Rivière Rideau

Afin de laisser agir le produit NETTOYER LE LAVABO   Frotter avec l'éponge ou la microfibre Afin de décoller les salissures Nettoyer les accessoires (cendriers, poubelle…)   NETTOYER LA BAIGNOIRE, LE BIDET, LA DOUCHE, LE PARE-DOUCHE OU LE RIDEAU   Frotter avec l'éponge ou la microfibre   Rincer à l'eau tiède Pour un séchage rapide Essuyer avec la chamoisine ou le chiffon Pour éviter la déposition du calcaire Faire briller les chromes Pour l'esthétique NETTOYER LES TOILETTES

est retardé par les conversations de ses amies puis Il y a tout une théâtralisation avec l'ouverture des rideaux et l'utilisation de la lumière, coup de théâtre souligné par l'adverbe « brusquement » et l'emploi de passés simples: « Elle tira un rideau devant la fenêtre...Une lumière vive éclaira brusquement le visage de la morte. Ce fut une horreur. ». Les bruits qui arrivent en écho de la rue (« A Berlin! » contribuent eux aussi à l'esthétisation de la scène. c)Un portrait à la porté symbolique

Devoir seconde : Incipit par Célia Focalisation zéro : Le narrateur est omniscient. Il sait tout, il voit tout. Type : narratif et descriptif, fonction informative. Elisa fut introduite dans le bureau, il est vaste et richement meublée, une odeur d’encaustique se dégage de la pièce. Les fenêtres sont ornées de lourds rideaux verts. Les murs sont tapissés d’une moquette murale beige. Le parquet est brillant et bien entretenu, les meubles du XIXème sont d’un bois de couleur sombre. Le temps semble

emballages alimentaires comme les pots de yaourts, les bouteilles d’eau et de lait, … - Appareils ménagers ; - Détergents, produits à vaisselle et lessives ; - Bouchons étanches, bougies, papiers traités ; - Colorants alimentaires, chewing-gum. - Rideau, bougies Dans la salle de bains : - Brosse à dent, dentifrice, peignes, bigoudis, shampooings, coloration de cheveux crèmes de beauté, de rasage, rouges à lèvres, parfums ; vernis à ongle ; - Couches-culottes, blouses et gants jetables ; - Bombes

l'acier et c'était comme une longue lame étincelante qui m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors

Hôpital de guerre La salle est vaste, les tentures en enfilade Semblent s’éteindre dans le lointain, à l’infini Perspective envoûtante qui glace, happe. Puis, il y a un lit. Voudrait y reposer un visage hâve. L’oreiller le porte comme oiselet sous son poids se froisser. Paupières closes, lèvres entrouvertes Pour un souffle déjà perdu, Il faudrait assister Cette âme presque passée S’imbiber d’un peu d’humanité. Puis, il y a un lit. Les draps renversés Jettent aux regards

Presentation: Les Epoux Arnolfini est un tableau peint par Jan Van Eyck, d'abord laissé sans titre, il est réalisé vers la fin de sa vie en 1434, correspond aussi à la fin du moyen age. Actuellement au National Gallery de Londres, il représente un double portrait familial dont les dimensions sont de l'ordre de 82 cm par 60. Biographie: Jan van Eyck (1390-1441) est un peintre flamand du 14ème-15ème siècle. Le réalisme de ses tableaux est saisissant et donnent l'impression d'espace grâce

DEMAIN DES L'AUBE Seq 0. Int-Ext/Jour – Prélude – Clip – Séquence musicale On suit le réveille de trois personnages en écran splitté, Issa, Djibril et Hasnine. On voit Hasnine sortir du studio, musique dans les oreilles, Issa se prépare, sort de la douche. Djibril prend son temps, minutieusement, se prépare, choisi ses affaires, brosse ses chaussures. Issa, se retrouve en bas de chez Djibril et sonne. Djibril ne répond pas. Hasnine arrive en bas de l'immeuble et croise Issa, ils discutent

et si Pierro della Francesca laisse présager cette notion de double tableau dans« Le jugement », il s'avère que c'est aussi certainement aux peintres siennois dont il tire encore d'avantage l'exigence d'une fenêtre, d'une porte ou simplement d'un rideau rentrant. Enfin, La rigidité avec laquelle les scènes et les personnages aux gestes figés sont peints, dans les tableaux de ce début du 16ème, caractérisent à nouveau le dévouement que Balthus accordait à ses oeuvres. Poussin Poussin, « l'enlèvement

Vomir & Ces Sourir qui Font flippé , Morgan qui veut me Croquer , Mon Javi qui me Manque , et Lorena et ces pipasol ,Nous Balancant des Bouteilles dans les Champs , Nous rentrant dans Lorena pour voir si on était en vie, Moi qui dansait derière le Rideau de la Boîte ,Moi etant Au telephone Avec Fabi et Te Demandant de M'appeler & Toi Qui Me sort "Driiiiiiing" , Encore moi qui regardait par le petit Trou D'une Fenêtre et toi qui l'Ouvre Grand , Jme suis retrouvée Comme une Gogole ,Moi toujours a Criée