Risque De Déflation

étude répond aux questions suivantes : L'objectif de porter la part de marché des MDD à près de 50 % est-il crédible et à quel horizon ' Premier prix, c'ur de gamme, thématique ou premium : quel segment de marché offre le meilleur potentiel ' Quels risques de cannibalisation entre MDD et marques nationales ' Les MDD sont-elles créatrices ou destructrices de valeur au niveau de la catégorie ' Les marques de distributeurs peuvent-elles combler toutes les attentes des consommateurs ' Les MDD : une arme

RISQUES BANCAIRES II. CRISE GRECQUE ET LES STRESS TESTS. A- fin 2008/ fin 2009 • Discours de Toulon • Crainte des particuliers ; 70 000 euros threshold • Irlande : decide d’assurer les banques ; 80-100 milliosn d euros PR un pays de 4 M d’habitants • 1ere reunion de crise Elysee avec Merkel, change d’avis avec HRE et besoin de recapitaliser • Merkel decide de participer au sauvetage. • USA et plan Paulson II • Plan euro, au lieu de recapitaliser on donne des fonds propres • + refinancement

rythmes différents, des cycles à l’activité économique) 1/ Des chocs de demande 2/ Des chocs d’offre B/ Les comportements monétaires et financiers peuvent amplifier les fluctuations économiques 1/ Le cycle du crédit 2/ La régulation par la déflation ou par la faillite ! THEME I : CROISSANCE, FLUCTUATIONS ET CRISES I/ CROISSANCE ET SOURCES (ou FACTEURS) DE LA CROISSANCE A/ Définition et caractéristiques de la croissance 1/ Définition Rappel : Le PIB est la somme des

expansionniste après le krach (billets en circulation = base monétaire) Nuance: ◦ une politique insuffisamment expansionniste X ce qui ressort de la politique publique (taux d'escompte et les billets) a été bien mené ◦ les agents ont été paralysés par le risque (taux des obligations) ◦ augmentation générale des taux: la crise internationale – le dollar est aussi attaqué – pour le défendre, les taux sont augmentés ◦ l'ouverture des financements insuffisante n'explique pas totalement  Comparaison entre

L’inflation est-elle toujours un obstacle à la croissance économique ? Introduction: La politique de la BCE lancée par Mario DRAGHI qui consiste à renoncer à la croissance par la demande peut engendrer par définition des risques d’inflation. Certes, l’inflation à un peu remontée (2.7%/an en février dans la zone € contre 2.6% en janvier) mais elle reste globalement sous contrôle. Il faut nous rappeler que l’inflation correspond à la perte du pouvoir d’achat de la monnaie qui se manifeste par une

relâchement des standards de crédit sur le marché immobilier– hausse de la valeur de l’emprunt par rapport à la valeur du bien immobilier acheté, octroi de crédits sans vérification des revenus, etc. -, intensification de la titrisation, avec dilution des risques entre un nombre toujours plus important d’intermédiaires, taux d’intérêt bas, réglementation et normes comptables à caractère pro-cyclique, anticipations déraisonnables de hausse sans fin des prix immobiliers ayant abouti à la création d’une bulle

au diamant (pourquoi le diamant est il toujours infiniment plus cher que la valeur de l’eau ?). La valeur vient de la rareté, y compris la valeur du travail. Le diamant est rare et recherché par les individus. Peut être avec l’évolution le paradoxe risque de s’inverser. Le calcul à la marge ou le principe d’utilité, on s’intéresse aux variations à la marge. Pour les marginalistes la valeur des biens n’est pas déterminée par les quantités totales mais par le coût nécessaire à la production de la

vont pas leur être remboursés. Entre 1814 et 1817, 240 institutions de crédits ont fait faillite en UK. L’Angleterre qui était à l’époque le pays leader va entrainer l’éco mondiale dans sa crise, après la phase inflationniste débute une phase de déflation qui alimente la baisse de la production. Une crise classique est donc une crise qui a son origine dans le domaine agricole et qui est un phénomène de surproduction. L’ouverture de la Russie va stimuler le crédit des banques pour investir en Russie

outil de régulation que peut être la politique budgétaire. Si l'économie rentre dans un cycle de déflation (baisse des prix liée à un ralentissement de l'activité), les conséquences peuvent être graves ; la crise déflationniste observée en Grande-Bretagne pendant la Grande Dépression avait provoqué une désindustrialisation partielle et des records historiques en termes de taux de chômage. La déflation au Japon au cours des années 1994 à 2003 qui s'est traduite par la baisse de la production et des

diminué au 3ème trimestre atteignant 0,1% et les prévisions pour le 4ème trimestre ne sont pas très joyeuses. Cela dit le président de la BCE , Mario Draghi a annoncé une baisse du taux directeur d'un quart de point, à 0,25%, afin de prévenir le risque de déflation. Mais cela ne causera pas d’effet car La baisse de ce quart de point aura un effet probablement assez peu significatif. Cela peut jouer sur les investissements et la consommation, mais de façon très indirecte. En effet, les banques, qui se