Rotor

constitué par un manchon cylindrique vertical. Le produit entrant par la partie supérieure de l’appareil est projeté par un rotor à pales contre la paroi interne sous forme d’un film à grande turbulence. Le liquide coule par gravité vers le bas et subit une évaporation intense. Les vapeurs montent à contre-courant et traversent le séparateur. Les gouttelettes sont projetées par le rotor contre les chicanes fixes et retombent dans la zone d’évaporation. Ces appareils rotatifs sont particulièrement aptes

⋅ 0,8 = 2217 W g= Pertes Joule au stator : Pjs = 3RI ² (couplage étoile) 4-4 = 3 ⋅1 ⋅ 4² = 48 W 4-5 Pertes collectives = Pertes mécaniques + Pertes fer 180 pm = = 90 W 2 Puissance transmise au rotor : Ptr = Pa − (Pjs + Pertes fer au stator) = 2217 - (48 + 90) = 2079 W 4-7 Pertes Joule au rotor : Pjr = gPtr = 0,04 ⋅ 2079 = 83 W Puissance utile : Pu = Ptr − (Pjr + p m ) = 2079 − (83 + 90) = 1906 W Rendement : P 1906 η= u = = 86,0 % Pa 2217 Moment du couple utile : P (W) 1906 Tu ( Nm) = u = =

dont la forme en arc permet de s’adapter au relief.   Le courant alternatif est produit par un générateur appelé alternateur. Celui-ci se compose de deux parties. Au centre se trouve le rotor. C’est un ensemble qui comme son nom l’indique est mis en rotation par une turbine (sorte d’hélice). Ce rotor tourne à l’intérieur de bobines électriques appelées stator car fixe. Une tension alternative sera alors produite aux bornes de ces bobines. L’ensemble   "turbine + alternateur"  est appelé groupe

Courant statorique Poids d’un corps Coefficient d’adhérence Vitesse électrique du rotor définie par : ω e = Pp Ω m Vitesse du repère d’axes d q associé lié au flux rotorique par rapport au stator Pulsation du champ rotorique Pulsation du champ statorique Vitesse mécanique du rotor Coefficient de pondération Période de commutation Période d’échantillonnage Temps morts Angle électrique entre l’axe a du stator et l’axe a du rotor Angle électrique entre l’axe a du stator et l’axe d du repère biphasé tournant

 Vitesse turbine ;  Etat turbine. Limitation de la vitesse de rotation du rotor Question 2.13 Voir DR5 Question 2.14 Pour le multiplicateur : sortie entrée N R N  ; Nsortie = Ngénérateur ; Nentrée = Nrotor donc 12900 25.7 .min 112.8 Générateur MaxRotor N N tr R    12013 17.8 .min 112.8 Générateur Rotor N N tr R    NRotor = 17.8 tr/min donc il faudra faire en sorte de freiner le rotor de l’éolienne grâce au système « OG » qui permet de détecter la survitesse. Le dispositif

3). Ce résultat est obtenu de la façon suivante : soit un moteur dont le stator porte un enroulement monophasé alimenté par les barres de couplage, le rotor porte deux enroulements à 90° électriques parcourus (l'un étant mis en série avec une résistance, l'autre en série avec une inductance) par des courants sensiblement déphasés de /2. Le rotor, mis sous la tension de l'alternateur à coupler, crée un flux tournant à la vitesse 1 (1 = pulsation de l'alternateur à coupler), tandis que le stator

éolien, est composée de plusieurs parties. Une partie aérodynamique avec le rotor et une partie électrique avec la génératrice. Elle a d’abord un socle massif en béton armé pour tenir le reste de la structure perpendiculaire au sol. Ensuite, le mat, qui contient des transformateurs. Il mesure environ 80m de haut et 4m de diamètre. Au dessus de ce mat, il y a une nacelle qui permet la conversion mécanique/électrique. Enfin, un rotor de soixante-dix mètres de diamètre et des pales de quinze mètres de long

ci-dessous. On voit que le courant statorique absorbé par le moteur augmente proportionnellement avec la charge tandis que la vitesse du moteur diminue au fur à mesure que le couple résistant augmente, également le couple électromagnétique fourni au rotor augmentera davantage et ceci pour vaincre le couple appliqué à la machine Cette technique de démarrage à vide et opération en charge permet à la machine d’absorber moins de courant (moins de piques au réseau), et donc de diminuer les phénomènes transitoires

G P dω M eq = Pm − P dt m Meq est la constante d’inertie if P = P; ω = ω cons tan te if P > P; ω croit if P < P; ω decroit s m m 41 Masse Tournante Vitesse actuelle du rotor ff = n p 120 f = 60 Hz Rotor Ef δ Vt Noeud infini 42 Masse Tournante n Rotor Ef δ ns Vt Noeud infini 43 Courant n At t2 Ia2 Xs Hypothèses: n > ns Ef2 Ef est constante Résultat: Ia augmente n δ2 δ1 At t1 Ia1 Xs Ef1 Vt ns 44 Scenario

appliquée et de la résistance inhérente à cette F appliquée (rigidité ou inertia gyroscopique). L’augmentation de la masse (ou de la vitesse de rotation du rotor ) augmente la rigidité. Le taux de précession est dit d’être directement proportionnel à la force appliquée et inversement proportionnelle à la masse et à la vitesse rotationnelle du rotor. Alignement gyroscopique (Gyroscopic Wander) Du à la rigidité d’un gyroscope, son axe de rotation continue à pointer dans une direction fixe. N’importe quel