Roman Jakobson

Autofiction est un néologisme créé en 1977 par Serge Doubrovsky, critique littéraire et romancier, pour désigner son roman Fils1. Le terme est composé du préfixe auto (du grec αυτος : « soi-même ») et de fiction. L’autofiction est un genre littéraire qui se définit par un « pacte oxymoronique »2 ou contradictoire associant deux types de narrations opposés : c’est un récit fondé, comme l’autobiographie, sur le principe des trois identités (l’auteur est aussi le narrateur et le personnage principal)

ce passage : trois occurrences du mot à partir du moment où le regard de Thérèse s’y arrête. Rappelons qu’il est question souvent de ce cou dans le roman : au chapitre XI (récit et de l’assassinat), Camille, avant d’être noyé, parvient à mordre le cou de Laurent et à en emporter « un morceau de chair ». Ce cou va être un motif récurrent dans le roman, avant le meurtre, où le soleil déjà « mord le cou » de Laurent, et après, quand cette blessure sera la traduction physique de son remords. Il est

Le Père Goriot est un roman d’Honoré de Balzac, écrit en 1835, dont la publication commence dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : la Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. Il est cité par William Somerset Maugham en 1954, dans son essai : Ten Novels and

textes théoriques, parallèlement à une vaste production romanesque. Ce mouvement concerne principalement les genres du roman et de la nouvelle, mais il touche aussi le théâtre et d’autres arts comme la peinture ou la photographie, inventée à la fin des années 1830. Ces genres évoluent tout au long du XIXe siècle. Honoré de Balzac est souvent considéré comme l’inventeur du roman réaliste. Il lui a donné, le premier, ses lettres de noblesse dans les récits où il met en scène la vie en province ou

Exercice de Dissertation : Héritier du genre épique, le roman s’est peu à peu constitué puis développé, fondé sur la fiction, jusqu’à l’apparition du roman moderne (Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves). Traditionnellement, le roman n’a pas à être vraisemblable. Pourtant, avec la montée du romantisme, l’on peut assister à l’émergence du « moi », et à l’intégration de l’Histoire dans l’histoire. Un point commun entre romantisme et réalisme est que l’on observe une forme d’actualité

l'hebdomadaire Voici, c'est une descendante de Dorothy Parker. Œuvre Troisième roman de la romancière, 35 kilos d’espoir reste surtout son unique tentative, à ce jour, dans la littérature jeunesse. Paru chez Bayard jeunesse en octobre 2002. En 2008, selon le classement annuel de Livres-Hebdo, il s'en est vendu 31 411 exemplaires, se classant ainsi dans le top 50 des meilleures ventes jeunesse. L'Échappée belle, le cinquième roman d’Anna Gavalda aux éditions de Le Dilettante, paraît le 4 novembre 2009,

Nahema 2012/2013 Agussan Mr Pagnon 3°G N°1 Les oubliés de vulcain Biographie de l’auteur : Danielle Martinigol est née en 1949 au cœur des grands vignobles bourguignons à Meursault . Maman de deux enfants, elle est aussi enseignante et fan de science-fiction depuis l’âge

dans un collège à Vendôme, où il reçoit une éducation stricte et sévère, sous la menace de la férule, instrument qui sert à fouetter les élèves désobéissants. Balzac décrira le souvenir de ces années austères et difficiles dans Louis Lambert (1832), roman en partie autobiographique. Durant ces années d’enfermement au collège, le jeune Balzac, seul et solitaire, se réfugie dans la lecture et dans un monde imaginaire bien à lui : il apprend alors à façonner le réel selon ses désirs. En 1814, la famille

nombreux romans de mœurs et d’aventures et publie en plusieurs volumes les Mémoires et aventures d’un homme de qualité, dont le dernier tome fut par la suite extrait sous le simple titre de Manon Lescaut. Ce roman se situe à l’époque de la Régence, sous laquelle Prévost vécut. Il présente une société en plein changement où nombre de personnes, surtout les nantis, les nobles, s’adonnent au jeu et au libertinage en abusant du pouvoir que leur confère leur place dans la société. Ce roman raconte les

l'auteure nous plonge dans la vie de maître François en une période riche et trouble. Mais, parce que le XVIe siècle évoque en de nombreux domaines notre siècle et parce que les questions qu'affrontent les personnages sont plus que jamais d'actualité, le roman raconte avant tout une histoire d'aujourd'hui : celle d'un fils qui doit s'éloigner du père, celle d'une jeune femme qui veut exister sans se marier, celle d'un écrivain qui ne peut écrire que sous le masque. Valérie de Changy est née en 1968 en Italie