Roman Courtois

A la fin du roman Une Vie, de Maupassant, Rosalie dit à Jeanne : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit ». Selon vous, le roman doit-il avoir pour rôle d’ouvrir les yeux du lecteur sur la vie ou de l’aider à échapper à sa propre vie ? I. Le roman, lieu de plaisirs Définition de Furetière, 1690 : « Livres fabuleux qui contiennent des histoires d’amour et de chevalerie ». Encyclopédie, XVIII° s : « histoire fictive des diverses aventures extraordinaires ou vraisemblables

Le prologue dans le Roman. Le Moyen-Âge n'a connaissance des œuvres grecques que par le biais du Latin. Les clercs, qui ont le désir de partager et de faire connaître leurs écrits, s'inspirent de ses traductions pour retranscrire et parfois même réinventer l'histoire des héros de l'antiquité grecques à travers des romans épiques qui relatent leurs exploits. Ainsi, le partage ne se fait plus par l'oral mais par l'écrit (toute fois l'orale reste présent dans le cas des analphabètes qui sont à l'époque

05/03/13 HDL : Suite traduction roman d’Alexandre : V2995 : Sire Alexandre, si vous avez envie, Vous devriez très bien écouter ce que je sais sur la seconde fontaine, Les dieux la firent sortir de terre. Celui qui s’y baigne devient immortel, On ne peut la voir qu’une seule fois par an, Je vais te donner un bon conseil, si tu y consens, Car je ne veux en rien te mentir. Vous ferez partir vos hommes dans plusieurs directions, Au cas où l’un d’eux y parvienne par hasard. « Par dieu, dit

Mlle de Chartres => Princesse de Clèves (jeune mariée avec Prince de Clèves) INTRODUCTION : - Mme de La Fayette (1634 – 1693) *Aristocrate ayant vécu à la cour + Femme de lettres - La Princesse de Clèves: *Roman classique assez bref + inhabituel ( différent des romans fleuves) + analyse psychologique des personnages * Extrait: peu après le mariage de l'héroine (→ n'aime pas son époux) * coup de foudre entre Princesse – Duc de Nemours * Comment Mme de La Fayette renouvelle

Sujet : Guy de Maupassant a écrit à propos du romancier : « Son but n’est point de nous raconter une histoire, de nous amuser ou de nous attendrir », mais « c’est [sa] vision personnelle du monde qu’il cherche à nous communiquer ». Cette conception du roman est-elle fondée ? Le jugement de Guy de Maupassant a été émis à la fin du XIXème siècle. A cette époque l’observation d’une nouvelle société, née de la révolution industrielle, donnait aux romanciers matière à écrire en décrivant des situations

Julien est sublimé par la beauté de Mme de Rênal, cela a 2 conséquences: perte de timidité il oublie pourquoi il est venu Elle est présentés comme une femme troublée CONCLUSION : Julien retrouve la posture du chevalier face à sa dame = roman courtois d chevalerie Mme de Rênal : «  cristallise » sa joie délibérée d'un méchant précepteur sur Julien Stendhal montre que les condition d'une rencontre sont aussi importantes que la nature réelle des personnages

Valmont adopte une façon de parler qui n'est pas le sienne : il imite les romans sentimentaux pour s'adapter à l'univers de Tourvel (un langage raffiné, précieux), et donc pour mieux l'atteindre / la toucher. V. est doué, il parle comme elle, pas comme il le ferait naturellement. Champ lexical sentimental (≈ de l'amour) : « ardeur » (l.3), « amour » (l.9), « trouble » (l.14), « passions __.__» (l.18-19), « tourments » (l.20), « désespoir » (l.25), « émotion » (l.29), « transports » (l.30), «

La princesse de Clèves Introduction : -roman de mme de LaFayette (1678) (renaissance) -publié sous un pseudonyme (Claude Barbin) puis en 1780 Lafayette apparaît sur l’œuvre -roman moderne car premier roman d’analyse psychologique et fin du roman courtois médiéval -XVII marqué par la préciosité (contraste) -roman encré dans la vraisemblance (vraisemblance historique : cour de Valois d’Henri II + vraisemblance psychologique : évolution naturelle des sentiments) -présenté comme l’inspiration

Introduction Guillaume d’Angleterre est un roman relativement peu évoqué dans les histoires de littérature médiévale, notamment car il pose plusieurs problèmes. Le premier est celui de son attribution : si le narrateur se présente sous le nom « Crestiiens »[1] dès le prologue, personne ne peut affirmer que l’auteur du texte est ou n’est pas Chrétien de Troyes. Se pose aussi la question de la datation du roman, inhérente à celle de son attribution : si l’on suppose que l’auteur n’est pas Chrétien

Texte 1 La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette Introduction Au 17ème siècle, plus précisément en 1678, Mme de la Fayette écrit La Princesse de Clèves. Cette œuvre marque l'épanouissement du roman et la fin du roman courtois médiéval. Des personnages plus complexes et raffinés font leur apparition dans la littérature. Cet extrait nous présente deux personnages issus de la noblesse française sous le règne d'Henry II. Il s'agit du duc de Nemours et de la princesse de Clèves. Ils se rencontrent