Roman Vocation De Changer La Société

plupart des gens. Viser les vices, les travers de la population mais aussi celle de la société, c'est ainsi que Victor Hugo dit dans la préface des Misérables « des romans de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles ». Le roman doit-il être vraiment utile et avoir pour vocation de changer la société ? Nous essaierons d'apporter des réponses à ces questions à l'aide des deux deux grandes parties : Certes le roman peut être utile et faire réagir le lecteur, Mais il peut aussi ne pas avoir de but

Le roman a-t-il vocation à changer le monde ? Le roman est un genre hétérogène, aux contours peu définis qui relate les actions de personnages imaginaires dans un cadre spacio-temporel très proche du réel. Au XIXè siècle, Victor Hugo affirme dans la préface des Misérables que tant que la société continuera d’être « ignorance et misère » « des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles ». Cet euphémisme suppose que le roman est un moyen d’améliorer la société. Aussi s’interronge-t-on :

La littérature a-t-elle pour vocation de changer les opinions ? On définit généralement la littérature comme l’ensemble des œuvres écrites et publiées à travers toutes les époques, tous les pays, tous les milieux où elles s’inscrivent. Il existe plusieurs genres littéraires ayant différentes vocation, c'est-à-dire différent buts, des genres littéraires où la visée de l’auteur est différente. La littérature peut être un moyen de divertissement, de détente ou d’expression des sentiments mais elle

Introduction : Dans les préfaces de leurs romans, nombre d'auteurs justifient leur travail d'écrivain. Ils essaient de manifester l'intérêt de leur activité, considérée par beaucoup comme un loisir superficiel. Ainsi, Victor Hugo, dans la préface des Misérables, datée du 1 er janvier 1862, défend son roman: « [...] des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles». Dès lors, on peut se demander si c'est bien la vocation du roman de changer le monde. En défendant ses idées dans ses

INTRODUCTION Dans les préfaces de leurs romans, nombre d'auteurs justifient leur travail d'écrivain. Ils essaient de manifester l'intérêt de leur activité, considérée par beaucoup comme un loisir superficiel. Ainsi, Victor Hugo, dans la préface des Misérables, datée du 1er janvier 1862, défend son roman : « [ ... ] des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles». Dès lors, on peur se demander si c'est bien la vocation du roman de changer le monde. En défendant ses idées dans ses

DISSERTATION Vous vous demanderez si le roman a pour vocation de changer la société. Vous répondrez a cette question en vous appuyant sur les textes du corpus mais aussi sur vos lectures personnelles. I) Certes, le roman peut défendre des idées pour changer le monde Le romancier avant d’en être un est avant tout un acteur direct de la société celui-ci a donc une participation et peut observer la société tel qu’elle est réellement il peut donc se faire une idée par lui-même de celle-ci et se

Laurence Sterne fait partie, avec Cervantes et Rabelais qu'il admirait, des fondateurs du roman moderne. Son nom est surtout associé à la technique de narration différée, consistant à repousser indéfiniment le déroulement de l'histoire. Ainsi, si Tristram Shandy s'ouvre sur la conception du héros et narrateur, sa naissance n'intervient que plusieurs centaines de pages plus loin. Cette technique fut imitée par Diderotdans Jacques le Fataliste. L'œuvre de Sterne expérimente les limites de la forme

autobiographie, et l’histoire d’une vocation ratée. • L’image si chère à Proust de la cathédrale est élevée à image typique de l’œuvre. Il s’agit d’une construction, des renvois, où on ne doit pas considérer ses parties constituantes sinon comme un tout entier. • Rousset retient que la force de la Recherche c’est qu’à son intérieur la structure est très forte et qu’il s’agit d’une œuvre qui se fonde sur sa forme (Flaubert lui-même disait que la chose la plus importante dans le roman, c’était le style).

Le roman a pour vocation première de divertir. Il n'est donc pas « utile » et ne cherche pas nécessairement à changer le monde. D'ailleurs, les écrivains comme Molière critiquaient la société sans perdre cette dimension de divertissement à travers leurs satires et leurs comédies. Si Montesquieu avec les lettres persanes ou Prosper Mérimée avec Carmen prennent des personnages d'autres horizons, c'est que le lecteur est en demande d'exotisme. Le roman n'est donc peut être pas le support le plus

- tout d'abord le roman a pour vocation première de divertir. Il n'est donc pas "utile" et ne cherche pas necessairement à changer le monde. On peut lui donner une portée satirique, mais ce n'est pas par définition (à la différence du conte philosophique de voltaire, par exemple). D'ailleurs, les romans critiquant la société ne perdent pas cette dimension du divertissement. Si montesquieu dans les lettres persanes prend des personnages venus de loin, c'est aussi parce que le public de l'époque voulais