Rue des Poissonniers

Crèche Napolitaine du XVIIIème siècle La variété et la profusion se retrouvent partout, qu'il s'agisse des animaux, les comestibles, des éléments du paysages, elles représentent des scènes de la vie de tous les jours, des scènes de la rue et du folklore local, un mélange de sacré et de profane. Certains  artistes  se spécialisent dans la création d'animaux, d'éléments d'architecture, d'autres dans la fabrication des multiples personnages. Ces santons (figurines en terre cuite) sont

C'était dans la rue du rat d'égout, la zone la plus dangereuse de la ville, la plus sale, la plus puante. Le sol était jonché de cadavres et d'ordures, les murs étaient plus noirs que la nuit si ce n'est à l’exception des taches de sang qui mettaient un peu de couleur et pas une seule trace de végétation n'était visible à 10 kilomètres à la ronde au moins car rien ne pouvait pousser dans un lieu pareille. Sur les rebords des fenêtres, les oiseaux empoisonnés attendent que l'on vienne les cherchez

semaine pour l'entretien et les courses d'une durée de 2H00.Madame T se déplace seule avec l'aide d'une canne et sort régulierement de chez elle suivant la saison ,un peu moins durant l'hiver pour se rendre chez un couple d'amis d'enfance au bout de sa rue pour discuter ou faire une partie de carte.Malgrés sa passion qu'elle a eu pour la cuisine Madame T ne cuisine plus beaucoup ,pourtant lorsqu'elle nous parle de ses recettes de cuisinesil y a énormement de joie ,mais aussi de la nostalgie dans ses

Née en 1828 à Plassans (le berceau de la famille, ville imaginée sur le modèle d’Aix-en-Provence), Gervaise est boiteuse. De plus, sa mère, la trouvant chétive, la met un temps « au régime de l’anisette » (La Fortune des Rougon). Élevée dans la rue, battue par son père, elle entre en apprentissage, à dix ans, chez une blanchisseuse. Enceinte à quatorze ans, elle met au monde un premier garçon : Claude et, quatre plus tard, un second : Étienne. Lantier, le père, exerce la profession d’ouvrier

une voûtée formant soubassement, I’ autre couverte par une charpente métallique. Sur le pourtour du bâtiment une place suffisante devra être réservée pour les quatre à cinq cent marchands de beurre et d’œufs qui stationnent aujourd’hui debout dans la rue des halles. Les fondations furent creusées jusqu’à 12 m de profondeur, plusieurs modifications furent apportées au projet initial alors que les halles étaient encore en construction. C’est ainsi qu’en 1870, on proposa de substituer de la brique au

dos, leur pain sous le bras ; et L'Assommoir I 6marchaient toujours, sans un rire, sans une parole dite à un camarade, les joues terreuses, la face tendue vers Paris, qui, un à un, les dévorait, par la rue béante du Faubourg-Poissonnière. Cependant, aux deux coins de la rue des Poissonniers, à la porte des deux marchands de vin qui enlevaient leurs volets, des hommes ralentissaient le pas ; et, avant d'entrer, ils restaient au bord du trottoir, avec des regards obliques sur Paris, les bras

d’Or attend un matin Lantier son mari dont elle a deux enfants : Claude (8ans) et Etienne (4ans). Elle décrit l’hotel. Entamme une discussion avec Coupeau un ouvrier Zingueur. Puis décrit la rue : les ouvriers, l’ouverture de marchands de vin. Elle discute avec Mme Boche la concierge de sa fenêtre puis décris la rue. Lorsque son mari rentre ils se disputent, Gervaise sait qu’il est allé passer sa soirée avec Adèle une fille du quartier. Et l’envoie au Mont-de piété. S’en va au lavoir le décrit également

secteur de l’alimentation. Que décideriez-vous? Si j’avais le pouvoir de changer quelque chose dans le secteur de l’alimentation, ce serait la publicité sur le produit alimentaire, la publicité de télévision ou la publicité sur les affiches dans la rue, c’est quelque chose que je n’aime pas du tout, que je trouve un peu bête. Si je changerais, j’interdirais la publicité. Changeriez-vous les campagnes de communication ? Obligeriez-vous les producteurs, les éleveurs, les commerçants ou les grandes

 dans  la   société.  La  Street  Food,  c’est  l’avenir  !  »  (Thierry  Marx)       La  street  food,  un  enjeu  de  société       Manger  dans  la  rue  est  une  pratique  universelle  et  ancestrale  qui  témoigne  de  l’imagination  que  les   hommes  ont  toujours  su  déployer,  pour  se  nourrir  simplement  et  rapidement

Présentation de la société : Gobilab, créée en 2010 est une SAS composées de 3 fondateurs, Florence Baitinger, Samuel Degremont et Xavier Moisant. Le siège social de l’entreprise est situé 110, rue des Poissonniers 75018 PARIS. A partir d’une idée innovante et écologique ils décidèrent de se lancer dans la conception d’une gourde de bureau 100% éco-conçue, dans une volonté de lutter contre le gaspillage des déchets plastiques comme les bouteilles d’eau et gobelets qui sont des dépenses