Rue de la Chaussée-d'Antin

l’étranger, mais ne voulant pas investir excessivement pour cela, il crée des filiales en Argentine, Belgique, France, Hollande et Grande-Bretagne en partenariat avec des industriels locaux. En 1928, Etam ouvre sa première boutique à Paris, 376, rue Saint-Honoré (Paris 75001). Parallèlement, Martin Milchior ouvre en Belgique en 1925 puis en France en 1929 un réseau de boutiques de lingerie sous l'enseigne Setamil, puis il installe son usine à Mouvaux (devenu depuis le centre technique du groupe

Jules Joffrin Rome* Trinité d’Estienne d’Orves Europe Courcelles Porte Maillot Gare Saint-Lazare Neuilly–Porte Maillot Belvédère Ternes Argentine* Avenue Foch Havre Caumartin* Boissière Avenue Henri Martin Rue de la Pompe Jasmin Les Milons Michel Ange Auteuil* 6 Église d’Auteuil Porte d’Auteuil* Boulogne Jean Jaurès Avenue Émile Zola Javel Michel Ange Molitor Javel André Citroën Exelmans Musée de Sèvres Duroc*

et au-delà des frontières, à l'intention de relations anglaises, polonaises, ou suédoises?   Mme Geoffrin et sa fille ont un train de vie élevé ; elles tirent leurs revenus plus que confortables de la manufacture de Saint-Gobain. L'hôtel de la rue Saint-Honoré est estimé 250 000 £. Mme Geoffrin subventionne d'Alembert, peut-être parce qu'il est le fils naturel de Mme de Tencin chez qui elle a commencé sa vie mondaine. Elle se montre généreuse envers les peintres, leur commande des toiles et leurs

ou les Scènes de la vie de province (La Muse du département ou Illusions perdues) comme dans les Etudes analytiques (La peau de Chagrin). Paris est vu par tous les angles, des Tuileries aux prisons, du Faubourg Saint Germain au Quartier Latin ou la rue Saint Denis. Tous les groupes sociaux sont décrits, les princes et les ministres, les hors la loi et les prostituées, les boutiquiers et les grands hommes d’affaires. Tous les milieux sont vus, à l’exception d’un seul, celui des ouvriers. Balzac, jusqu’à

services publics. L’ébauche se fait en 1850 avec son préfet Jean Jacques Berger, préfet de 1848 à 1853. Ainsi, on voit avant l’arrivée d’Haussmann entre 48 et 53 les percements de la seconde section de la rue de Rivoli, rue des Ecoles, Bd de Strasbourg, rue de Rennes. Rue du Havre et rue Auber (rue de Rouen). L’entreprise prend vraiment toute son envergure avec Georges Eugène Haussmann. Georges Eugène Haussmann (1809-1891) Alsacien Il a un an d’écart avec l’empereur Associé à l’empire et à Paris

Boissière Rue de la Pompe Avenue Henri Martin Iéna La Muette* Boulainvilliers Ranelagh Les Milons 6 Michel Ange Auteuil* Église d’Auteuil Porte d’Auteuil* Boulogne Jean Jaurès Parc de St-Cloud Boulogne Pont de St-Cloud* Dupleix Avenue Émile Zola Javel Javel André Citroën Porte de St-Cloud Musée de Sèvres Brimborion Versailles Château Viroflay Rive Gauche Meudon sur-Seine Les Moulineaux A Brancion Malakoff Rue Étienne

ses représentants (« Le mollusque », « Escargots », « La crevette », « Notes pour un coquillage » ou « La mousse » et « Le galet » )-De 1931 à 1936 : cycle assez urbain (« Les trois boutiques », « R.C.Seine n° », « Le Restaurant Lemeunier rue de la Chaussée d’Antin »)-De 1936 à 1939 : Le poète a une inspiration matérialiste, et aux éléments naturels (« Les mûres », « Le papillon »)3) On pourrait dire que son recueil est une sorte de monde en miniature car il y parle de tous les éléments minéraux, animaux

Navarreins, le premier lieu bien précisé dans sa vie est l’hôtel Saint-Quentin à l’angle de la rue des Cordiers et de la rue de Cluny, au bout d’une rue qui n’aboutit à rien. Rousseau aurait séjourné ici. Durant cette époque, il assiste aux Cours de la Bibliothèque et du Muséum. Puis, c’est la rencontre avec Rastignac et la relation avec Foedora qui demeure au faubourg Saint-Honoré. Entre ce faubourg et la rue des Cordiers, Raphaël est obligé de traverser Paris à pied à de nombreuses reprises (p.129

pouvait ne pas donner son nom au titre du roman. Il est nommé père Goriot pour la première fois par Madame Vauquer après sa décadence (p. 32). Le nom de Goriot, semble-t-il, n’a pas été inventé par Balzac, car il existait un « Goriot, rue Saint-Jacques, 285 » (près de la rue Cassini où habitait Balzac, aux confins de ce labyrinthe de rues sombres décrit aux premières pages du roman); et un « François Goriot, marchand de farines à Pontoise, qui se fit connaître à la Halle aux Blés à Paris vers 1777 ».

Même si la date de 1839 figure sur la façade de l’immeuble, on ignore quand fut construit exactement le bâtiment actuel de la Maison Dorée, ainsi appelée à cause des balcons qui ornent toujours sa façade. En 1853, Alexandre Dumas installa au rez-de-chaussée la rédaction de son journal « Le Mousquetaire ». C’est aussi à la Maison Dorée que se tint la dernière exposition des Impressionnistes en 1886. À la fin du Second Empire, l’établissement déclina et un bureau de poste vint prendre la place du luxueux