Rugissement

des insurgés qui va donner vie à la nature. Ainsi « les chants » qui (enflent), lignes 4 et 5 vont se préciser pour devenir « un éclat assourdissant » : la Marseillaise. B) Du chant au rugissement Au fur et à mesure de l’avancée de la bande, le chant prend de l’ampleur jusqu’à devenir « un rugissement populaire ». La dimension animale déjà présente dans l’adjectif « monstrueuse » qualifiant le terme « trompettes » se précise ici. Le chant se mue en cris féroces tels ceux du lion en colère

s’inclinant, je crois que le seigneur Poséidon veut notre mort. __ Ne te soucie plus de Poséidon, pense à ton objectif, je m’occuperais de lui en temps voulu, répondit Kratos. Cette fois-ci, sous l’agressivité de la tempête, ils entendirent un rugissement si fort qu’il put couvrir le beuglement de la fureur marine. Les autres soldats présents sur la passerelle de commandement, là où se trouvait la barre, jetèrent un regard désespéré sur l’horizon et ce qu’ils virent leur glaça le sang. Les deux autres

toutefois la finale (antécédent, conséquent) sera interrompu par les rugissements du lion : gammes par 1/2 tons dans le grave du piano (octaves de Liszt). Ces rugissements seront eux-mêmes entrecoupés de sonneries de la fanfare puis seront doublés par la contrebasse et le violoncelle, avant que le piano ne reprenne le thème du lion accompagné cette fois d'un bourdon au 2è piano, le quintette de cordes se chargeant maintenant du rugissement avant de faire entendre un contrepoint toujours sur le thème du

cette fois caractérisant la part d’animalité qui est en lui. Tout d’abord avec le champ lexical du grognement (« râle » l.9, « ricanement » l.13, « rugissement » l.22) qui nous pousse à penser qu’il s’agit là de l’ours qui s’exprime et non de l’homme. On constate de plus que ce champ lexical s’amplifie au fil du texte, passant d’un « râle » à un « rugissement ». Puis la présence d’une polyptote, « à belles dents » (l.20), qui vient amplifier le verbe « mordre » (l.20) et donne ainsi au comportement du

sauter le poisson sur le rivage, et n'a plus qu'à le déguster. 4- L'accouplement Au moment de la saison des amours, on peut entendre dans la jungle des rugissements. La femelle peut s'accoupler vers 3 ou 4 ans, et les mâles vers 4 ou 5 ans. La femelle prévient les mâles qu'elle est prête à se reproduire, et le mâle répond aussi avec des rugissements, et se laisse guider par l'odeur de la femelle pour la rejoindre. Parfois deux mâles répondent et si les deux veulent la tigresse, ils se battent. D'abord

Le narrateur confie au lecteur la peur éprouvée lors de cette nuit, peur de l'inconnu, mais aussi des rugissements de lions invisibles aux enfants. À l'aube, l'instruction finie, les enfants découvrent de longs fils blancs couronnant toutes les cases de la concession et se rejoignant au somment d'un énorme fromager. Le mystère de l'installation de ces fils aussi bien que la source du rugissement des lions sont révélés par le narrateur, éloigné de son pays natal et peu soucieux des secrets de sa communauté

mouvements » n’empêchent cependant pas l’atmosphère morbide qui règne depuis le début de l’extrait. Au contraire elle est renforcée par la cruauté et la nonchalance du lion. Ce spectacle effroyable se passe dans la solitude, comme le suggère, « un long rugissement qui se produit dans la solitude » et l’indifférence du lion mais d’un spectateur dont nous apprenons l’existence seulement à la fin de l’extrait, un Carthaginois. L’auteur décide de placer en hauteur, au-dessus de cette scène, il est « perché du

texte qui nous est présenté évoque une de ces insurrections des républicains dans les environs de la ville de Plassans. Nous verrons dans un premier temps comment le chant de colére de« la bande » évoluera jusqu’à devenir un véritable cri, un « rugissement ».Puis dans un second temps nous verrons comment l’auteur a fait ce cet événement un poème tenant de l’épique. Le poème commence avec « La bande » constituée de milliers d’hommes marchant « dans la paix morte et glacée de l’horizon »(l2), ce

poussa cette modulation singulière par laquelle j’avais entendu Kihoro appeler King. A l’intérieur du triangle, deux rugissements éclatèrent et les deux lionnes sortirent des buissons, le poil hérissé, les crocs avides. La distance qui les séparaient de Patricia, elles pouvaient, elles allaient la franchir d’un saut. Que faisait Kihiro, ? Qu’attendait-il ? Mais un autre rugissement retentit, si puissant qu’il couvrit tous les sons de la savane et un bond prodigieux enleva King par-dessus les fourrés

surgis des bois il avait des griffes aussi longue et aussi tranchante que le glaive de Clisse il se protégeât tans bien que mal avec son bouclier en mettant des petit coup de glaive parsis par-là. Puis un autre rugissement plus doux se fît entendre puis l'ours comme appelé par ce rugissement s'en alla. Clisse avait de multiple blessure sur son bras gauche et au jambe qu'il soignât avec une résine qu'Hadès lui avait donné. Une fois ses blessure guéries il se retourna et vit la tanière de Matos. Il