Rivière Saint-Charles

bien des valeurs politiques. Le regard de Frédéric sur Paris du haut de son balcon - son appartement se trouve dans la rue Saint Hyacinthe (p. 69 aujourd’hui Rue Paillet), offre au lecteur une série des tableaux de Paris. Premièrement, c’est la Seine qui est décrite comme « la rivière qui coulait entre les quais grisâtres, noircis ». La Seine n’est pas une rivière naturelle mais un fleuve urbain limité par les bords bétonnés qui restreignent son étendu. Ces bords bétonnés incluent des quais

(vers 7 à 12) où on peut trouver un lieu très caractéristique de la rivière: « Voit du sein de ses eaux vingt îles s´élever » et « D´une rivière seule y forment vingt rivières » (vers 8 et 10.) Cette partie de la Seine, qui est à environ 200 mètres du village avec plusieurs bras et plusieurs îles, distingue parfaitement bien Haute-Isle des villages de la zone. On a plus de points de repérage sur le village et sur la rivière, mais dans cette partie du Val d’Oise beaucoup de villages ont une

n'est pas l'homme apte à conserver l'unité. Jusqu'à sa mort, il va lutter contre ses trois premiers fils ( Pépin, Louis, Lothaire), jaloux de leur demi-frère,Charles, fils de sa seconde femme Judith de Bavière. Par ailleurs, le pape Etienne IV gagne de l'indépendance et le lien entre Rome et l'Empire semble rompu. Après la naissance de Charles, un nouveau partage est décidé, celui-ci ne plaît pas aux trois frères qui déposent leur père en 833. Pépin et Louis, regrettant d'avoir donné tous les pouvoirs

construction de la statue de la Liberté à New York et de la tour Eiffel à Paris. Après s'être employé pendant quelques mois à la poudrerie de Châtillon-sur-Seine puis à la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, Eiffel fait la rencontre, en 1856, de Charles Nepveu, entrepreneur qui s'est spécialisé dans la construction métallique qui, grâce aux progrès de la métallurgie, connaît à cette époque une grande diffusion. Résistant, léger et facile à manipuler, ce matériau est bien souvent préféré à la pierre

bannir en exil. Sans point flatter, je parle plain, Hiver vous n'êtes qu'un vilain ! Charles d'Orléans Le temps a laissé son manteau... Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie, Et s'est vêtu de broderie, De soleil luisant, clair et beau. Il n'y a bête ni oiseau Qu'en son jargon ne chante ou crie: « Le temps a laissé son manteau! De vent, de froidure et de pluie, » Rivière, fontaine et ruisseau Portent, en livrée jolie, Gouttes d'argent, d'orfèvrerie; Chacun

royaume de Grandgousier. Rabelais décrit la façon dont le château de Gué de Vède fut détruit par l’urine de la jument de Gargantua : « Sa jument pissa pour se soulager le ventre […] toute cette pisse dévala jusqu’au Gué de Vède et gonfla tellement la rivière que toute la troupe des ennemis fut épouvantablement noyée ». Il est vrai que l’utilisation du comique scatologique peut choquer les esprits surtout à l’époque de Rabelais (16è siècle) et de surcroît lorsqu’il s’agit de l’emploi d’un comique gras

de société, les robots et bien d’autres jeux encore… Mais un soir…A la fermeture du magasin, après une longue journée bruyante, les jouets fatigués et tristes se mettent à parler… Prudemment, Juliette, la poupée, se lève et dit : « Allons voir si Charles, le gardien de nuit, fait sa ronde avant de discuter. » Aussitôt dit, aussitôt fait. Astro, le robot gémit : - Si ça continue, je vais avoir une crampe à la jambe et des cloques au pied. Ils n’arrêtent pas de me faire marcher et je suis fatigué !

sera ici analysé au scalpel, afin de déterminer la subtilité de l’onomastique flaubertienne. * I) La famille Bovary Le prénom « Charles2 » vient du germanique « viril », « fort », « vigoureux », « mari », « époux », « campagnard »3 ; en effet Charles est, au début, décrit comme « un gars de la campagne […] plus haut de taille qu’aucun d’entre nous » (61)4 ; « il n’avait guère d’élégance dans les tournures » (64) et, enfant, il allait nu « comme les enfants des bêtes » (65) ; « [son père] avait

Francis Jammes en 1902[9], qui habite alors à Orthez, lequel le présente notamment à Paul Claudel, avec qui il entretiendra des relations mouvementées. Grâce à Jammes encore, il entre en relation avec André Gide et le milieu de la NRF. Gide et Jacques Rivière le poussent à publier ses premiers poèmes[10]. Les poèmes "Images à Crusoé" puis "Éloges" paraissent dans la revue de la NRF en 1909 et 1910 puis en recueil sous le titre Éloges en 1911. Valery Larbaud consacre un article très élogieux au recueil

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