Roman d'espionnage

Dissertation sur ''La Bête Humaine''. Dès le titre du roman, ''La Bête Humaine'', Émile Zola annonce la violence ainsi que la bestialité. Cette métaphore est présente tout au long de son oeuvre et caractérise une grande partie de ses personnages. Selon lui, derrière la civilisation se cache une grande violence où les passions meurtrières et amoureuses sont liées. En quoi la bête humaine se présente t-elle comme une oeuvre naturaliste ? Pour répondre à cette question, une étude de personnages

Introduction -dire quelques mots de DD : à vous.-DD conçoit ce roman dans les années 1760, le rédige dans les années 70, le publie en revue par extraits pour un nombre limité de lecteurs. Sa publication presque complète sera posthume et c’est seulement au XXème siècle qu’on pourra lire l’édition scientifique d’une œuvre  majeure.nous devons commenter un INCIPIT qui traditionnellement a pour fonction de donner beaucoup d’informations et des indices qui poussent le lecteur à poursuivre sa lecture

La scène de bal est, dans le roman, un topos littéraire. Elle est en effet présente dans tout ce groupement de texte constitué de l’extrait « Cendrillon ou la petite pantoufle de verre » tiré des Contes de Ma mère l’Oye de Charles Perrault datant de 1694, d’un second de Madame Bovary écrit par Flaubert en 1857 et d’un dernier de Germinal de l’auteur naturaliste Emile Zola en 1887. Mais quelle est la fonction romanesque de la scène de bal dans les textes de ce corpus ? Ces trois textes, d’époque différente

Est-il nécessaire de juger, d’aimer ou de haïr un personnage pour apprécier un roman ? I le roman et le héros A des destins d’exception Romans de capes et d’épées, d’aventure, romans d’apprentissage, identification avec le héros (jeune homme ou femmes voulant échappé à son destin) ambition lecteur s’évade à travers les aventures de son héros B des caractères non communs Fortes personnalités, physiques particuliers (princesses de Clèves) (félicité Rougeon qui représente une partie

personnelle. C’est pour cela que La Normandie, région ou Le petit Maupassant a grandi, est un cadre spatial très retrouvé dans ses écrits (« Une vie » 1883), et l’influence que paris a exercé sur Maupassant est également très visible dans ces romans où les actions se déroulent dans la ville des lumières (Bel-Ami, 1885). Par ailleurs, quelques souvenirs de Maupassant concernant la guerre de 1870 ainsi que de l’occupation allemande représentent les thèmes de plusieurs de ses productions (« Boule

qui lui parvenaient de plus en plus intenses à mesure que s’obscurcissaient les doux après-midi.» Henry James (extrait des « Ambassadeurs ») Lire page 3 présente Frustrés? Pire, déçus! REND-ON réellement hommage à un auteur en publiant un roman inachevé ? Thierry Jonquet est mort en août 2009, laissant un manuscrit en cours d’écriture. Le Seuil le publie en l’état et sous son titre de travail, Vampires ; il coûte 18 euros et compte 186 pages. 186 pages sur ce qui promettait d’en compter combien

Soleils couchants, Feuilles d’automne, 1831, Victor Hugo *  Victor Hugo, auteur complet (romancier, dramaturge) et engagé (Le dernier jour d'un condamné) est aussi un adepte de la poésie pour laquelle il tiendra un rôle de premier plan. Il devient le chef de file des romantiques, et c’est plus tard qu’il s’intéressera à la politique. Né à Besançon en 1802. Il a aussi fondé un journal monarchiste à 17 ans. * Le Cénacle est une réunion d'artistes et de jeunes écrivains romantiques qui se regroupaient

Dans la plupart des romans la description participe à la construction du personnage en nous présentant son caractère. Dans le roman Le père Goriot, Balzac décrit la pension que Madame Vauquer dirige et à travers cette description il nous présente celle ci. «  Toute sa personne explique la pension, comme la pension implique la personne » Nous nous demanderons comment la description contribue à la construction des personnages et de l'univers romanesque. Il s'agira tout d'abord d'examiner la description

heureusement les jours de la littérature psychologique à affabulation romanesque sont comptés. » (p. 18) Breton, on le remarquera égratigne au passage le genre romanesque. Breton, en effet, avait horreur du roman, parce qu’en tant que pervers (ceci étant dit sans jugement de valeur, objectivement) : avec le roman, c’est une fiction, et, une seule, qui lui est imposée, ce qui le prive de toute créativité narcissique. Très rapidement, on voit clairement que Nadja, le livre — on découvrira qu’il en de même pour

condamnation ferme de l'antisémitisme. L’Argent, publié en 1891, aborde le thème de la bourse, de la spéculation qui s’y déroule et des scandales qui en découlent. C’est aussi le roman de la décadence financière de la deuxième puissance économique de l’époque ainsi que du régime politique qui la dirigeait. Dans ce roman, Zola réalise plus une sociologie de l’argent dans son époque que des personnages et de leurs familles, comme dans les autres opus des Rougon-Macquart. Le sujet de l’argent n’était