Rue Case Nègre

d’un seul coup et il me rend le gobelet. Il est fatigué pour de bon, ce type. Et seul aussi, ça se voit dans son regard. « Ça se passe bien ? Je demande. - C’est du travail, il dit. On a pas encore mis l’eau. Je pense qu’on va tirer un tuyau de la rue jusqu’à là-bas. - Et le collègue, il veut pas boire un coup lui aussi ? - Ça serait vraiment gentil. » Il hoche la tête, et je vais remplir un autre gobelet de fête pour son copain. Il le lui porte pas tout de suite. « Excusez-moi, il dit, mais où…

amplement lutté contre la maladie du sommeil dans le pays. - le musée d’art camerounais, situé au mont fébé et dans les bâtiments habités par les moines bénédictins, il comporte une collection d’objets en bronze et pierres taillées. - le musée d’art nègre, fondé par feu père MVENG, situé au sein de la résidence des jésuites de melen, contient des pièces artistiques de nationalités diverses. - la résidence du docteur Eugène JAMOT à Ayos. - la cathédrale de Yaoundé, imposant édifice religieux qui trône

Les habitants du quartier ont manifesté plusieurs fois devant le nouveau Stark Megastore, même avant qu’il ne soit construit, parce qu’ils ne voulaient pas d’un énorme magasin à la place du petit marchand de fruits et légumes qui occupait ce coin de rue depuis longtemps. C’est là que ma mère se fournissait, plutôt qu’au supermarché voisin où les produits ne sont pas toujours frais. Quant à l’épicerie fine un peu plus loin sur Broadway, c’est beaucoup trop cher. Mais malgré les manifestations, les pétitions

longtemps, en s’apercevant qu’ils avaient déjà perdu leur moiteur parfumée et leur chaleur vitale. Et puis, il les regarda de près, et leur chercha en vain ce reflet bleu qui les faisait ressembler à l’aile azurée du corbeau : ceux-là étaient d’un noir nègre, d’une nature indienne d’une pesanteur morte... Les yeux clairs et perçants d’Indiana suivaient toujours ceux de Raymon. Il les porta involontairement sur une cassette d’ébène entrouverte, d’où quelques mèches des mêmes cheveux s’échappaient encore

d’articles publiés en 1920 dans le périodique de la FORD MOTOR COMPANY THE DEARBORN INDEPENDANT sous la direction de HENRY FORD I (1863 – 1947) Version abrégée, traduite de l'américain, et publiée en septembre 2001 par l'Association Vérité & Justice, Case postale 355, CH-1618 Châtel-Saint-Denis, Suisse. Mise au Net: AAARGH, août 2003, en même temps que la version originale: –– 3 –– Henry Ford : Le juif international Table des matières Introduction......................................

bătusem joc de ea care era adînc mîhnită că trebuie să părăsească un imobil în care eram „atît de stimaţi de toţi", şi îşi făcuse bagajele plîngînd, potrivit riturilor de la Combray şi spunînd că fosta noastră casă era superioară tuturor celorlalte case, în schimb eu, care asimilam tot atît de lesne lucrurile noi pe cît de uşor le părăseam pe cele vechi, m-am\apropiat de bătrîna noastră servitoare cînd am văzut că instalarea într-o casă în care nu primise de la portarul careVu ne cunoştea încă, semnele

compris la nécessité d’en finir avec le prolétariat révolutionnaire. Seulement, la situation de l’adversaire était différente. La force du parti prolétarien était dans la rue, celle de la petite bourgeoisie au sein de l’Assemblée nationale elle-même. Il s’agissait, par conséquent, de l’attirer hors de l’Assemblée nationale, dans la rue, et de lui faire ainsi briser elle-même sa puissance parlementaire, avant qu’elle eût le temps et l’occasion de la consolider. La Montagne donna tête baissée dans le panneau

doivent défendre le défunt en présentant des faits justificatifs permettant de l'exonérer de sa responsabilité, les juges prononçaient une peine qui consistait dans la confiscation des biens du défunt ou dans le fait que le cadavre était trainé dans la rue puis jeté sur la voie. Les sanctions étaient cumulables. Une ordonnance de 1670 va régulariser la procédure contre le suicidé. Au 18e siècle, la doctrine allait s’affronter sur la répression du suicide : Serpillon parlait de « crime d’impiété

de la virginité est au cœur de l’œuvre. Saïda le personnage principal est vierge jusqu’à ce qu’elle ait plus de quarante ans. Très jeune elle avait appris de sa mère l’importance de conserver la virginité : Il ne faut pas regarder les hommes sur la rue, c’est moche. Il est conseillé d’attendre le mariage pour s’adonner à certains plaisirs. Dieu a prévu un époux pour chaque femme, un jour, cela se passera comme Dieu l’a prévu. La virginité et la fidélité sont les plus beaux cadeaux qu’une femme puisse

d’un inconnu, p. 42 4 Portrait d’un inconnu, p. 42 53 Au chapitre 4, les trois lignes sautées introduisent un changement d’espace : le narrateur passe du cabinet du spécialiste consulté (probablement un psychanalyste) à la rue : « Quand nous sommes sortis dans la rue tous les trois, moi et mes vieux parents qui m’avaient conduit chez lui, j’ai vu qu’ils avaient un air gêné et comme un peu honteux; oui, ils semblaient un peu humiliés, plus ratatinés, plus tassés encore sur eux-mêmes que d’habitude