Risque Opérationnel De Trésorerie Bancaire

Sophia Antipolis Institut d’Administration des Entreprises 24, Avenue des Diables Bleus- 06357 Nice Cedex 4 Tel : 04.92.00.11.01- Fax : 04.92.00.11.43 Année Universitaire 2013-2014 Mémoire de stage Master I Finance-Comptabilité Risque de crédit et financement d’exploitation d’une entreprise : Les solutions apportées par la BTP BANQUE Présenté par : Thomas CILIA Stage effectué chez : BTP BANQUE 455, Promenade des Anglais Bâtiment Nice Plaza, Arénas Responsable

a d at e or’s vec ad o a Gr d P -3 t n A en d a B- / tm ar B es nd “ B v In Sta g : r in pa Rat FONDS PROPRES CONSOLIDÉS 25,3 milliards de DH +21,4% FORTE CONTRIBUTION À LA BANCARISA TION PRODUIT NET BANCAIRE GROUPE 9 milliards de DH +10,1% 3,1 millions de clients 857 agences bancaires 501 points de présence micro-crédit DÉPÔTS DE LA CLIENTÈLE +6,2% Part de marché 27% CRÉDITS À L’ÉCONOMIE +13,5% Part de marché 23% RÉSULTAT NET CONSOLIDÉ GBP : 2,9 MILLIARDS DE DH RÉSULTAT NET CONSOLIDÉ

ONT LES 3 FAMILLES DE RISQUES MAJEURS AUXQUELLES SONT EXPOSEES LES BANQUES ? I/ INTRODUCTION : Pour une entreprise, une mauvaise maîtrise des risques peut avoir des conséquences désastreuses. Les banques ont la particularité d’un fort taux de concentration des risques, et sont donc très sensibles à la maîtrise de ceux-ci. L’innovation financière, la globalisation et l’accélération du rythme des opérations ont conduit à une multiplication et à une évolution des risques. Les événements récents

paiement d’un pays (ou d’une union monétaire et économique) est un bon indicateur du fonctionnement d’une économie. Elle est aussi un élément d’appréciation de sa crédibilité et de sa transparence. Les progrès constatés en matière d’intermédiation bancaire, le développement des institutions et la concurrence qui régissent le marché financier ont favorisé l’évolution et la diversité des instruments et moyens de paiement. Les nouvelles technologies de transmission de données (la télématique) et les

Introduction à l’étude du module « Trésorerie »…………………………1 1.1- Opérations concernées………………………………………………………………….1  1.2- Comptes enregistrant les opérations…………………………………………………1 1.3- Limites du module……………………………………………………………………….1 II- Les opérations, leur comptabilisation, leur contrôle et leur préparation par l’entreprise……………………………………………………...2 2.1- Notions générales sur les opérations de trésorerie………………………………...2 2.2- Principes comptables relatifs aux opérations de trésorerie………………………2 2.3- Caractéristiques

particuliers Section 1 : prise de connaissance générale de la société « X » Section 2 : évaluation du contrôle interne du cycle trésorerie Section 3 : Audit des comptes de trésorerie et revue analytique CONCLUSION Ecole Nationale de Commerce et de Gestion-Kenitra Audit comptable et financier 2 L’exposition aux risques liés aux opérations de trésorerie et sur les marchés est importante chez les entreprises. A mesure que les marchés financiers se complexifient, lesstratégies et les

des risques financiers. En effet, les banques encourent des risques plus nombreux et plus complexes. Ainsi aux risques de crédit issus de leur activité d’intermédiation, se sont ajoutés des risques au profil souvent complexe, il s’agit principalement de risque de taux d’intérêt, de taux de change, et de liquidité. Dans ce sens, et pour faire face à la montée puissante de ces risques financiers, et la multiplication des faillites, les banques doivent à la fois maîtriser leurs risques, gérer

Introduction générale : Plusieurs études se sont intéressées à l’évaluation de la performance des secteurs bancaires des pays développés et dans une moindre mesure, celle des pays en voie de développement. L’évaluation de la performance dans ces recherches se base essentiellement sur l’utilisation des frontières d’efficience, qui se sont imposées comme meilleure alternative à l’analyse traditionnelle par les ratios. L’efficience décrit, dans une unité de production, l’optimisation des moyens

financés ; du choix de financement fait entre capitaux propres et dettes financières la structure financière est équilibrée ; l’entreprise ne court pas un risque de rupture de trésorerie. La structure financière est-elle adaptée ? Les questions à se poser L’entreprise est-elle solvable ? A-t-elle la capacité de rembourser ses dettes ? Risque-t-elle d’être en rupture de liquidité, de faire faillite ? Qui finance l’entreprise (prêteurs ou actionnaires) ? L’entreprise dispose-t-elle de fonds propres

LIVRE BLANC SUR LA MESURE DE LA RENTABILITÉ DES ACTIVITÉS BANCAIRES La Commission bancaire exprime ses remerciements à l’ensemble des membres des différents groupes de travail, représentants des principaux établissements de la place, qui ont participé à une réflexion sur le suivi de la rentabilité des activités bancaires et se sont associés à l’élaboration de ce Livre blanc. PRÉAMBULE La Commission bancaire s’est attachée depuis de nombreuses années à assurer une concertation étroite et