Rivière du Lièvre

Arles, Actes Sud, 2005. 101 p. Salle H – Littératures d’expression française – [AFR84 NIMR 4 depa] Les jambes d'Alice : roman. Arles : Actes Sud, 2001. 141 p. (Afriques) Salle H – Littératures d'expression française – [AFR84 NIMR 4 jamb] L'or des rivières : récits. Arles : Actes Sud, 2010. 125 p. (Domaine français) Salle H – Littératures d'expression française – [AFR84 NIMR 4 orde] en commande Nouhouaï, Jérôme (1973- ) Jeune écrivain béninois. Le piment des plus beaux jours. Paris : le Serpent

malheurs étaient un secret entre Dieu et lui. - Allons ! marchez ! ajouta-t-il. Si vous restez assis, vous êtes perdu. - Que voulez-vous, Philippe ? c'est une si vieille habitude chez un magistrat ! D'honneur, je suis excédé ! Encore si j'avais tué un lièvre ! Les deux chasseurs présentaient un contraste assez rare. Le ministériel était âgé de quarante-deux ans et ne paraissait pas en avoir plus de trente, tandis que le militaire, âgé de trente ans, semblait en avoir au moins quarante. Tous deux étaient

féminins! Jamais voyagé en moyen orient => s’inspire d’images=> idéalisé, fantasmé! Nu du moyen orient = très érotique à l’époque! Lassif => on fait un lien vers l’érotisme! ! *Portrait de mademoiselle Rivière*! Problèmes de proportions en général (de vertèbres) volontaires! Rivière dans le paysage => écho avec le personnage! ! *Baigneuse*! Servira d’aboutissement pour le harem! Pinçon! de dos => d’habitude un nu académique est de face! Dos trop long (3 vertèbres de plus)! Violon

l’histoire de Sainte Béatrix. C’est le 6 octobre 1736 2 que Jean Dailleboust se fait octroyer un territoire d’écrit comme suit « d’un lieu et demie de front sur quatre lieues de profondeur, lequel sera borné par la devanture par la rive nord de la rivière de l’Assomption, du côté du sud-ouest par la ligne de la continuation de la Seigneurie de Lavaltrie »3. À plusieurs reprises la Seigneurie fût vendue et passa dans plusieurs mains avant de revenir à son propriétaire initiale. Jean Dailleboust racheta

fond de l'air bleu.  Comme elle gardait la même attitude, il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manœuvre ; puis il se planta tout près de son ombrelle, posée contre le banc, et il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière.  Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune, la séduction de sa taille, ni cette finesse des doigts que la lumière traversait. Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement, comme une chose extraordinaire. Quels étaient son nom

ou aux poireaux, pommes de terres gaumaises ou roustiquettes, salades aux cretons, gosettes, pain perdu anversois, croustillons, mortier de Herve aux herbes, baisers de Malmédy, biscottes de Bruges, speculoos, tarte au sucre brun de Namur, civet de lièvre à la mode wallonne, waterzooï à la gantoise. Ouh ! ça donne faim, j’espère que vous avez bien mangé avant de venir. Un historien belge a dit ceci : la gastronomie belge ? C’est... de la cuisine française améliorée.  Je ne sais pas si nos amis français

commune de NKOTENG riche et variée.la commune est drainée par le fleuve Sanaga (le plus long du Cameroun long de 918 Km, ponctué de chutes dont le plus célèbre est natchigal à batchenga), ainsi que par plusieurs rivières moyennes et ruisseaux. Parmi les plus importantes, nous pouvons citer : Tédé ; Yingnang ; Sélé ; Mendibi ; Evi’i et Banga. Nous relèverons aussi la présence de plusieurs sources non aménagées et des lacs propices pour

de Fès pour s’incurver dans la grande plaine de Rharb et venir rejoindre l’Océan à Kenitra. 40 kilomètres séparent cette ville de la métropole de Rabat et de Salé, divisées par le fleuve Bouregreg aux dimensions beaucoup plus modestes. La série des petites rivières qui séparent Rabat de Casablanca (90 km) ne doit pas faire oublier, à 150 km au sud de la capitale économique, le grand oued Oum er-Rbia (la « mère du printemps») qui, depuis sa naissance au cœur du Moyen Atlas tout près des sites touristiques qui

museau d’affamé à travers l’entrebâillement de la porte de la cuisine pour en aspirer les émanations affriolantes. À la chasse, il était réellement infatigable et avait le flair assez bon ; mais, si le 39 hasard le faisait tomber sur un lièvre blessé, il ne manquait pas de le dévorer jusqu’au dernier petit os, n’importe où, pourvu qu’il fût à couvert et à une respectueuse distance d’Ermolaï, qui éclatait alors en injures formidables dans tous les dialectes connus et inconnus. Ermolaï

........................... 18 5. Griffe de tigre................................................................................. 18 6. Patte de paon.................................................................................. 18 7. Saut de lièvre.................................................................................. 18 8. Feuille de lotus bleu....................................................................... 18 Chapitre V______________________________________________22 De la