Romeo Et Juliette Registre Pathetique

leur propre échec. Ce sont des personnages incapables de communiquer, ils vivent sans savoir pourquoi, ils vivent une aporie (difficulté à résoudre un pb). Même dans cette impasse les personnages attendent quelque chose, ce qui rend la situation pathétique. Dans la vie de sa vie, le personnage de Marguerite Duras devient à lui-même dangeureux, elle sévit par rapport à elle-même et s'enfonce d'avantage dans ses problèmes. Elle arrive à s'accrocher par l'écriture. 2.Le point de vue C'est un point

Séquence 1Un personnage spectaculaire et comique : le fanfaronProblématique : En quoi le spectacle peut-il être considéré comme un ressort essentiel du comique ?Séance 1 : Théâtre, spectacle, comédieObj : découvrir le thème A) « Spectacle » et « Théâtre » Distinguer « spectacle » et « comédie »Le spectacleLe mot spectacle englobe plusieurs titres de représentations, cela peut être du théâtre, de la danse, de la musique, la magie, le cirque, …Dans le spectacle il y a forcément un rapport entre le

av JC | |mythes, lettres |le Banquet, le Phèdre |mythes, théorie de la connaissance|grec | |William Shakespeare |16/17 |baroque |théâtre, poésie |Hamlet, Roméo et Juliette, Les Sonnets |amour, histoire |britannique | |Corneille |17 |baroque / |théâtre, discours |L'illusion Comique, le Cid, Discours |Dilemme, antiquité |français

d'Espagne, Beaumarchais se tourne vers le théâtre. Pour cela, il choisit un genre à la mode, le drame sérieux, ou bourgeois, appelé aussi « comédie larmoyante », qui met en scène, dans un cadre réaliste bourgeois, un drame familial, et joue sur le registre pathétique, à grand renfort de déchirements, supplications, émouvantes, comme dans le Fils nature, ou le Père de famille, deux pièces de Denis Diderot représentées respectivement en 1757 et 1761. Le drame bourgeois sollicite la sensibilité et les émotions

héroïque car la pièce possède un sens de l'épique et elle décrit la vie d’un héros qui s'organise autour de l'amour et de l'honneur.On y retrouve également du romantisme. Elle mélange plusieurs registres notamment la farce, les scènes d'amour et le pathétique. La langue alterne entre le registre noble et le registre familier. Cette pièce présente des aspects de la tragédie classique, elle conserve d’ailleurs son découpage en 5 actes mais elle s'en démarque par son refus des règles classiques : il n’existe

littéraire. Les figures de style, les sonorités, le rythme, les tonalités et la ponctuation en font partie. Les registres, ou tonalités Les registres sont la manifestation par le langage de catégories d’émotion et de mouvements de sensibilité. La joie, la colère, l’indignation, la tristesse sont exprimées, en littérature comme en musique, par des tonalités particulières. Le registre ironique Il consiste à dire le contraire de ce que l’on pense, tout en montrant qu’on n’est pas d’accord avec

l’esprit de sacrifice des deux amants ? 6. Dans le deuxième §, repérez les marques de l’adresse de Des Grieux à Renoncour. En quoi cette adresse renforce-t-elle la perception de la souffrance du chevalier ? 7. En quoi la mort de Manon est-elle pathétique et tragique ? 8. Pourquoi peut-on parler d’une mort rédemptrice ? INTRODUCTION : - Présentation de l’auteur et de l’œuvre : A l’intérieur des très vastes Mémoires et aventures d’un homme de qualité, figure le récit que le jeune chevalier Des

cette dimension d’un « conte » ? Si le caractère merveilleux de ce récit est évident, nous verrons par la suite qu’il relève aussi du roman de chevalerie à la manière de ceux de Chrétien de Troyes ,mêlant le réalisme de la société médiévale au registre épique . Puis nous analyserons l’entremêlement des thèmes de l’amour et de la mort dans sa dimension à la fois courtoise et tragique. Même si Bédier intitule sa version le Roman de Tristan et Iseut, c’est bien un «  beau conte »

pièce, ou une partie de la pièce, selon un point de vue original. Ainsi, le monologue de L'Avare, de Molière, dans lequel le personnage se plaint d'avoir été volé et de ne pas retrouver sa « cassette », est d'un registre comique ; mais on peut le dire avec lenteur, sur un ton pathétique, comme le fit par exemple Jouvet. Comme nous venons de le voir la mise en scène est très différente de la simple lecture. Elle permet au metteur en scène de laisser le choix à leur imagination. Mais souvent, nous

à peine écrit, on a ici l'équivalent d'une didascalie. Nous avons en effet sur le plan technique une intégration systématique de la didascalie interne. Le fait que le personnage précise les tons (effets sonores, il faut caricaturer), tonalités, registres (v.342 : "lyrique", emphase à d'autres moments) qui qualifient ses définitions témoigne d'un commentaire, d'une mise en valeur emphatique et théâtrale de son propre discours : il le met en scène et ce faisant il en qualifie la nature proprement théâtrale