Rpoa 2008

contraire le contexte dans lequel nos entreprises devaient opérer qui avait brusquement changé du tout au tout. La confiance était le mot-clé ou, mieux, l’absence de confiance. Depuis la faillite de Lehman Brothers aux Etats-Unis, à la mi-septembre 2008, rien n’est plus comme avant. Subitement toute la confiance du système financier avait disparu. Ce qui a eu pour conséquence que tous les rouages économiques se sont grippés. Mais, même si nous n’avons aucun tort, c’est pourtant inévitablement à nous

politiques de relance dans les années 80. Ces dernières n’ont pas réussi à faire revenir le pays à un niveau de croissance élevé ni à réduire le chômage, avec une dette publique qui n’a pas cessé d’augmenter ces dernières années. Face à la crise de 2008 les états ont utilisés massivement cette politique de relance mais cela pose de sérieuse question sur le remboursement de ses plans. L’endettement de la France est passé en un an de 67,4% à 77% du PIB. A ce rythme, dans trois ans, en 2013, le poids

mécanisme qui a beaucoup été critiqué montre aujourd’hui qu’accouplés à une politique de relance budgétaire modérée au plus fort de la crise, ils ont permis d’amortir les conséquences sur la France 3) Les finances publiques La France face à la crise de 2008 2009 a du s’endetter, et cet endettement s’est traduit par des dettes publiques massives et des déséquilibres budgétaires, sur ce point de vue, la France présente une faiblesse comparé aux autres pays : * Les dernières statistiques pour 2009 montrent

1 – Introduction Pendant des décennies, la Tunisie a été considérée comme un exemple de réussite sur le continent africain. Elle s’est distinguée par une saine gestion macroéconomique accompagnée d’impressionnants acquis sociaux, qui en a fait l’un des pays les plus performants d’Afrique. Cette idée a été renforcée par les progrès accomplis par le pays ces dernières années, notamment son prompt redressement après la crise économique de 2009 caractérisé par une croissance du PIB de 3,7

Sujet : « En 2010, une France encore convalescente ». La crise de 2008 a su montrer ses effets dans l’ensemble des pays, marqués par une profonde récession économique. En France, l’opinion publique se fait de plus en plus entendre, dans des débats où l’on se demande si le pays est en voie de sortie de crise, ou s’il souffre encore des effets de celle-ci. Il est primordial de situer la France par rapport à ses camarades européens, et d’analyser les moyens qu’elle emploie pour mettre définitivement

autres pays présent dans l’économie mondiale, a été touchée par la crise économique de 2008, seconde phase de la crise financière de 2007 provoquée par la crise des subprimes. La récession européenne et américaine a eu des conséquences sur la croissance du pays qui dépend en grande partie des échanges internationaux. La demande étrangère ayant diminuée, le taux de chômage en ville qui aurait atteint 9,4 % fin 2008. C’est pour quoi plus de 600 000 migrants qui travaillaient dans la province seraient

| • Document n°1 : Évolution de la consommation de biens durables |  |2004 |2005 |2006 |2007 |2008 (r) |2009 | |Automobiles |3,1 |3,0 |-2,1 |4,3 |-6,9 |8,3 | |dont : |  |  |  |  | 

Salamé a souligné à cette occasion que la BDL avait pris conscience des dangers de l’absence des principes de la bonne gouvernance pour le système bancaire et agi ainsi en conséquence. « Nous avons ressenti cela notamment lors de la crise économique de 2008 lorsque la confiance des marchés et du public dans les systèmes bancaires mondiaux avait reculé », a-t-il rappelé, avant de préciser que le système économique mondial n’est toujours pas sorti de la crise qui s’est transformée en « cercle vicieux où

Dépression de 1873-1896 a/ Les causes de la crise 1873 : Cette Grande Dépression va changer de nom, et va tomber dans l’oubli car en 1929, la crise est d’une encore plus grande ampleur. C’est pourquoi on parle de Longue Dépression. Grande Récession : 2008. Longue Dépression parait plus adapté : crise qui se caractérise par une longue stagnation économique. Proche de 0 pendant une vingtaine d’années, mais pas d’effondrement de la prod (contrairement aux années 30). Cette longue dépression n’a pas touché

des principaux moteurs économiques de l’Espagne. En effet, le déséquilibre entre ce que la Catalogne verse à Madrid et ce qui lui revient est l’une des causes principales qui motivent la volonté d’indépendance des Catalans. La crise économique de 2008 a elle aussi fortement encouragé le sentiment de sécession, puisque les 7,5 millions de Catalans produisent environ 20 % de la richesse espagnole. Plus tard en 2010, cette région a vu son statut d’autonomie modifié par le Tribunal constitutionnel,