Risque De Déflation

xviiie siècle, les Anglais ont fait de la Banque centrale le prêteur en dernier ressort automatique de l’État. Le résultat est donc que la dette publique est non seulement un actif qui circule sans être jamais remboursé, mais encore un actif sans risque car toujours racheté, quoi qu’il arrive, par la Banque centrale. Ce modèle, qui continue à fonctionner aux États-Unis où la Banque centrale – la Réserve fédérale – finance sans la moindre hésitation le déficit budgétaire, est contesté par certains

trouve son origine dans l'occurrence d'une des catégories de risques gérés par les acteurs d'un maché: • risques de marchés : liés aux variations des taux ou des cours des actifs (risque de taux, risque de change)  • risques de crédit : liés à la fiabilité d'une contrepartie, voire d'un pays entier  • risques liés au fonctionnement même du marché et à la possibilité ou non de revendre un actif (risque de liquidité). Ces risques ne sont en eux-mêmes pas exceptionnels. Mais lorsque la

les mises en garde contre des risques de surchauffe inflationniste alors que l'économie de la zone euro confirme sa bonne forme. Il a par ailleurs ouvert la voie jeudi à une poursuite du cycle de hausses de taux directeurs en 2007, jugeant que la politique monétaire en zone euro est toujours "accommodante" et que le niveau des taux "reste bas". En clair, les conditions du crédit restent bon marché - ce qui est favorable à la croissance -mais porte en germe des risques de dérapage des prix. Les gardiens

faisant leur apparition (Titrisation). Cette dernière visait essentiellement le contournement des règles prudentielles (Ratio de Solvabilité) pour avoir des fonds propres intacts et suffisants pour financer de nouvelles opérations plus rentables avec un risque élevé, et à cause desquelles la crise s’est propagé pour toucher les économies européennes. Il faut signaler qu’à partir de l’année 2007, la flambée des prix des matières premières au niveau mondiale dont l’origine était la forte demande des pays

production, et pour mieux rendre compte de la création de valeur, on intègre depuis 40 ans environ au PIB la production non marchande évaluée au coût du service. Autre précaution : comparer la valeur du PIB d’une année à celle d’une autre année comporte le risque de surestimer la croissance. Une augmentation de la valeur du PIB ne veut en effet pas dire qu’on a « réellement » produit davantage : il faut tenir compte de l’impact de l’inflation. C’est la raison pour laquelle on ne retient comme chiffre de croissance

et détruirait 800 000 habitations. Un volcanisme intense Véritable terre de feu, le Japon possède 70 volcans en activité : 10 % du total mondial ! L'un des symboles du pays, le mont Fuji, est resté inactif depuis le xviiie siècle. Conscients du risque permanent de catastrophe naturelle qui plane sur leur territoire, les Japonais ont depuis longtemps développé la solidarité nationale. Dès le plus jeune âge (dans les écoles), la population est préparée par des exercices de simulation, de premiers

privé, ce qui a mis en évidence un défaut de conception de l'euro auquel on n'avait prêté aucune attention jusque là. En transférant leur droit de frapper de la monnaie à la Banque centrale européenne (BCE), les pays de la zone euro se sont exposés au risque de faillite, au même titre que les pays du Tiers-monde lourdement endettés en devise étrangère. Les banques commerciales qui détiennent une grande quantité d'obligations d'Etat des pays affaiblis sont devenues potentiellement insolvables. George

sous la forme d’un plan : I/ Les deux grandes écoles de la monnaie : A)Les économistes classiques : -La monnaie est un intermédiaire des échanges, un voile. -Sert seulement à acheter des produits. -Pas de spéculation possible et aucun risque de surproduction. -Augmentation de la quantité de monnaie n’a aucune répercussion sur l’activité éco, seulement hausse de prix. B)Les Keynésiens : -La monnaie n’est pas neutre. -+ de circulation monétaire => Facilitée d’investissement

d’acheter. Et, comme tous les crédits étaient dépendants du même facteur de risque puisque tous étaient gagés sur la valeur des biens immobiliers, la détérioration a été rapide et brutale. La FED par sa politique de taux d’intérêt faible a donc conduit à la création excessive de crédit immobilier et est donc en parti responsable de la crise financière. B. La FED responsable de la crise de confiance ? La FED a pris le risque de laisser couler la banque Lehman Brothers au motif de moraliser le marché

contrats à durée détermi-née dans l’économie espagnole, contrats pouvant être résiliés très rapidement lors de phase de récession. En matière d’inflation, la baisse des prix prévue en Espagne en 2010 est un signe de récession. Cette situation de déflation est préoccupante dans la mesure où elle constitue un handicap pour les entreprises installées dans la Péninsule. En France, la faiblesse de la consommation et de la reprise aurait pour incidence une légère hausse des prix en 2010 (+ 1,2 %).