Rythme nycthéméral

et pense Qu'il serait bon d'attendre quelque temps. Pendant ce temps, les banlieues attendent Le verdict, mais un élément non prévu de Mc Solar vint stopper ce suspense en Sortant une musique , s'inspirant des deux Rappeurs par le rythme et mit les banlieues D'accord qui le proclamèrent roi de la rue. Rohff, choqué de cet acte, était perdu. Quant à Booba, le nouveau Duc de Boulogne, Malgré sa gentillesse, il fut en rogne Envers le «Poète», grand et puissant à présent

sang rappelle peut-être le Jardin des Oliviers où le Christ fut arrêté avant d'être crucifié. Ce vers final suggère alors la souffrance du poète.   Conclusion Ce calligramme devient donc un poème-objet : importance de son aspect visuel. Mais le rythme et les jeux phoniques restent majeurs. Apollinaire parvient à concilier modernité de son écriture et tradition d'un thème élégiaque.

l’analogie sur laquelle fonctionne le texte est présente, par la ressemblance phonique entre Léon et Lion. Un dialogue imaginaire s’inscrit entre l’auteur et Jamet. La reprise anaphorique intercalée de « je ne t’écris » et « tu vois/sais » construit un rythme plus rapide. Le poète prend en charge la réponse de son ami : « tu » renvoie à la réponse supposée de son ami (« tu en sais prou, tu en sais plus ») et ce procédé montre la complicité des deux hommes. Le vers 12 introduit un note d’humour (« tu

bord du Rhin. Il fait leur stéréotypes avec ''les filles blondes au regards immobile et aux nattes repliées''. Le poète nous rejette du monde fantastique avec les chants du bateliers. Et il rejette aussi la première strophe avec les sonorités et le rythme ce qui marque une rupture avec la deuxième strophe. La première strophe à un mouvement de chute et la deuxième un mouvement de remonter se qui peut faire penser au poète qui sombre dans la dépression puis qu'il remonte la pente. Le poème commence

notamment grâce à l'anaphore une voix et à l'allitération en v, elle fait un peu penser à la lumière des étoiles, elle a l'air de venir d'une source de vie inépuisable, de rappeler un espace harmonieux, elle est perçu « comme un tambour » avec un rythme régulier. C'est la pulsation de la vie. - dans la deuxième strophe l'image sombre du tombeau s'oppose au message dynamisant des vers 6,7 et 8. le tombeau est probablement une métaphore des temps de guerre avec leur obscurité et leur angoisse ou

décrites plus haut, réfère à la tradition bucolique, attachée au lyrisme. Aux images et aux connotations, s’ajoutent les sonorités et le rythme, qui font du poème un chant, qui rend compte, au-delà des mots, par les sensations, de l’amour exprimé : des allitérations en [m] du vers 1, la répétition des sonorités en [ar] dans le rythme binaire au vers 6, les rythmes binairesdes vers 2, 5, 9 et 10, rendent compte de la douceur et de l’harmonie de cet amour. Enfin, le lyrisme permet un nouvel échange,

européennes : Resserrement sur Paris mais le mouvement demeure : avec la gare, les immigrants qui vont en Argentine, Jersey, les fétiches de Guinée et d'Océanie... c.Enfin éclatement du vers traditionnel : des vers irréguliers mais à la fin un rythme un peu perceptible : alexandrins des v.40 et 41 des rimes « libres », souvent suivies, quelques fois croisées (29 à 31) quelque fois assonance (15 et 16, 17 et 18) des strophes inégales et les brouillons montrent qu’Apollinaire a accentué cet aspect

doute. Il introduit le souhait du poète d’avoir une liaison avec cette jeune fille. On remarquera du point de vue de la syntaxe les points de suspension de la dernière strophe qui peuvent suggérer la tristesse du poète face à son espoir déçu. Le rythme entrecoupé du dernier quatrain vient souligner la mélancolie qui se dégage de cette strophe. On remarquera les rimes des mots « fille/brille » qui soulignent la luminosité et la vivacité de la jeune fille dans la première strophe ainsi que les

de l’adverbe « plus ». - L’anaphore (reprise de mots en début de phrases successives pour créer un effet de renforcement), le rythme, les énumérations créent un rythme de litanie (prière dite au cours de l’office, certaines formules étant répétées par l’assistance) et contribuent à évoquer le désastre d’une ampleur sans pareille : un village rayé de la carte. - Le rythme lancinant et les sonorités contribuent à traduire le désastre qui s’est abattu sur la ville ainsi que le cri de honte, de haine

nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Plan : I. Un poème traditionnelle, proche de l'élégie a) Apparence d'une chanson > Alternance couplet / refrain : Procédé proche d'une chanson, crée un rythme > Quatrain : 10/4/6/10, dislocation du vers : 4/6 → (10/10/10) > Distique, Heptasyllabe : Vers impaires > Rimes plates et féminine : versification assez classique b) Mélancolie et tristesse > Diérèse sur « violente », Insiste sur la douleur