Rocking chair

.......................................................................... .......................................................................................................... Le coeur le front les cheveux les jambes les dents le sang la chair 1. Pour caractériser un décor fantastique, j’associe chacun des noms de la 1ère liste des adjectifs qualificatifs ou expressions de la 2ème liste (et j’effectue les accords nécessaires): Au choix Auberge Boutique Bureau Cave Chambre Château Cimetière

vitesse effroyablement rapide. Je ne voyais même plus mes pieds. Le cylindre n’avait aucune lumière, mais était très raide et je sentais une douleur dans mon dos. J’étais très mal positionné. Mon cœur battait aussi vite que je descendais, j’en avais la chair de poule de ne savoir où j’allais. La fin du tunnel était proche, et plus je me rapprochais, plus je sentais une chaleur m’envahir. Ce fut une descente aux enfers tout droits chez le diable. Mon compagnon de voyage était-il au courant de ce passage

Combien y a-t-il de personnages? Qui sont-ils? 6 ou 8 personnages: des passagers du bateau et le commandant. Que pouvez-vous dire du fonctionnement de la narration? Il y a 2 récits= récits enchâssés: celui du 1er narrateur, un passager et celui d’un autre passager au teint bronzé. A quel moment passe-t-on d’un récit à l’autre? Que diriez-vous des points de vue employés dans chacun des récits. Justifiez. Dans le 2nd récit, relevez les expressions qui montrent que les personnages sont en proie

1- Le fleuve était calme, le couché de soleil éblouissant. Les arbres et la flore qui les entouraient rendaient cette forêt vivante et magique. En effet Arthur et Victor, deux touristes français, amis d’enfance, pouvaient s’estimer heureux de vivre ce voyage inoubliable. Eux qui rêvaient depuis tout petit de venir un jour explorer la forêt Amazonienne. 2- De plus, alors qu’ils ne s’étaient pas muni des services d’un guide, ils pouvaient s’aventurer où ils le souhaitaient, voir tous les endroits qu’ils

ne savais quoi faire, je me rassurais en me disant que s’était surement les voisins. Quelques minutes plus tard un cri encore plus fort et horrible que le premier résonnait du fond du couloir. A ce moment la j’étais tétanisais de peur j’avais la chair de poule. Je décidais de prendre mon courage à deux main et de vaincre ma peur pour voir ce qui faisait ce bruit qui m’horrifié. Me dirigeant vers ce couloir qui mène au salon je sentais mes dent claquer, plus je me rapprochais plus je sentais mes

Désert de Le Clézio. Introduction: I Lalla entre frayeur ,angoisse et trouble A) Description d'un trouble physique -Champ lexical du corps :« front, dos, reins, aisselles » -Champ lexical de la maladie et su stress : «  sueur , respirant avec peine , » -accumulation «  la sueur ….aisselles » → accentue le trouble qu'elle ressent physiquement. -c'est aussi une gradation car au début la sueur coule puis elle la mouille pour enfin la piquer , peu a peu la sueur devient donc gênante jusqu'à lui

et le derme, qui repose sur le tissus sous-cutané (l’hypoderme) Rôle protecteur de la peau comporte cellules kératinisées Rôle d’échange : * Thermique contre la chaleur : transpiration * Thermique contre le froid : épaisseur de la peau, chair de poule * Sensoriels par les terminaisons nerveuses  * Chimique : excrétion de l’urée par la transpiration * Photochimique synthèse vitamine D L’épiderme est une couche protectrice, sa couche est épaisse et en est constituée de plusieurs

de l’histoire et de rester dans le monde du livre avec les personnages. C’est ce qui appuie l’illusion du réel ; le rêve. Au-delà de l’imagination, les émotions et sentiments sont physiques : le cœur bat plus vite, on ressent des frissons, on a la chair de poule, etc… Grâce à ses sensations, le lecteur est maintenant « baigné » dans l’histoire. Il ressent donc physiquement ce qu’éprouvent les personnages. Il est maintenant programmé pour aimer tel ou tel lieu ou un personnage spécifique. Les sentiments

de franchir l'entrée de cette hôpital qui n'inspirait guère confiance, il monta à l'étage et se retrouva devant un couloir extrêmement grand et large. Il était juste comme tous les autres couloirs il était d'un blanc si propre que l'on en avait la chair de poule tellement l'atmosphère présente était pesante. Au premier coup d’œil il pouvais dire qu'il régnait dans ce couloir une tristesse qu'on ne pouvais trouver nulle part ailleurs dans cette hôpital. Autant de chambres et pourtant aucune de libre

souvent, par des tremblements, une hausse de la fréquence cardiaque, un écarquillement des yeux et une perturbation du rythme respiratoire. La peur soudaine peut provoquer le besoin de pousser un cri ou peut provoquer ce qui est communément appelé « chair de poule » ou même dans les cas extrêmes elle peut faire perdre connaissance. A propos des symptômes de la peur Charles Darwin les décrivit ainsi : « La peur est souvent précédée de l'étonnement, dont elle est proche, car les deux mènent à une