Roman Fait Réel Ou Imaginaire

Depuis le XIIIe siècle, le roman est une « œuvre d'imagination constituée par un récit en prose d'une certaine e longueur, dont l'intérêt est dans la narration d'aventures, l'étude des mœurs ou des caractères, l'analyse de sentiments ou de passions, la représentation du réel on de diverses données objectives ou subjectives . Le roman doit-il chercher a nous éloigner de la réalité ou a nous la faire mieux comprendre ? c’est la question a laquelle nous allons répondre en étudient c’est trois thèmes

société réelle. => description au service de la dénonciation ( chap 17-18 relèvent du genre de l’utopie). 1) 3 lieux relevant de l’utopie Baronnie de TTT El Dorado Métairie -lieu lointain : Westphalie = difficile à situer (inconnu au lecteur français du XVIII.) MAIS -réel : cadre choisi s’inscrit dans la réalité et donne de la crédibilité à l’histoire raconté et à la société décrite -lieu lointain, difficile à situer, culture inconnue. MAIS -lieu imaginaire, de légende. Conquistador ont fait le récit

1) le roman permet l'évasion fait travailler l'imagination apporte du rêve 2) le roman est source d'informations il disséque les moeurs et habitudes d'autrui il exprime ou pas des valeurs ou contre-valeurs il permet la réfléxion et la critique a) l'évasion: cloitré dans le cadre rigide de notre vie , il peut nous arriver de ressentir comme une certaine lassitude quand au déroulement de notre quotidien. cette lassitude est bien souvent révélatrice d'une sorte d'étouffement qui

dernier, tout en laissant libre cours à la fiction du ressenti, le courant littéraire postmoderne a ouvert le chemin à une libre expression. À travers ce courant, par le genre littéraire de l’autofiction, Amélie Nothomb, notamment par le biais de son roman Stupeur et tremblements, démontre qu’elle a su trouver une voie salutaire pour s’accomplir et ainsi satisfaire sa quête identitaire. Fille d’un ambassadeur Belge et d’une mère Française, Nothomb a vu le jour au Japon. Elle y a passé les cinq premières

fondée sur des faits imaginaires. Pour envisager une fiction, l’auteur dispose d’un large éventail de possibilité entre deux extremes : il peut dissimuler sa part d’invention par une illusion réaliste et ainsi n’avoir recours qu’a des faits vraisemblables, tout comme il peut déployer librement son imaginaire créant ainsi un univers surréel. Cependant, tous les faits qu’une fiction présente ne sont pas nécessairement imaginaires, c’est le cas, par exemple, de romans historiques. Ces derniers

Bovary (1857) de Flaubert, La Modification (1778) de Butor et le Rapport de Brodeck (2007) de Claudel, sont extraits de romans, mais les auteurs ne cherchent pas tous à raconter une histoire. Nous verrons en quoi, certains de ces auteurs demeurent dans les carcans traditionnels du roman, tandis que d’autres osent et revendiquent la modernité d’écriture. Les extraits issus des romans, Le rapport de Brodeck et Mme Bovary sont des récits classiques. En effet, alors que Claudel met en scène la véritable

pour le comique, le corps du spectateur, qui rit, qui s'exclame, qui s'offusque, est nécessaire, sans quoi la pièce perdrait sa raison d'être. Une comédie de type le Bourgeois gentilhomme ou le malade imaginaire sans spectateur perdrait beaucoup; un rôle comme Toinette dans le Malade imaginaire fait sans cesse appel au spectateur pour établir la connivence dans la moquerie du patron ridicule. Elle est également nécessaire, à l'inverse, dans le cas tragique, dans le processus de la catharsis. La catharsis

d’observation incontournable pour tout auteur réaliste soucieux de décrire et d’expliquer la société de son époque. Ainsi Balzac place-t-il La Comédie Humaine au cœur du contexte parisien. Clé de voûte de cette œuvre colossale, Le Père Goriot, archétype du roman d’apprentissage est ainsi utilisé par l’écrivain afin d’étudier les différents types humains et de nous faire part de sa propre vision de Paris. I/ Une ville symbolique 1) Le rêve parisien a. Un Paris luxueux et effervescent Paris

l'oeuvre littéraire, parce qu'elle est le fruit d'une création, se définirait comme la production écrite de toute représentation réèlle ou imaginaire. L'écrivain serait alors un inventeur au sens où il donnerait forme par les mots à ce qu'il observe, ce qu'il imagine. Le lecteur serait celui qui découvre par l'acte de lire le résultat de ces observations et/ou de cette imaginaire. Ou bien l'oeuvre littéraire parce qu'elle est le produit d'une personne ne peut pas être pure representation. L'écrivain

jamais vraiment). Mais cette/la nostalgie peut nous amener à vouloir se replonger dans ces univers et les contes, romans, films, illustrations… sont une façon d’y parvenir. On retrouve dans le fantastique, la fantasy, le merveilleux ou la science-fiction du surnaturel exploité de façons différentes mais dont l’un des effets est le même : nous ramener dans cet imaginaire, modifier notre réalité de tous les jours. Ce surnaturel on le retrouve dans la littérature, dans le cinéma