Rythme circadien

Introduction La poésie, en sa définition propre, est un art littéraire. Elle combine les sonorités, les rythmes, les mots de langue pour évoquer des images ; elle suggère des sensations et des émotions. En sa création, il y a des siècles et des siècles, la poésie avait pour nature le lyrisme, elle était destinée à être chanter. Au fur et à mesure des époques, cette fonction a évolué et la poésie à toutes sortes de genres. Ainsi, la définition même de la poésie varie selon les auteurs, les époques

liberté de son écriture poétique. C’est la raison pour laquelle il entre dans l’alcool et l’utilise en même temps pour soigner les plaies du passé. Par ailleurs il apparait clairement que le rythme n’est pas à l’abri de cette ivresse générale. En effet, le poème avance dans son premier quatrain à traves un rythme lent qui s’illustre à travers un premier vers long alourdi qui traduit l’état du poète. Le poète est entrainé dans un mouvement ralenti produit par l’ivresse qui fait trembler son verre jusqu’à

| | |Pour répondre, nous observerons d’abord le rythme, puis nous étudierons les procédés employés pour | | |créer une évocation pathétique et enfin, nous montrerons que le poème est un hymne à la fraternité. | |Axes de lecture |1-Le Rythme, révélateur de l’émotion du poète | |

infirme. L’assonance en « en-an » [an] (son) est associée à des mots dont le sens est négatif ou péjoratif et (en [ke] puis [gue)] à cause des sonorités désagréables. • Le mouvement des phrases : Six phrases dont trois pour la troisième strophe. Le rythme est haché. 3) Les symboles d’une chute : La chute du poète est suggérée par des symboles : il perd sa liberté, devient ridicule quand il est en dehors de son élément et Baudelaire souligne par la que le poète doit s’exiler, ne peut pas se mêler

1er compte - rendu * INTRODUCTION : Objectif : parler des compétences et des nouveaux programmes. I) Animation II) Types de compétences III) Séquences autour de « Rythme et Temps » faites dans des ZEP lors de stages de pratique accompagnée. Nouveaux programmes : - Aboutissement, bien fait - Utilisation d’outils intéressants - Obligation de trouver un équilibre : on n’apprend pas sans déstabilisation Arrêté ministériel 

quelqu’un , il emploie « tu » V.25, V.29 etc, il interoge cette personne «  Qui donc es-tu » V.25, « Qu’as-tu donc fait pour me suivre sur terre » V.29. Le poète doit en effet connaître cette personne car il la tutois. De plus, il y a un changement de rythme : à la 5ème stophes, on passe d’octosyllabes aux décasyllabes, la ponctuation devient forte, mime les émotions qui s’élargissent, quatres questions sont posées à la suite. Le poète essaye de savoir qui est cette personne, cette présence qui le suit

mesure que montait le soleil », « le soir tombait » pour la progression. La précision, les détails, techniques et réels sont notamment des couleurs rappelant la peinture comme « vertes », « jaunissent », « les poteaux télégraphiques », « brune », le rythme ternaire insiste sur la couleur verte : « verdâtre », « vert tendre », « velours vert », « le vert jaune du blé », « le vert bleu de l’avoine », « le vert gris du seigle », « rouges des trèfles incarnats », « fraîche à l’œil », « rose », « les champs

d'adjectifs: « l'honnête » V6c)Les topos la plainteTon :Répétition qui crée une certaine lassitude, monotonie,image représentation d'une scène à la cour, en ce sens il bouleverse le sonnet, le sonnet traditionnellement chante l'amour courtoisd) un rythme particulier, une structure remaniée, revisitée par Du Bellay, deux alexandrins se suivent; topographie Instabilité et indécision qui se traduise par la forme du sonnet.par la mise en avant des « ET »; « OU Bien »; la satire les règles du Sonnet ne

"première" associée à "jeunesse" puis "elle meurt" → place à la césure, en place forte. Rupture avec "mais" (v.7) * briéveté de la vie dont il faut profiter, suggérée par la forme courte et codifiée du sonnet * le rythme binaire (v.2 - v.5) = vie et équilibre. Rythme au contraire saccadé (v7 – v.8) suggére la lente agonie de la rose + allitérations en [t] et [d] (v.7-8-11) ≠ assonances en [o] et [e] beaucoup plus douces * Invitation implicite à profiter du temps présent (épicurisme)

concrète. L’emploi de mots savants (stellaire, éructer) montre une recherche et permet au lecteur une ouverture sur les mots. On pourra aussi remarquer un recours au procédé épique comme l’amplification (citation de 3 noms de montagne, avec un effet de rythme croissant). Une éloquence voisine avec celle de l’humour éclate au dernier paragraphe. Ponge quitte son lecteur avec une certaine désinvolture : brisons-la qui signifie arrêtons ici, mais aussi « rompons » ce pain pour la manger. Il y a alliance d’un