Risque De Déflation

des banques centrales» (SEBC), qui couvre les 27 États membres. Ils constituent ensemble la «zone euro» et leurs banques centrales, auxquelles s'ajoute la Banque centrale européenne, forment «l'euro-système». De plus la monnaie unique élimine le risque de fluctuation monétaire ceux qui facilite les investissements et les échanges commerciaux dans la zone euros, L'Europe a créer un certain nombre d'institution dont la banque central européenne qui en fait parti afin de rapproché différents pays a

institutions en concurrence sont efficaces dans la distribution de crédits aux particuliers, elles le sont moins en matière de création monétaire. En effet, si elles créent trop de monnaie en créant trop de crédit, elles vont à la fois faire courir un risque aux déposants et provoquer de l'inflation. Il faut donc introduire un agent en charge de l'intérêt général puisque dans ce cas le marché seul ne peut y pourvoir. Mais pour les ordo-libéraux, témoins dans les années trente de l'utilisation par les

crise et ne l’a-t-on pas prévenue ? Il existe des indicateurs simples pour prévenir les crises : par exemple, il y a un risque quand le crédit distribué dans un pays croît plus vite que le PIB. Or, avec la financiarisation de l’économie et les nouvelles normes comptables ce qui importe c’est la valeur de marché des actifs, qui croît plus vite que le crédit, et cache donc le risque de surendettement et de liquidité aux banquiers. ! ! 3 3- Quelles sont les caractéristiques de cette crise

Maastricht stipule que le maintien de la stabilité des prix est l’objectif principal de la politique monétaire menée par la BCE. Il donne ainsi à l’Eurosystème la responsabilité de lutter contre l’inflation dans la zone Euro. L’inflation et la déflation perturbent l’information contenue dans le système des prix, modifie la valeur réelle des contrats et de l’épargne, nuit à l’investissement et à la croissance. Le conseil des gouverneurs de la BCE à détermine une stratégie comprenant : Une définition

suite du choc pétrolier (1973). Chômage : effet long ou court ? Visiblement long. Depuis 1973, on n’a pas connu un seul exemple de budget équilibré en France. La variable du choc pétrolier : le niveau du prix du pétrole. C’était un avertissement du risque de dérapage inflationniste. Cette peur de l’inflation ne date pas que des années 70. On retrouve des périodes inflationnistes dans l’histoire : c’est une peur ancrée plus ancienne que le chômage. Si cette courbe de Phillips avait été montrée dans

attirés par des perspectives de rendement élevé en comparaison du faible coût de l’endettement dans certains pays de la zone (japon en particulier), mais finançant des investissements à rentabilité de plus en plus précaire. -Insuffisante maîtrise des risques bancaires dans un contexte de garanties implicites (ou ressenties comme telles) de la part des autorités de surveillance. On observe donc deux origines principales à la vulnérabilité des pays asiatiques un manque de fonds propres dans le secteur

l’emploi de l’économie étaient à leurs taux naturels. Appelé également déficit budgétaire de plein emploi. Déficit budgétaire de plein emploi : voir déficit budgétaire corrigé des variations conjoncturelles. Déflation : baisse du niveau général des prix. Voir aussi désinflation, inflation. Déflation par l’endettement : théorie selon laquelle une baisse non anticipée du niveau des prix redistribue la richesse réelle des débiteurs vers les créanciers et réduit donc la dépense totale au sein de l’économie

la lutte pour la suprématie mais per- mettait l’abus par les États-Unis de leur pouvoir de création de mon- naie internationale. Longtemps, pourtant, ce risque fut négligé, car, autre souvenir de la crise, on s’inquiétait davantage de la pénurie de liquidités pouvant résulter du système de l’étalon-or. La peur de la déflation (et l’espoir de certains de les substituer au dollar) amena d’ailleurs tardivement le FMI à créer les droits de tirage spéciaux (DTS), embryon de monnaie

leurs salaires dès le début de la crise, ce qui évite de passer par une phase de récession. La vision keynésienne de la crise : Keynes s’oppose à la vision des nouveaux classiques car l’information est imparfaite. Les individus ne vont donc pas se risquer à une baisse de leur salaire ne connaissant pas l’évolution globale des prix des biens. Selon Keynes, la seule manière de sortir de la crise est donc la politique économique, avec une politique de relance de la consommation ou de l’investissement

société . * La phase de depression . Baisse des resource monétaire du pays dut au mouvement de thésorisation massive . ex: La masse monétaire americaine est réduite d un tiers entre 1929 -1931 . faillite des banques .mouvement de déflation (baisse general des prix et dut coûts de la vie ) b) La diffusion de la crise en Europe * La nature spécifiquement national de la dépression . le declun de certain pays avait déjà commencé lors de la depression .les nécessité