance car une autorité

taux d’intérêt Est-il légitime qu’une personne reçoive de l’argent sans travailler grâce au taux d’intérêt ? On comprend qu’il y a une forme de légitimité car l’argent placé, épargné, va servir à acheter des biens. La trésorisation crée de la déflation. L’argent qui est placé en banque permet d’alimenter le circuit économique. Si je travail, je mets de l’argent de coter, je prête mon épargne à un investisseur qui va s’enrichir grâce à mes capitaux. Je suis la cause de l’enrichissement d’autrui

Afin de répondre à la question, il est indispensable de citer les différents objectifs finaux d’une politique monétaire. Le principal étant celui de la stabilité des prix, c’est-à-dire d’éviter le risque d’inflation ou de maintenir celui-ci à un taux préférentiel de 2%. Evidemment la déflation est également à éviter. La politique monétaire rejoint les objectifs de la politique économique qui sont la croissance et la stabilisation interne de la monnaie. La politique monétaire ne peut agir directement

pouvant etre atteinte sans risque inflationniste. Elle determine la croissance de long terme, tendance autour de laquelle s'observent les fluctuations conjoncturelles. Dépression: Phase de réduction de l'activité économique se traduisant par une diminution du PIB (taux devariation du PIB négatif). Lorsque le taux de croissance ralentit mais reste positif, on parle plutot de récession, meme si ces deux termes ont tendance à etre utilisés commes des synonymes. Déflation: Réduction simultanée et cumulative

Mais le rôle des banques est clairement central. Les banques ont un rôle de transformation. Les épargnants, et tout spécialement les ménages, souhaitent détenir une épargne liquide, souvent de la monnaie, car celle-ci est utilisable aisément et sans risque comme moyen de paiement, tandis que les investisseurs ont besoin, au contraire, de financements à long terme. Les banques détiennent les dépôts monétaires des ménages et des entreprises et sont donc particulièrement bien placées pour effectuer cette

autre bien mais qui concoure lui aussi à la satisfaction du besoin. Le Clarin TIROZ peut être pris comme substitut par rapport au Liqueur Valdivieso, par exemple. · PROFIT Le profit est une rémunération variable, incertaine mais espérée, du risque pris par le détenteur d'un capital[->16] investi[->17]. On sépare les notions de profit et de profit économique[->18] : le profit représente la rémunération du capital investi et de l'entrepreneur[->19], alors que le profit économique ne représente

la soutenabilité du régime de croissance. Rééquilibrer les incitations individuelles au profit du long terme Les bénéficiaires des « bonus » du secteur financier ont été considérés au plus haut niveau de l’État comme responsables de prises de risques excessives, incités en cela par la rémunération asymétrique du risque2 et la préférence pour le présent. Les contrôles internes des établissements financiers peinent en effet à les limiter efficacement, faute d’incitations suffisantes puisque les

analysera   les   mécanismes   cumulatifs   susceptibles   d'engendrer   déflation   et   dépression   économique  et  leurs  conséquences  sur  le  chômage  de  masse.  »       Notions   obligatoires  :   Fluctuations   économiques,   crise   économique,   désinflation,   croissance   potentielle,   dépression,  déflation.     Acquis  de  première  :  Inflation,  politique  monétaire