Rythme cérébral

opprime. Les tempos contribuent à faire apparaître cette libération finale : au décasyllabe initial (qui réapparaît au vers 15 pour introduire les éléments visuels et olfactifs) succèdent en effet d'autres mètres (octosyllabes, hexasyllabes). Les rythmes impairs contribuent à alléger la lecture et alternent ou jouent avec les constructions paires : le pentasyllabe du vers 20 est, en effet, suivi d'un vers de quatre syllabes puis d'une unité de deux avant que le poème ne s'achève dans un mouvement

ouvriers qui chantent au travail -> Bruits (qui rythment la journée) valorisés -> sonnerie des cloches distinguées comme "hymnes solennels", idée de grandeur et de noblesse. Vers 4 : "Leurs hymnes solennels emportés par le vent" Lenteur du rythme, régulier. Les mots en eux mêmes sont longs (solennels, …) On peut noter une assonance en [â] ; de plus, il est à la rime. 2) La création d'un univers magique : Métamorphose (au cours des vers) Paris réel -> Paris imaginaire, féerique, onirique

2 – Les activités Paris→ ville qui travaille : proposition subordonnées relatives : « qui chantent et qui bavarde » (v6) qui est aussi une personnification→ renvoie au bruit, àa l´activité des usines de l´industrie. Rythme régulier du v6: 6/3/3 → Rythme de l´usine est constant, monotonie de l´act. Industrielle, travail à la chaine -Vie quotidienne: « lampe à la fenêtre » (v10), « mansarde » (v5) -Agitation sociale et politique : allégorie ds: « Émeute » (v21) → mis en valeur

lexical sur la nature. Matérialité du texte : 4 strophes 2 quatrains Disposition de type croisée (ABAB CDCD) 2 tercets Disposition de type suivie et ensuite croisée (EEF GFG) Alexandrin (12 syllabes) Rythme assez lent (dû à la tristesse du poème et des mots employés) Les rimes Qualifiée de suffisante (reprise d'un groupe constitué d'une voyelle et d'une consonne) Rimes féminines et masculines (assonances et allitérations) sont alternées

Développement 1. L’influence de Pétrarque L’amour : L’importance prêtée aux sentiments que ressent le poète est d’abord montrer au vers 3, car Amour est écrit avec Majuscule et sans déterminant, cette allégorie met le sentiment sur un piédestal. Le rythme renforce les sentiments exprimer par du bellay. Par exemple au v. 7 « j’aime j’adore et prise » c’est une gradation, ça donne l’impression que l’auteur aime 3x plus, il insiste. Le lyrisme : on le voit avec 4x l’emploie de la première personne du

l’indifférence ou même l’hostilité que sa cause rencontra ici et là, devant la précarité de son sort (voir “Tendre comme le souvenir”, pages 493-495). Ce petit lied présente des vers d’allure verlainienne, sans rien eux «qui pèse ou qui pose» bien que le rythme ne soit pas impair. Par leur modestie spontanée, ils suggèrent une image du poète non moins attachante que celle que peuvent faire miroiter ses pages les plus audacieuses. On y trouve par deux fois, et dans les mêmes circonstances, le verbe «pleurer»

 creusant le récit dans le passé. • Cette scène est pathétique de par :  →L’allitération en [p] suggère le caractère pesant, le pas lourd de l’oiseau.  →Les  allitérations  en  [g],[k] traduisent  une  scène  brutale,  une  sérénité  rompue.  Le  rythme  du  v.10  est d’ailleurs heurté 1-5-4-2.  →tortures morales et physiques : mime, agace. CB explicite un récit pathétique,pour en faire une parabole,et donc l’allégorie de la condition du poète  II- Parabole du poète-oiseau A) Ce poème es

des phares, sont un prisme merveilleusement propre à amuser les yeux sans jamais les lasser. Les formes élancées des navires, au gréement compliqué, auxquels la houle imprime des oscillations harmonieuses, servent à entretenir dans l'âme le goût du rythme et de la beauté. Et puis, surtout, il y a une sorte de plaisir mystérieux et aristocratique pour celui qui n'a plus ni curiosité ni ambition, à contempler, couché dans le belvédère ou accoudé sur le môle, tous ces mouvements de ceux qui partent et

que la pièce avance et à un moment donner elle ralentie encore pour repartir ensuite, donc ca monte en crescendo pi ensuite redescendre en décrescendo. Ce que je remarque avec la musique c’est qu’il n’y pas vraiment de mélodie, la musique suit le rythme des danseurs sans ordre précis auquel s’identifier. Dans cette danse les danseurs jouent beaucoup avec leur espace corporel et en faisant plusieurs changement de niveaux haut lorsqu’ils font des portés, bas lorsque le garçon ramène la fille vers le

pour donner une idée de hasard. Nous ne sommes pas dans le concret mais plutôt dans le vague/l’abstrait « ce lieu » on ne sait où il se trouve. Il y a une répétition au vers 8 : «soit », « soit» on voit alors une symétrie de la construction, et un rythme ternaire « Soit- de bien, soit de mal, j’écris à l’aventure », l’auteur à une volonté de régularité pour montrer qu’il écrit régulièrement de la poésie. Pour le poète écrire de la poésie est une pratique quotidienne. b. La poésie lyrique