Robespierre

suivre Paris : on parle alors de soulèvement fédéraliste. C’est dans ce contexte que la convention met en place la Terreur. A partir du printemps 1794, elle orchestrée depuis Paris sous le contrôle du Comité de Salut Public[10] dirigé par Robespierre, montagnard, soutenu par les sans-culottes[11] et le Club des Jacobins. Le Tribunal révolutionnaire se donne le droit de juger sans avoir de preuve en se fondant sur la conviction du juge. La loi des suspects, votée le 17 septembre 1793, permit

opposants. Robespierre dirige la France d’une main de fer. Ses ennemis, comme les Girondins ou Danton, sont exécutés. Trouvant que le pouvoir n’est pas assez sévère avec les opposants, les sans-culottes se révoltent. Les Montagnards prennent le pouvoir aux Girondins et instaurent la dictature du Comité de salut public. C’est le début de la Terreur. Le Comité de salut public : 9 membres, puis 12, élus par les députés de la Convention, dirigent le pays sans partage, autour de Robespierre. Ils font

Prudhomme. Prudhomme est un journaliste de carrière qui avant la révolution prétendait avoir écrit 1500 pamphlets qui critique la monarchie et il avait été plusieurs fois arrêter avant la révolution Française. Tournon et Loustallot sont proche de Robespierre et son contre toute forme de monarchie, le peuple doit avoir le pouvoir pour eux. C'est un journal qui est très critique vis-à-vis de la monarchie et vis-à-vis des révolutionnaire modéré qui serait pour la monarchie constitutionnel. C'est un journal

part du principe que la volonté générale est bonne par définition, il n’y a donc pas de limites à la volonté générale. L’optimisme rousseauiste se retrouve dans l’état d’esprit des révolutionnaires, mais cet optimisme a un caractère tragique : Robespierre va envoyer à la guillotine les minoritaires qui ne veulent pas se soumettre à la volonté générale. 3ème partie : Les conséquences des principes de Jean-Jacques Rousseau. Il y a quatre conséquences que l’on peut mettre en évidence : * La majesté

éloigné, Robespierre refuse un retour à la normale, il est donc guillotiné le 18 juillet 1794. Une nouvelle Constitution de l’an III est organisé, la nouvelle déclaration des droits et des devoirs aboli celle de 1793 qui marque le suffrage universel. Le pouvoir exécutif est confié à un directoire. L’installation de cette république a rencontré énormément de difficultés. Mais cette république est une bonne chose car les citoyens retrouvent leur liberté qui avait été suspendue par Robespierre.

est exécutée le soir même.Son influence politique passe principalement par le salon qu’elle organise à Paris, dans la continuité des idées des philosophes des Lumières. Celui-ci, qui accueille au début de la Révolution des députés de gauche comme Robespierre, devient progressivement un espace de sociabilité girondine où se croisent journalistes, écrivains et hommes politiques.de ce fait, elle se trouve informer des affaires politiques sous la révolution. Elle perçoit ainsi très bien les évolutions politiques

Parlez-nous de lui." Refrain d'une chanson de Pierre-Jean Béranger, 1826. in Marseille J. et alii, Histoire 2e: les fondements du monde contemporain, éd. Nathan, Paris, 2001, p. 184-185 Maximilien de Robespierre Né à Arras en1758, décédé à Paris le 28 juillet 1794, Robespierre est issu d’une famille de la petite bourgeoisie. Jeune homme pauvre et doué, il poursuit des études qui le mènent au métier d’avocat. Il est élu député du Tiers Etat aux Etats Généraux après avoir fait une campagne

qui est chargé du rapport devant la Convention. Soutenu par Robespierre, il veut que les accusés soient présents à la lecture du rapport et qu’on les arrête en fin de séance. La 8 majorité du Comité s’y oppose par crainte d’un débat dangereux. « Si nous ne le faisons pas guillotiner, nous le serons. » Fête de l'Être Suprême La Convention crée par décret une nouvelle religion : le culte de l'Etre suprême. C'est Robespierre, inspiré par les idées des philosophes du XVIIIème siècle

députés rédigeants la Constitution et réforment les institutions. Dans l’ANC : - une droite hostile à la Révolution et qui demande le maintien du Roi - une gauche qui veut imiter les pouvoirs du Roi au maximum Des orateurs influents apparaissent : Robespierre, Danton et Mirabeau A- Émergence d’une France nouvelle -Les français font l’apprentissage de la citoyenneté => politisation massive avec des débats politiques et publiques, la multiplication des clubs et l’essor de la presse (ex de journal

d'ordre de la Terreur. Que ce soit parmi les girondins, les montagnards, les sans-culottes, ces principes quoique pervertis reviennent de manière récurrente. De fait, chez les girondins, la liberté est le « sésame », le but suprême au point que Robespierre s'en prendra dans ses Lettres à ses commettants à ces faux patriotes « qui ne veulent constituer la République que pour eux-même, qui n'entendent gouverner que dans l'intérêt des riches ». Au niveau religieux, la liberté de culte, recherchée