Royaume de Naples

longtemps possédées par la famille de leur prince. Les nouvelles, ou le sont tout à fait, comme Milan le fut pour Francesco Sforza, ou elles sont comme des membres ajoutés aux États héréditaires du prince qui les a acquises ; et tel a été le royaume de Naples à l'égard du roi d'Espagne. D'ailleurs, les États acquis de cette manière étaient accoutumés ou à vivre sous un prince ou à être libres : l'acquisition en a été faite avec les armes d'autrui, ou par celles de l'acquéreur lui-même, ou par

fin toujours heureuse obtenue. 1ere entreprise c/ Bologne : Vénitiens & Espagne s’opposent, France pourparlers, ms « dans sa fureur et sa fougue, se mit en personne dans cette expédition. » => ø réaction Vénitiens (veulent récupérer tout le royaume de Naples) & Espagne (peur) // armée roi de France ac Pape pque veut son amitié pour atteindre Vénitiens, les affaiblir, & ne veut pas l’insulter. => Succès de l’entreprise Jules II => ≠ autre papes : auraient attendu conclusion accords & bon ordre des

un grand philosophe est théoricien de la politique et de la guerre. Son nom a donné le terme «  Machiavélisme ». A cette époque la politique est très trouble, l’Italie est diviser en petits Etat instable mais il y a deux grand territoire le royaume de Naples et la république de Florence. De 1494 à 1527 il y a eu beaucoup de guerre d’Italie. De plus l’Espagne, la France et l’empire Germanique les envahissent et les pillent. Nous allons voir tout d’abord la vie de machiavel et ses idées principales

Mais on accède au pouvoir également par la volonté des grands et puissants du royaume qui, ne pouvant pas par eux même s’autoproclamer princes de plus que la faveur du peuple ne leurs est pas donnée, en désigne un et le manœuvre dans son dos aux yeux aveugles du peuple afin de parvenir à leurs fins. 2) Deux soutient différents se propose donc au futur prince… Celui de la faveur du peuple où celui des puissants du royaume. Néanmoins la ferveur populaire est, comme le dit Machiavel, plus honnête que

longtemps possédées par la famille de leur prince. Les nouvelles, ou le sont tout à fait, comme Milan le fut pour Francesco Sforza, ou elles sont comme des membres ajoutés aux États héréditaires du prince qui les a acquises ; et tel a été le royaume de Naples à l'égard du roi d'Espagne. D'ailleurs, les États acquis de cette manière étaient accoutumés ou à vivre sous un prince ou à être libres : l'acquisition en a été faite avec les armes d'autrui, ou par celles de l'acquéreur lui-même, ou par

longtemps possédées par la famille de leur prince. Les nouvelles, ou le sont tout à fait, comme Milan le fut pour Francesco Sforza, ou elles sont comme des membres ajoutés aux États héréditaires du prince qui les a acquises ; et tel a été le royaume de Naples à l'égard du roi d'Espagne. D'ailleurs, les États acquis de cette manière étaient accoutumés ou à vivre sous un prince ou à être libres : l'acquisition en a été faite avec les armes d'autrui, ou par celles de l'acquéreur lui-même, ou par la faveur

longtemps possédées par la famille de leur prince. Les nouvelles, ou le sont tout à fait, comme Milan le fut pour Francesco Sforza, ou elles sont comme des membres ajoutés aux États héréditaires du prince qui les a acquises ; et tel a été le royaume de Naples à l'égard du roi d'Espagne. D'ailleurs, les États acquis de cette manière étaient accoutumés ou à vivre sous un prince ou à être libres : l'acquisition en a été faite avec les armes d'autrui, ou par celles de l'acquéreur lui-même, ou par la faveur

longtemps possédées par la famille de leur prince. Les nouvelles, ou le sont tout à fait, comme Milan le fut pour Francesco Sforza, ou elles sont comme des membres ajoutés aux États héréditaires du prince qui les a acquises ; et tel a été le royaume de Naples à l'égard du roi d'Espagne. D'ailleurs, les États acquis de cette manière étaient accoutumés ou à vivre sous un prince ou à être libres : l'acquisition en a été faite avec les armes d'autrui, ou par celles de l'acquéreur lui-même, ou par

ressentiment montait contre le nouvel empereur. La transformation d'une partie du nord de l'Italie en royaume -dont il serait le monarque- acheva d'indisposer l'Autriche. Révoltée par l'exécution du duc d'Enghien et toujours prompte à suivre la politique du cabinet anglais -qui avait sans doute trempé dans l'assassinat de Paul 1er-, la Russie se joignit aux projets de troisième coalition. Le royaume de Naples, gouverné par un Bourbon de la branche espagnole, emboîta son pas. En août 1805, la coalition fut

territoires égaux, mais comme des sujets. En contrepartie, le grief de piémontisation a réagit avec animosité. Le contraste entre ces deux parties, a fait naître « la polémique sur la question méridionale qui divise toujours l'Italie. »1 Dans l'ancien royaume de Naples, le désenchantement et la rancune exploitaient le mécontentement de la population, « devant la fiscalité et la conscription militaire, en suscitant le réflexe traditionnel du brigandage. »2 C'était François II qui dirigeait cette opposition,