Roland Barthes Phèdre

Éditions Belin/Éditions Gallimard. Les trois questions de l’examinateur Question 1. Quelles autres figures de confidente connaissez-vous dans le théâtre classique ? Quelle est leur fonction ? Dans la tragédie, on peut penser à Œnone, la confidente de Phèdre et à Céphise, celle d’Andromaque ; dans la comédie, il est possible d’évoquer Dorine dans Tartuffe. Les exemples sont nombreux et chaque pièce classique met en scène une figure de confidente ou de confident. La fonction de ces personnages est principalement

littéraire). Les relations causales peuvent être internes à l‘objet, par exemple la trop grande longueur d‘un passage causera de l‘ennui (les relations peuvent aussi être thématisées, intégrées dans son contenu : par exemple, le caractère bouillant de Phèdre est ce qui cause sa perte), ou du moins à la classe ou au type d‘objets (par exemple, tel texte littéraire qui a influencé l‘écriture de tel autre). Pour vérifier si un élément est la cause d‘un autre, on peut notamment le remplacer par un autre ou

La Tradition du nouveau [1959], trad. Anne Marchand, Paris, Éditions de Minuit, 1962, p. 10. Comparatismes -n° 1Février 2010 19 Audrey Giboux 16 La résistance à la modernité a également été analysée par Antoine Compagnon à la suite de Barthes (lequel écrivait en 1977 : « Tout d’un coup, il m’est devenu indifférent de ne pas être moderne »23), dans Les Antimodernes, définis comme des « modernes en liberté », les véritables modernes, au sein desquels il place Baudelaire lui-même, en vertu

des recherches en cours, des bibliographies, des index ou d’autres types de travaux analogues sur la littérature québécoise, réalisés par des chercheurs, étudiants ou professeurs du Département d’études françaises. Illustration de la couverture : Roland Giguère Réalisation graphique : Services de la polycopie, Université de Montréal Vente : Centre d’études québécoises, 3150, rue Jean-Brillant, salle C-8141, Montréal (téléphone : 514-343-7369; télécopieur : 514-343-2256; courriel : cetuq@ere.umontreal

Deleuze et C. Parnet : « Dialogues ». Alain : « Spinoza ». Billecoq : « Les combats de Spinoza ». Hume : « Traité de la Nature Humaine ». Jean-Didier Vincent : « Biologie des passions ». Epicure : « Lettre à Ménécée ». Lucrèce : « De la nature ». Roland Barthes : « Fragments d’un discours amoureux ». Michel Foucault : « Histoire de la sexualité -2- l’usage des plaisirs ». Schopenhauer : « Métaphysique de l’amour ». Lévinas : « Le temps et l’autre ». Alain Finkielkraut : « La sagesse de l’amour ». Michel

Moyen Âge : fervent et farceur Chapitre 1 - Les grands reportages En direct du Moyen Âge Le temps goth des ravageurs Le français : un vrai roman Comment joindre la « geste » à la parole… Les gestes en laisses Plus de quatre mille vers ! La Chanson de Roland : un dopant pour chevaliers On connaît la chanson… Guillaume au court nez et sa femme Guibourc Raoul de Cambrai a la haine Huon de Bordeaux a tué Charlot Des envoyés très spéciaux : les chroniqueurs Villehardouin : pleins feux sur la IV e croisade

L'Albatros de Charles Baudelaire : « Exilé sur le sol au milieu des huées // Ses ailes de géant l'empêchent de marcher ». Reste que pour évaluer une figure par rapport à cette norme, il faudrait définir « un degré zéro de l'écriture » selon Roland Barthes et de l'usage linguistique, ce qui n'est pas possible puisque chaque locuteur teinte son propos de sa subjectivité propre. C'est dans les textes littéraires qu'on rencontre plus particulièrement les figures de style employées pour leur fonction

amoureuse de Britannicus), - qu’Agrippine représente la mère possessive et dominatrice, le pouvoir parental absolu auquel Néron rêve d’échapper pour s’émanciper (« Néron veut devenir un homme, il ne le peut et il souffre » , commente le critique Roland Barthes), - que Burrhus la vertu et Narcisse le vice incarnent les virtualités inverses de ce que Néron peut devenir moralement et politiquement, - que Britannicus, le demi-frère de Néron et son rival, représente lui aussi l’anti-Néron, amant dévoué,

 Bérénice (1670), Bajazet (1672),Mithridate (1673), Iphigénie (1674). En 1673, il était entré à l'Académie française. Trois années s'écoulent entre Iphigénie et Phèdre jouée au mois de janvier 1677; on sait qu’une violente cabale fut montée contre la Phèdre de Racine par la duchesse de Nevers et la princesse de Bouillon qui voulaient faire triompher la Phèdre de Pradon. D'ailleurs, la pièce de Racine se releva après la troisième représentation, et il est inexact de parler ici d'une chute.   Mais Racine, précisément

fervent et farceur Chapitre 1 - Les grands reportages En direct du Moyen Âge Le temps goth des ravageurs Le français : un vrai roman Comment joindre la « geste » à la parole… Les gestes en laisses Plus de quatre mille vers ! La Chanson de Roland : un dopant pour chevaliers On connaît la chanson… Guillaume au court nez et sa femme Guibourc Raoul de Cambrai a la haine Huon de Bordeaux a tué Charlot Des envoyés très spéciaux : les chroniqueurs Villehardouin : pleins feux sur la IVe croisade