Roméo Et Juliette Narrateur

. . . . . . . . . . . . . . . . . . 199 Lexique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 214 Couverture : T.C.D. : Prod DB © 20th Century Fox/DR : Roméo et Juliette • Rue des Archives/PVDE : Georges Méliès • ArtComArt/V. Tonelli : Andromaque • Collection ChristopheL : L’ami retrouvé • Collection ChristopheL : Le cahier • Rue des Archives/PVDE : Colette • © Éditions Belin Toutes les références à des sites

simple et le passé composé correspondent au temps -1 et le plus-que-parfait, au temps -2. On repère de l’imparfait de description,(« il était […] connaissance » l15-18 p95) et d’habitude (« Frocin n’avait pas l’habitude d’agir ainsi » l7-8 p37). Le narrateur fait quelques interventions au cours du récit (« il était bon que je vous dise […] y fut tué » l54-69 p 81). Dans le roman de Béroul, on note de nombreux analepses : -Début de la légende : « que de maux avez-vous […] guérir » (l13-16 p 28) ; «

En quoi le théâtre se différencie-t-il des autres genres littéraires ? La grande différence est qu’une pièce de théâtre est normalement écrite pour être jouée. Elle est donc aussi bien adressée aux lecteurs qu’aux spectateurs. Il n’y a pas de narrateur, la compréhension dépend donc de ce que voient les spectateurs et comment ils interprètent le jeu des acteurs. Le théâtre a-t-il nécessairement un « message » à faire passer ? Le théâtre peut avoir un double objectif mais ce n’est pas nécessairement

femme dont il s'éprendra ; un texte narratif relatant une scène de première rencontre, originale par sa tonalité humoristique. -Annonce des axes d’étude : une situation romanesque conventionnelle ; l'analyse psychologique du héros ; la présence du narrateur. A. UNE SITUATION ROMANESQUE CONVENTIONNELLE Utilisation voyante de conventions littéraires, notamment romantiques, dans une scène de première rencontre et de naissance de l'amour, une scène récurrente dans la littérature. 1. Mise en valeur

présents (diodes qui clignotent sur les ordinateurs, machines surdimensionnées, etc.) mais donnent une touche subtile en lien avec l’époque de l’auteur. Le lecteur est tout au long de l’histoire conduit par le personnage principal, Simon, dont le narrateur nous fait partager le point de vue. Il est décrit comme un homme âgé de trente-deux ans ; il est grand, mince, porte une courte chevelure brune et une barbe bouclée. C’est le premier homme de notre temps à voir Éléa dont il tombe immédiatement amoureux

l’installation progressive d’une menace sous jacente mais de plus en plus évidente.                 À première vue, cet extrait de la lettre 7 n’est rien de plus que la transcription agréable d’un moment passé à Clarens, comme Saint Preux, ici narrateur, a couramment l’habitude de le faire à son ami Milord Edouard, destinataire de la lettre. En effet, le Livre  v ne compte pas moins de cinq lettres de Saint Preux à Milord Edouard pour seize en tout.             Ce moment de félicité passe avant

Pierre, Coluche (les exemples sont toujours à expliquer, à situer avec précision et doivent entraîner une analyse, on en tire du sens qui valide notre argument). N’oublions pas l’Alcide du Voyage au bout de la nuit, qui déstabilise fortement le narrateur dans sa vision noire de l’existence. Ces héros nous dispensent de ces actes « extraordinaires », que nous n’aurons plus à accomplir. Ils sont donc notre bonne conscience. 3) Des sentiments exaltants par procuration Les héros nous transportent également

" lasting " ; sociologique : ce sont des employés de bureau. e) narration : les propos sont donnés au discours direct, équivalent à un enregistrement objectif. f) stylistique : emploi massif de l’article de notoriété. Disparition élocutoire du narrateur, en apparence technique de focalisation différente de celles de Balzac et Stendhal. Motif-clé : " le désœuvrement du dimanche " : l’ennui est un des thèmes essentiels de la littérature européenne de Senancour à Sartre, au moins. Refus de la modernité

vibrer sa vie affective. Paradoxalement le désir amoureux ne permet pas tant de connaître la personne aimée, idéalisée, que de se révéler à soi-même. Il éloigne « l’habitude, le scepticisme, la légèreté, l’indifférence ». Albertine fait souffrir le narrateur de la Recherche mais cette souffrance est une sorte de mal nécessaire qui le conduit à la recherche d’une vérité sur lui. L’amour force la pensée, violente même l’accès au sens. Alors que l’« homme supérieur » offre des significations laborieusement

d’ailleurs enseigné dans de nombreux établissements scolaires, ce qui peut paraître paradoxal lorsque l’on se penche sur le héros de l’œuvre, Holden Caulfield, qui est en réalité… un anti-héros.   I- RESUME DE L’ŒUVRE   Dès les premières lignes, le narrateur Holden Caulfield  annonce que ses écrits ne doivent pas servir d’autobiographie. On ne sait pas exactement où il se trouve, mais on comprend qu’il est quelque part dans un établissement psychiatrique. Il rappelle ce qu’il lui est arrivé l’hiver précédent