Rythme nycthéméral

L’auteur n’arrive pas à stopper le temps - Vers cours exprimant la lassitude (fatigue morale/ou physique) b) L’abandon de Verlaine - Il se laisse porter par le vent pareil à une feuille morte - « deca, dela » = indécision, parallélisme de rythme et de sonorité --) passivité - Enjambement systématique = errance du poète - Fuite du temps - Nostalgie liée aux réminiscences qui le fait pleurer - Passivité perceptible dès le premier sizain : « des violons … blessent mon cœur » = S+Vb+COD

sens : temps météorologique et temps chronologique. La suite des adjectifs renforce l'idée que l'amour aussi merveilleux « si vrai, si beau, si heureux, si joyeux » soit-il ne résiste pas à l'épreuve du temps : pour marquer la rupture, pour casser le rythme binaire, Prévert ajoute un cinquième adjectif « dérisoire » annoncé par la conjonction « et » ,qui au lieu d'additionner la liste des précisions mélioratives les soustrait et les dévalorise . Une dernière opposition « tremblant » et « sûr » associée

de plus un mot familier est utilisé « goure » cela affirme que la personne a qui il s’dresse est une personne nettement plus jeune que lui. . Pour s’exprimer l’auteur utilise le rythme de la musique il fait donc le poème d’une musique. Il y a l’utilisation de plusieurs anaphores ce qui est tout a fait normale pour le rythme d’une musique, de plus il rajoute une écriture abréger dont il fait une liaison « xa va xa va xa » répété aussi au ver 21-22 et qui veut dire : « que ca va » donc il utilise le

l'irréversibilité du destin : « La vie s'écoule ».   II/ Une poésie originale   1/ Un poème en vers libres   Aucune composition artificielle, aucune rhétorique dans ce poème en vers libres où l'absence de ponctuation met en évidence la valeur fondamentale du rythme, son pouvoir de suggestion. Le poème est composé de quatre strophes très différentes qui correspondent en somme à quatre actes qui scandent le poème. Il s'en dégage au contraire une impression de spontanéité que le clin d'œil des savantes « nixes »

appelé Le Spleen de Paris, a connu une publication posthume en 1867. Après les Fleurs du mal (1857), c'est la dernière tentative de Baudelaire pour accéder à uneécriture libre et poétique. S'il se libère des contraintes de la rime, le poète se donne un rythme, une structure proche de la poésie. Il parvient à son rêve esthétique par la rencontre magique del'insolite et du quotidien, sous la forme d'un récit qui illustre une réflexion sur la nature humaine : la contemplation peut conduire à des actes de

insultante v 19 -contraste noirceur napoléon/abeilles lumineuses (Tibère + Charles 9) -abeilles scandalisées d’être prises comme symbole par un être cruel(imposteur). Napoléon= vice, abeilles= vertu III. Un merveilleux épique -octosyllabe brève= rythme précipité suggère charge guerrière, série de

comme la femme Complice du poète dans la séduction amoureuse « c’est pour assouvir /ton moindre désir/ qu’ils viennent du bout du monde » (v. 32-34) « Le monde s’endort » (v. 39) Rôle de la musique par rapport au propos Rythme Constance dans le rythme Effet Alternance de vers : deux courts (5 pieds) et un long (7 pieds) ; même alternance rapide / ralenti La musique soutient les mots comme pour séduire encore davantage. La musique berce la femme pour la séduire comme

retour de la mélancolie, associée au crépuscule et à la nuit. Comme le long chant modulé de l’oiseau, la phrase du poème passe par des variations thématiques qui confinent aux lignes mélodiques d’une chanson triste. Les tonalités se succèdent au rythme de la sensibilité du poète. b) Les différentes mélodies Le poème s’ouvre sur l’expression d’une souffrance, d’un mal être illustré par les termes suivants : « criards, émoi, rumeur mauvaise ». Les souvenirs comparés aux oiseaux sont porteurs

l’extrait est marqué par un rythme qui manque d’harmonie et qui renforce ce désespoir le rythme 3/5 pour les octosyllabes. Les manifestation physiques et morales de cet accablement de ce désespoir sont également présente avec « des larmes sur mes joues » « plié par un coup soudain » On voit ici une réification (contraire de personnification on considère un homme plus comme un objet). Comme le montre d’ailleurs le rythme ternaire « je suis brisé, las et triste » un rythme ternaire qui montre lui aussi

je vais travailler de mon mieux pour atteindre les objectifs  4 - j’ai besoin de me détendre a) j’attends les vacances avec impatience pour pouvoir me reposer b) comme je travaille par à-coups, j’ai des baisses de rythme de temps à autre c) après l’inventaire de cette semaine, j’ai besoin de me détendre 5 - quant à mon ardeur au travail ... a) rien de tel qu’un ultimatum pour m’obliger à travailler