Risque De Déflation

eux-mêmes de l’abondance et de l’accroissement du crédit ce qui explique pourquoi le processus ne peut aller qu’aux extrêmes. Pourquoi la crise n’a-t-elle pas été prévue ? Théoriquement, quand le crédit croit plus vite que la production, il y a risque évident de dérapage. Le problème est que si le crédit croit beaucoup plus vite que le revenu, il croit cependant moins vite que la valeur des actifs. Or, la financiarisation de l’économie s’est traduite par une modification des règles comptables des

capitalisme au M-A: l’usure a beau être interdit, le prêt à intérêt est très largement pratiqué, de façon détourné, comme la lettre de change, techniques anciennes remontant à l’Antiquité. -La lettre de change apparait au XIV est la première monnaie papier. Risque de se faire détrousser en chemin, d’où lettre de change: lettre du banquier florentin ordonnant d’être payé avec son banquier, permet d’éviter de transporter argent et objets précieux. Intérêt est aussi que la lettre de change accorde un délai, d’où

croissance américaine et augmentant les exportations. Mais elle avait généré une forte inflation, qui avait poussé les opérateurs à anticiper une hausse des taux d’intérêt. Les opérateurs étaient alors invités à arbitrer entre le marché action, marché risqué qui avait déjà fortement cru, et le marché obligataire, peu risquait et devenu attractif suite à ces hausses de taux d’intérêt. Le premier ingrédient d’un effondrement boursier était en place. En réalité, la plupart des établissements de crédit

que les taux d'intérêts élevés pratiqués aux USA ne permettent plus au Mexique d'emprunter à bon compte pour rembourser les dettes antérieuses. L'Etat mexicain décrète donc un moratoire: une suspension temporaire du remboursement de la dette. Le risque est un effet domino: pour éviter cela, les banques américaines qui détiennent 80% de la dette extérieure du Mexique vont obtenir de Paul Volcker un assouplissement de sa politique monétaire et une aide pour les pays d'América Latina (les plus endettés

L 'effet de relance permettra de diminuer les dettes plus rapidement . Mario Draghi a réclamé plus de flexibilité dans la réduction des déficits budgétaires en Europe . Sa demande n est pas possible suite a la faute d 'action budgétaire , la déflation risque de s 'installé et durablement dans la zone EURO .La politique monétaire est inefficace . La BCE (Banque centrale Européenne) distribue de l argent aux banques par divers canaux ,cette politique est totalement incapable de soutenir la croissance

travail à grande échelle. Si tout le monde ne travaillait qu’un jour par semaine, la situation ne serait certainement pas meilleure. Comment peut-on interdire à quelqu’un de travailler davantage s’il le souhaite ? Peut-on envisager ce projet aussi risqué quand les bases même de sa théorie sont indécises ? Les emplois libérés étant principalement regroupés dans les postes à faibles responsabilités du secteur privé, qui représentent la plus grande part des affectations, l’impact devrait être

l’année économique 2009 sous la loupe de quelques prévisionnistes. Sur chaque graphique, identifiez correctement vos axes de même que les changements impliqués. Toutes choses égales… a) Selon certains, aux États-Unis, on risque non seulement la récession, mais bien la déflation en 2009. Malgré les efforts de la Réserve fédérale (la contrepartie américaine de la Banque du Canada), les dépenses de consommation des ménages diminueront considérablement de même que les dépenses d’investissements

la population (retraites, sécurité sociale …). On peut se demander si la crise actuelle est identique à celle de 1929 ou si c’est une crise avec des aspects différents., La nature de ces crises correspond à une bulle spéculative et ensuite une déflation par la dette , il s’agit d’un phénomène qui atteint le monde beaucoup plus rapidement que celle de 1929.Avant tout on expliquera la crise de 1929 et celle actuelle, leurs points communs et leurs différences et quels en sont les conséquences .Les

les réserves du secteur bancaire. Dans une perspective de lutte contre la crise et par conséquent, contre le manque de liquidités, le fait de mettre de l'argent en circulation s'avère être capital puisque cela permet de contourner une éventuelle déflation. L'augmentation des réserves du secteur bancaire, a quant à elle, pour but de pousser les banques à accorder à nouveaux des prêts pour relancer l'activité économique. Cette politique a donc permis d'éviter que la crise des subprimes devienne une

commerciaux ; en fait, le développement du marché de l'écu privé a été un échec (coûts de conversion élevés, i peu rentables, méfiance face à « quasi-monnaie » là aussi. b. Les mécanismes d'ajustement au sein du SME (rapide en cours) En cas de risque de sortie des ± 2,25%, procédure spécifique engagée avec différentes étapes : - interventions « inframarginales » de la BC lorsque le cours bilatéral s'approche du seuil (« sonnette d'alarme » à 75% de l'ampleur de la bande): 80% des interventions