Rythme nycthéméral

déroulement du poème. a) Indice personnel "je" = poète (vers 15 et 23) b) Indice personnel "tu" : Apollinaire s'adresse directement à lui à la deuxième personne du singulier (vers 7). c) Indices temporels : "Ce matin" = permet l’évocation du rythme et du quotidien de la rue industrielle. * Tous les repères sont brouillés, d'autant plus que la ponctuation est inexistante → décalage constant, effort de représentation de la part du lecteur.

nous le montre la spécificité des rimes donnant un aspect musical au poème. Nous pouvons, en effet dire que ce sonnet possède un aspect musical. Tout d'abord nous avons constaté que ce poème est fait en alexandrins donnant ainsi un certain rythme, une certaine cadence qui reste la même tout au long de l'œuvre. De plus les rimes embrassées comme « poussière », carnassière » ou encore « grossière », « lumière » donnent un effet de répétition et un aspect assez musical à l'oreille comme une sorte

objets inutiles qui ne lui appartiennent plus et elles semblent abandonnées brisées ''à côté d'eux''. La longueur de l'adverbe ''piteusement'' permet de suggérer la durée du supplice enduré. L'allitération en b (beau bec brûle boitant) ainsi que le rythme heurté du vers 12 imitent la démarche chaotique et boiteuse de l'oiseau. Toute la deuxième et troisième strophe multiplient d'ailleurs les sonorités déplaisantes comme l'assonance en-eu (piteusement, honteux eux, veule, gueule), les allitérations

Dissertation : phrase Mallarmé. Ce n'est pas avec des idées qu'on fait des vers, c'est avec des mots. I/ Thèse : poésie=mots 1. Le poète, un artisan dont la matière première est le mot (cf 3e) 2. La musicalité grâce aux figures de style : rythme, assonance, allitération, accumulation, gradation, anaphore (Mignonne allons voir si la rose, Je n’ai plus que les os, la nuit de mai,…), création d’une universalité, des impressions « symbolisme » : le sujet n’est plus qu’un prétexte ? origine : les

est un invitation à ne pas céder à l'artifice mais à décerner dans son intérieur le murmure de son cœur. Ce bercement, cet assoupissement nécessaire de la conscience pour écouter le murmure de son cœur est déjà perceptible dans la monotonie 1/3/3 du rythme des vers " Fer/me tes yeux/à demi ", " Croi/se tes bras/ sur ton sein ", " Chas/s(e) à jamais/tout dessein ". En ajoutant le temps et la répétition nécessaire au message amoureux être persuasif Verlaine veut probablement rappeler qu'il n'avait jamais

sur la place de l’homme face au temps qui l’entoure, et nous montre que la perception entière de notre monde dépend du point de vue depuis lequel on l’observe. Pour l’artiste le monde que nous observons n’est qu’illusoire, il possède son propre rythme et son propre espace temps, la place de l’homme dans ce mécanisme n’est qu’éphémère.

des déformations : les poteaux sont « grimaçants », les gares sont « lézardées » et « obliques », comme un effet de flou sur une photographie. • Le rythme des vers eux-mêmes est mis à mal : longueurs toujours différentes. C’est le mouvement de torsion de l’accordéon dont parle Cendrars. c. La syntaxe et le vers en mouvement • Le rythme des vers en effet calqué sur les arrêts et les démarrages du train, effréné (les « roues vertigineuses »). • Cendrars juxtapose les mots et les propositions

« L’ENNEMI » 1. Résumé : Ce poème raconte différentes phases de la vie du poète soit sa jeunesse, son présent et son futur. Son passé se résume à une jeunesse sombre qui a peu de fois été agréable. Dans le présent, le poète tente de créer de nouveaux souvenirs, mais sont passé a tellement été désastreux qu’il est difficile, pour lui, de passer à autre chose. Concernant son futur, il se demande s’il pourra enfin vivre comme il rêve de vivre. Pour lui, le Temps est un ennemi qui le rend désespéré

 » (v.8) - Mouvement symbolique: La théorie des correspondance, qui va au delà des apparences, influence significativement le mouvement symboliste. Pour les symbolistes, le monde réel n’est que le reflet d’une surréalité supérieur. - Rythme et sonorité: Ce poème est un sonnet composé d’alexandrins qui donnent une impression d’harmonie. Il est divisé en deux hémistiches égaux 6/6. Les assonances et allitérations (v.5) sont semblables à des échos: « Comme de longs échos qui

|-mères désolées |-soleils si purs | Le mot « tant » revient trois fois, il marque un rythme ternaire. ( Il y a une vision hyperbolique, anaphore de l’intensif « tant » et de son rythme ternaire. On peut remarquer une opposition entre les enfants, faibles et chétifs ; et leurs pères, forts et glorieux. Enfin on voit une autre opposition entre l’Empereur et les autres