Rythme nycthéméral

périphrases (« Chastes buveuses de rosée, sœurs des corolles vermeilles, filles de lumière, guerrière, O généreuses ouvrières, Ailes d’or et flèches de flamme ») qui indiquent la douceur, la pureté, la bonté ouvrière. Mais dans un 2ème temps, le rythme s’accélère : les vers sont plus saccadés, on trouve des tournures exclamatives de phrases qui donnent à ce registre une tournure épique comme une armée liée contre l’homme. Ensuite on a le discours des abeilles qui correspond aux strophes 4 et

du poète, puisque le mot «  flamme » suggère l’amour. La vision du poète est vacillante et incertaine puisque le vent est « trembleur ». Le mouvement vibratoire est renforcé par les sonorités : allitérations en v/f, et liquides l et r ainsi que le rythme ternaire du 1er vers. L’ivresse ne fais pas que débuter et clore le poème : elle est présente au cœur du poème et ne touche pas que le poète : «  Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent / Tout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléter »

et qu’il n’a nulle part ailleurs où aller (p.18). Ce lien est indestructible. B. Une pièce qui semble littéralement figée dans le temps - Les multiples didascalies « Un temps. » freinent délibérément la progression du dialogue, dont le rythme est pourtant vif. On a l’impression que finalement, la pièce ne va jamais finir. - Certaines répliques viennent confirmer cette immobilité temporelle, comme « C’est une fin de journée comme les autres (…) » (p.26) et « Pourquoi cette comédie

la venus et le désespoir et la solitude du bouffon La musique , la musique peut aussi l'abandonner à la mélancolie. Nous avons vu que Baudelaire, fidèle à sa conception des correspondances , nous donne une idée du mouvement qui suggèrent le rythme et le lexique. Le poète-navire, « bateau ivre » avant la lettre, s'abandonne au flot musical en une aventure maritime contrastée qui est l'image de sa séparation entre Idéal et Spleen! Parfum exotique On retrouve ici les caractéristiques de Baudelaire

à se sentir concerné. De plus, le poète s’inclue dans le « nous ». Le lecteur comme l’auteur sont inclus dans ceux qui ne sont « ni bottés ni gantés ni bien élevés » (allitération : répétition du « é » et anaphore du « ni » qui va renforcer le rythme régulier de ce vers). Il s’agit en effet avant tout dans ce poème de faire naître l’espoir. Le poète parle avec certitude, au présent de l’indicatif, dans des phrases affirmatives : « c’est de nouveau le matin » vers 32, « la force idiote a le

formes géométriques. Son travail s'applique à la peinture, la fabrication textile, la céramique… L’interprétation picturale de Sonia Delaunay va alors donner une sensation visuelle et colorée à La Prose du Transsibérien. Elle va traduire en couleur le rythme et l’émotion du poème. Ainsi un dialogue opère entre les deux artistes et Sonia Delaunay souligne par la couleur ou/et la forme la thématique du poème ou crée un effet de contre-point. C’est pourquoi tout en prêtant attention à la composition picturale

douloureux (v.9) - Tout ce qui constituait le poète est maintenant parti - Réponse aux questions angoissées - Les vers 9-10-11 ne contiennent qu’une proposition : composé de beaucoup de termes monosyllabiques : vers rigide, rythme heurté - Le rythme heurté retranscrit la souffrance du poète - Le destin ne lui sourit plus

le poète. Mais encore, une communion avec le monde se crée, de l’aube «  le grand tapage matinal » au ciel «  astres ». Le poète crée aussi une métaphore à l’éveil du monde «  le clair de ma vie » « éveillait » » se levaient « Enfin, il emploie un rythme ternaire « tous mes » et utilise des pluriels. Ensuite, l’être aimée est également associée au voyage. En effet, elle se fait identifier comme un être servant à élargir l’univers du poète. Elle s’associe à différents lieux, « navire » « routes »

Fonction linguistique : donne des renseignements sur le langage, la langue. Fonction de contact : assure le bon passage d’un message. Fonction poétique : attire l’attention du lecteur sur soi-même, sur les mots, les sons, le rythme, la forme des lettres. Allitération : Retour des mêmes sons ou des mêmes consonnes. Ex : Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ? Racine, « Andromaque » Assonances : Répétition de voyelles. Ex : Tu

La Courbe De Tes Yeux La Courbe de tes yeux Nature du texte : Poésie Forme : Vers / Prose Type : sonnet, Ballade + rimes > sonorité + alexandrin > rythme Thème Dominant : -Amour - Idée conductrice > regard de la femme Registre : Lyrique Objectifs de l’auteur : Déclarer son amour Enjeux : Thème du regard Thème de l’amour Procédés essentiels aux services de ces enjeux : I / Thème du regard :