Risque De Déflation

produit intérieur brut (PIB) a diminué sensiblement par rapport aux niveaux d’avant la crise, ce qui laisse présager une faible croissance économique à long terme. Bien que des améliorations soient prévues dans les pays développés en 2015 et 2016, des risques importants subsistent, notamment dans la zone euro et au Japon. Les taux de croissance dans les pays en en développement et les pays à économie en transition ont été variables en 2014, un ralentissement sensible étant enregistré dans plusieurs grands

La crise japonaise, ou comment un pays riche s’enlise dans la déflation Évelyne Dourille-Feer, Cyrille Lacu* p. 76-90 Jusqu'en 1991, la solidité de l'économie nippone a reposé sur un modèle de développement dont les grandes lignes ont été tracées dès la seconde moitié du XIX e siècle et le début du XX e siècle, puis remaniées marginalement après la Seconde Guerre mondiale. Ce modèle, conçu avec un objectif de rattrapage – donc de croissance forte – et dans un contexte de relative fermeture

que la liquidité mondiale est mal contrôler, la situation ici exposer met en valeur l’impuissance des Banques centrales confronter à la crise. Ces banques centrales doivent donc vite songer à trouver des stratégies leur permettant de réduire les risques représentant les dangers de l’économie. Ensuite on peut voir les excès de la crise monétaire mondiale alimentant les bulles spéculatives issue particulièrement des pays en émergence. Ces excès, ont deux causes principales qui sont d’abord l’accumulation

financiers sont paniqués et l'économie réel est atteinte par une cascade de crises: crise de confiance interbancaire, assèchement de la liquidité,insolvabilité des acteurs économiques, déroute d'une certaine classe d'actifs, qui fait craindre un risque systémique. Pour limiter l'augmentation des défauts de paiement et répondre aux besoins des banques commerciales, les banques centrales sont intervenues, représentant le dernier recours pour sauver un monde au bord de la faillite . En effet

compétitivité-prix d'un pays par rapport à ses partenaires commerciaux et donc la situation de sa balance commerciale. Ex : politique de désinflation compétitive en France dans les années 1980. L'inflation érode la valeur de l'épargne, augmente les primes de risques et donc les taux d'intérêts, ce qui peut rendre insoutenable la dette d'un pays. Cependant l'inflation ne peut-elle pas être parfois bénéfique à l'économie d'un pays et dans le contexte de récession économique, de fort taux de chômage et de crise

besoin de financement ( taux d’intêret ) Sur le marché il y a une confrontation : l’offre et la demande. L’idée est qu’il faut trouver un prix dans un marché (prix/demande/offre). Le but est de trouver le prix d’équilibre. Sur le marché, il y a un risque : c’est qu’il ait un fort (donc un faible).(⇉ PB de rapport de force ) Parmi les libertés de droit fondamental : il y a le droit de propriété qui est garanti par la loi et l’Etat. L’état va surveiller le marché pour le rendre loyal mais aussi pour

relance= dans les années 50, pdt les 30 glorieuse Politique d’austérité= réduction des dépenses publiques= -moins de revenu de transfère, - moins de dépenses publiques On dépense moins mais on augmente les impôts Obj : renduire la dette publique Risque : baisse des revenues de transfère, de la demande En dessous de 3% de croissance, on ne peut pas assurer un bon niveau de vie la grande difficulté de cette politique = l’écart entre les pauvre et riches augmente Les politiques budgétaire est

Sujet : Après avoir rappelé les risques de la création monétaire, montrer que celle-ci est indispensable à la poursuite de la croissance économique La monnaie est un instrument qui permet d’échanger deux biens en évitant les contraintes du troc. Elle permet, en effet d’attribuer un prix aux biens et services grâce à une unité de compte. La monnaie n’est, de plus, pas périssable et préserve donc la valeur en assurant une certaine stabilité au pouvoir d’achat et est un intermédiaire dans les échanges

programme de rachat massif de dette publique ou privée comme celui mis en œuvre aux Etats-Unis par la Réserve fédérale —, plus qu'une nouvelle baisse de taux. Lire nos explications (édition abonnés) : Les taux européens au plus bas face au risque de déflation EURO PLOMBÉ En août, selon les premières estimations d'inflation, la hausse des prix a encore ralenti dans la zone euro, à 0,3 %, soit son plus bas niveau depuis octobre 2009 et le onzième mois consécutif sous la barre de 1 %. Ce chiffre

s’est largement financiarisée. L’expansion du crédit bancaire et des liquidités est-elle favorable à la croissance ? Ne risque-telle pas de provoquer une hausse excessive des prix et des bulles financières et immobilières ? A contrario, un rationnement du crédit ne conduit-il pas à une baisse excessive de la production qui engendre chômage, baisse des salaires réels et déflation ? 5. Après avoir mis en évidence les fluctuations et les crises, nous essaierons de les expliquer puis nous nous interrogerons