Robert Smith

Morale et Economie chez John Locke . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 ´ La Physiocratie ou l’Invention de l’Economie . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 La Philosophie Morale de David Hume . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 Adam Smith : de la Sympathie a l’Echange . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 ` ´ David Ricardo ou la Rupture M´thodologique . . . . . . . . . . . . . . . . 20 e 23 3 Utilitarisme, Utilit´ et Justice Sociale e 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 3.7 Introduction

préconise une| | | |certaine organisation du commerce extérieur. Le terme a été introduit en 1776 par Adam Smith qui évoque le“ système mercantile ” pour| | | |désigner un ensemble d’auteurs qui se sont succédés sur trois siècles et qui se sont intéressés à certaines questions économiques, en| | | |particulier : la puissance des Etats, l’enrichissement des marchands et le commerce international. A. Smith ne verra dans la doctrine| | | |mercantiliste qu’un tissu d’erreurs, d’autres auteurs comme J. M.

pensée qui préconise une certaine organisation du commerce extérieur. Le terme a été introduit en 1776 par Adam Smith qui évoque le“ système mercantile ” pour désigner un ensemble d’auteurs qui se sont succédés sur trois siècles et qui se sont intéressés à certaines questions économiques, en particulier : la puissance des Etats, l’enrichissement des marchands et le commerce international. A. Smith ne verra dans la doctrine mercantiliste qu’un tissu d’erreurs, d’autres auteurs comme J. M. Keynes estiment

économies nationales et du laissez-passer entre celles-ci. Sur ce dernier point, le libre-échange s'oppose à la vision des mercantilistes prônant le protectionnisme pour retenir l'or et l'argent dans l'économie nationale et enrichir le prince. Adam Smith s'intéresse plutôt à l'enrichissement des nations. Selon lui, les pays ont alors, au contraire, intérêt à échanger les marchandises pour la production desquelles ils disposent d'un avantage absolu, c'est-à-dire des coûts de production inférieurs à

l’arbitrage, des choix. L’économie est précisément l’étude de ces choix. Actuellement avec crise de 2007 cet outillage est trop perfectionné et pas assez explicatif du comportement des agents économiques. Naissance de la science économique : Adam SMITH (1776) : Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, (1723-1790) économiste et philosophe écossais. Contexte : début de la révolution industrielle en GB et qui se développe en France et en Allemagne et aux EU. La révolution industrielle

égoïstes? → Mandeville, La fable des abeilles, 1714, écossais C'est possible, c'est même parce que les gens sont égoïstes qu'ils arrivent à vivre ensemble. Les riches égoïstes achètent le travail des pauvres, ce qui leur permet de vivre. → Adam Smith, La richesse des nations, 1776, écossais Il établit des bases théoriques qui fondent notre société. Limites de la fable des abeilles: il y a des forces sociales où ça ne passe pas de dire cela. On ne trouve plus de légitimité sociale à la théorie

physiocrate °Cette école, qui est l'une des toutes premières théories éco, né en france en 1750 °Elle considère que la richessed'un pays provient exclusivement de l'agriculture et des échanges avec l'exterieur. °Auteurs: François QUESNAY (1694-1774), Anne Robert, Jaques Turgot ( 1727-1787), Louis Paul Abeille ( 1719-1807) °Pour les physiocrates, libéraux hostiles aux interventions de l'Etat, le véritable enrichissement n'est pas monétaire mais agricole °Objectif de la vie n'est pas l'enrichissement mais le

flamands, nouvelle sensibilité, innovations techniques (peinture à l’huile et perspective) Ce sont les historiens de l’art du XIXe siècle qui ont désigné ainsi les peintres de cette période, parmi les plus fameux : Jan van Eyck, le Maître de Flémalle (Robert Campin ?), Hans Memling, Gerard David, Petrus Christus, Rogier van der Weyden, Dierick Bouts et Hugo van der Goes. Ils sont à l’origine - Jan van Eyck et le Maître de Flémalle en particulier - d’une nouvelle sensibilité et de grandes innovations techniques

comme une externalité. Adam SMITH note ainsi que les arrangements entre marchands tournent souvent en des « conspirations contre le public » : les relations sociales sont donc considérées essentiellement soit comme un moyen de capter une rente, soit comme affaiblissant les incitations à être efficace. C’est grâce à des individus uniquement mus par leur intérêt personnel, sans interactions directes, que la richesse des nations sera la plus grande[1]  Réduire la pensée de SMITH à cette seule assertion

Or en réalité Adam Smith a utilisé ce concept de main invisible pour parler de la production mais jamais pour parler de l’échange c.-à-d. du Marché. Pour lui les individus sont conduis par une main invisible au moment où ils produisent (ex : le marchand de bières lorsqu’il produit de la bière ne pense pas au départ à l’intérêt de la société mais au profit qu’il peut espérer a la vente de bière ) mais pas au moment où ils échangent. Ce sont finalement les héritiers d’Adam Smith c.-à-d. les auteurs