Roland Blum

programme commun pour les élections est signé par Maurice Thorez (communiste), Léon Blum (socialiste) et Edouard Daladier (radical) dans le but de gagner les élections législatives de 1936. Ils adoptent un slogan "Pain, Paix et Liberté". Ils veulent lutter contre le chômage et la crise économique dans le mot "Pain". Ils sont contre la guerre dans le mot "Paix" et contre la dictature dans le mot "Liberté". Léon Blum est nommé Président du Conseil. Il est confronté à une vague de grèves inattendues

ou les grands magasins, des compagnies de théâtre (comme le groupe Octobre de Jacques Prévert) jouent des pièces. On compte 12 000 grèves, dont 9 000 avec occupation, entraînant environ 2 millions de grévistes. Malgré les paroles rassurantes de Léon Blum, le climat qui règne alors en France a des connotations clairement révolutionnaires. Peu ou pas encadré par des organisations politiques ou syndicales, le mouvement trouve des causes multiples et fortement localisées, mais a aussi un côté festif. Comme

d’extrême-droite comme les Croix de feu, dont certaines affichent ouvertement leur anti républicanisme, leur xénophobie et leur antisémitisme, comme Action française de Charles Maurras. La gauche est divisée depuis 1920, entre les socialistes de la SFIO (Léon Blum) et les communistes du PCF (Maurice Thorez) qui soutiennent inconditionnellement l’Union soviétique de Staline. La crise de régime atteint son point culminant le 6 février 1934. Le scandale Stavisky provoque une crise ministérielle ; le jour où le

de 1936 sont gagnées par le Front populaire. Élections législatives : élection des députés. Le Président de Conseil (Premier ministre) en juin 1936 : Léon Blum chef de la SFIO. Dans les entreprises françaises en juin 1936 des grèves éclatent et les entreprises sont occupées par les ouvriers. A Matignon Le Président du Conseil Léon Blum réunit la CGT et les représentants patronaux. Le 7 juin 1936, les Accords de Matignon : augmentation des salaires, 15 jours de congés payés, 40 heures de travail

couches (opprimées) de la société. Déjà au cours des mois précédents la conscience de soi de la classe ouvrière avait eu des effets dans les autres groupes sociaux, dégonflant la baudruche fasciste. Le patronat panique, mais il n'est pas le seul. Léon Blum déclarera plus tard que ces grèves,au moment précis où il devenait chef du gouvernement, constituaient pour lui une gifle. Il veut mettre en place ses réformes progressivement mais il est victime de l'espoir provoqué par l'élection du Front populaire

communistes, radicaux de gauches signent pacte d’action (slogan : «Pain, Paix et Liberté») = 1ère manif du Front Populaire. III) LE FRONT POPULAIRE 1) La victoire du Front Populaire FP remporte élections législatives en mai 1936 (députés). Léon Blum forme gouvernement de gauche avec 3 femmes. Grèves se déclenchent dans pays pour réformes sociales. 2) Les réformes de 1936 Accords Matignon signés par ministre du travail, syndicat des travailleurs et patrons : -15 jours de congés payés - semaine

parlementaires (le texte de « Solidarité française » est une bonne illustration). C’est dans ce contexte que naîtra le Front populaire, alliance politique d’abord entre la SFIO et le PCF en juillet 1934, rejoints en 1935 par le Parti radical. Léon Blum n’a guère de sympathie pour le PCF qu’il juge trop sectaire et trop attaché à une URSS dont il connaissait déjà l’absence totale de démocratie. Pour le PCF, la SFIO reste un parti bourgeois. Néanmoins, le poids politique du PCF n’est pas négligeable

législatives de 1936, avril-mai 1936 : Source : http://blog-histoire.fr/2000-ans-histoire/2114-le-front-populaire-1ere-partie.html Parmi les auteurs mentionnés au bas de la couverture, on trouve Édouard Daladier, dirigeant des radicaux, Léon Blum, dirigeant de la SFIO et Maurice Thorez, dirigeant de la SFIC. Source :http://lelivrescolaire.fr/4325/2_La_Republique_de_l_Entre_deux_guerres_victorieuse_et_fragilisee.html#Document=16612 En juillet 1935, née l’alliance électorale conclue sous

tard, le 14 juillet 1935 la gauche radicale va rejoindre le pacte. Cette coalition appelée Front Populaire va être soutenue par la CGT et CGTU. En avril 1936, le Front Populaire remporte les élections législatives avec à sa tête le socialiste Léon Blum. Se suit alors d’immenses grèves de la part des salariés (près de 2 millions en France). Ainsi, le 7 juin 1936 sont signés les accords de Matignon. Les salaires sont augmentés, le droit syndical est reconnu, des contrats collectifs sont établis et

tenter l’invention des trouvères. Ceux-ci vendent à des jongleurs leur récit qui vont les chanter dans les fêtes accompagnés de la vielle. Essayons de voir maintenant comment a pu naître La Chanson de Roland, la plus ancienne de nos chansons de geste, et aussi la plus belle. 2.- LA CHANSON DE ROLAND Peu d’éléments historiques corrobore l’origine de la Chanson: en 778, Charlemagne revenait d’Espagne, après une campagne heureuse contre les Sarrasins; comme il franchissait les Pyrénées, les