Risque De Déflation

Chapitre 3. Le financement de l’économie Introduction : En 2009, la croissance diminue de 2%. Comment expliquer cette récession ? « La crise des subprime » Subprime : crédits dit à « hauts risques », c’est-à-dire des prêts à des individus aux économiquement faibles et risque donc de ne pas pouvoir rembourser. De plus ce sont des crédits à taux d’intérêts variables, c’est-à-dire qu’il va suivre les marchés (le taux d’intérêt est réévalué chaque année selon un indice fixé lors de la conclusion

sera déficitaire (-1,8%), soit un écart de – 1,1% entre ces 2 années. Il en est de même pour le déficit public, soit un écart de -2,2%. De plus, on constate une hausse du chômage entre ces 2 années de l’ordre de 2%. Par ailleurs, on observe un risque de déflation, c'est-à-dire une baisse du niveau général des prix. Ce constat est dû à la situation économique mondiale actuelle qui se trouve confrontée à une phase de désinflation accélérée (ralentissement rapide du tx d’inflation). De ce fait, l’indice

contraire à la stabilité des prix. Ainsi, pendant la période qui s’étale entre 99 et 2002, l’objectif de la BCE était d’avoir une inflation entre 0 et 2%. Mais il convient de noter que ni l’inflation ni la déflation ne serait compatible avec la stabilité des prix. En effet, l’inflation tout comme la déflation entraîne des distorsions du système des prix qui fausse les décisions économiques. Ainsi, des anticipations à la hausse des prix conduiraient à préférer le présent au futur et de dépenser avant que

FLUCTUATIONS ECONOMIQUES – CRISE ECONOMIQUE – DESINFLATION – DEPRESSION – DEFLATION -Vous distinguerez les chocs d’offre des chocs de demande. -Quelles sont les phases principales du cycle du crédit ? -Quelles sont les conséquences économiques et sociales de la déflation ? - Distinguer déflation et désinflation. - Distinguer crise et dépression - Quel est le rôle du cycle du crédit dans les fluctuations ? - Quelles conséquences la déflation peut-elle avoir sur le chômage de masse ? QUESTION 3 Quels sont

capacités de production est de 79%. D’ordinaire, ce taux avoisine les 85%. Ce n’est pas en prenant le risque d’affaiblir encore plus la demande des ménages que ce taux va remonter. Or, plus les entreprises ont des surcapacités de production, plus elles voient les effectifs comme la seule variable d’ajustement. Faire un choc de demande négative au moment où on a déjà un problème de demande globale risque tout simplement d’amplifier la plupart de nos problèmes. Le tout sur fond d’austérité budgétaire généralisée

une crise : une rupture brutal de la conjoncture qui met fin a une période d'expansion . -Elle peuvent déboucher sur trois phases descendante : Une deperession , un recession ou une déflation . Recession : ralentissement de l'activité économique . Depression : Baisse de l'activité économique (long terme ). Déflation : baisse du niveau générale des prix . -Est-ce-que ces inégalités suivent une loi périodique ? I) La régularité des fluctuations renvoient a la notion de cycle . Cycle economique:

contraction du volume du crédit (credit crunch) qui en a résulté. Sur le même schéma, la bulle financière engendrée par la spéculation immobilière des années 2000 aux États-Unis a débouché sur la crise des subprimes à partir de 2007. Ces emprunts à risque, accordés à des débiteurs insolvables incapables de les rembourser, ont fait s'effondrer la valeur du patrimoine de ceux qui les détenaient dans leurs portefeuilles de valeurs. Les répercussions en chaîne sur les banques, les entreprises et les ménages

d’aujourd’hui et c’est de la que vient la phrase « l’étalon or est déjà une relique barbare » et « Dans le long terme, nous seront déjà tous mort ». Citation relative a l’emploi et au chômage. Au début des années 20, Keynes condamne la politique de déflation. Dès 24, il préconise des politiques de grands travaux pour résorber le chômage. Il faut savoir que lutter contre le chômage par la relance publique ce n’est pas une idée originale de Keynes, c’est dans la lère du temps mais Keynes va justifier quantifier

BCE et l’inflation 2009, année de la célébration des 10 ans d’existence de l’euro ! Seize Etats sur les 27 de l’Union européenne (UE) utilisent aujourd’hui cette monnaie commune. Au-delà de l’intérêt évident de la suppression du change et donc des risques sur les taux de change dans le commerce intra communautaire, la monnaie européenne vise non seulement la performance économique en Europe, mais aussi le statut de devise internationale reconnue. La Banque centrale européenne (BCE) a été créée en 1998

comparables.. 1) Fondées sur les dérives d’innovations financières ( La crise de 1929 trouve son fondement dans l’autorisation d’achat à crédit d’actions autorisé à partir de 1926 (mouvement qui prend son essor en 1927) avec une couverture de risque de seulement 10%. Ce dispositif crée de la valeur, mais de manière artificielle puisque soutenue par la spéculation qui se coupe de plus en plus de l’économie réelle. En effet la valeur des actions est au-delà des profits des entreprises, profits