Rythme

dépeint comme « Si violent/ Si fragile/ Si tendre/ [et] Si désespéré » dans le poème « Cet amour » (2-5), avec un style simple et concret mais éloquent et fort en même temps. Il souligne l’aspect aigre-doux de l’amour à travers des choix des mots, de rythme, et l’utilisation des métaphores dans tout le poème. "Sables mouvants" Démons et merveilles Vents et marées Au loin déjà la mer s'est retirée Et toi Comme une algue doucement caressée par le vent Dans les sables du lit tu remues en rêvant

de nombreuses assonances en « b » dans les mots « bronze », « baissées », « brumeux ». Ce procédé alourdit et durcit la lecture du poème. En effet, les mots contenant la lettre « b », « p » ou « t » rendent les sonorités plus pompeuses. Ainsi, le rythme des vers est ralenti, ceux-ci paraissent alors plus longs. Cet effet permet au lecteur de prendre le temps de songer à ces soldats trop jeunes pour manier une arme. De ce fait, le récepteur de ce message se sentira concerné et sera ainsi convaincu

serpent représente souvent la femme. Il invite à une idée sensuelle, harmonieuse et effrayante ! C’est aussi une figure biblique très intéressante, car il sous-entend la tentation et le diable. La danse donne le rythme au poème. L’on constate que les vers sont courts et ainsi plus rythmés. Analyse générale Le poème est composé de 9 strophe (le chiffre 9 représente le purgatoire, les enfers dans la Bible). Les rimes d’octosyllabes sont féminines et celles de pentasyllabes sont masculines. Ce poème

également noter la régularité des versifications avec les alexandrins et les hexamètres. On peut également remarquer l'alternance rimes féminines masculines, les labiaux: “flot fut attentive et la…”. On peut également remarquer les “r" qui scandent le rythme des rames. On a en plus une allitération en s :”soir t'en souvient-il” avec les nasaux, ce qui met en place l'harmonie. La diérèse “harmonieux” en milieu de l'hexamètre renforce cette harmonie et force le rameur à ralentir. Le lieu est en plus silencieux

dans le temps : le premier quatrain est une description de la vie monotone d'une femme âgée. Le poète insiste sur l'âge (« bien vieille ») et les occupations calmes de la femme en question (« dévidant et filant » ; les participes présents créent un rythme lent). L'évocation de la fin de journée (« au soir ») fait penser à la fin de la vie. L'oppositon futur / passé (« serez », « direz » / « célébrait » (la femme était la muse du poète), « j'étais ») souligne la différence entre la beauté (propre à

la mort, tentative de faire comprendre sa jeunesse éphémère, pr qu’elle cède à son amour.    C. La description de la vie d'Hélène  Réaliste : contexte précis (v.1) chandelle : chère, haut niveau de vie. Présenter seule, ac une vie monotone (v.2/3) rythme alexandrin et hémistiche : vie trop bien réglée

On répond que c’est la prose et on ajoute que la différence entre poésie et prose est que la première se fonde sur la métaphore. Mais la prose, elle aussi, peut recourir à la métaphore. La différence réside-t-elle alors dans l’imaginaire ou dans le rythme ? La prose n’en est pas exempte. En fait, on ne définit pas de la sorte la poème mais le poétique. La vraie question est de savoir comment le poétique se réalise dans le poème. Je pense que les images sont une condition nécessaire mais non suffisante

I-DEFINITION Le texte poétique utilise un langage qui s'adresse moins à la raison qu'à l'imagination et la sensibilité. Le texte poétique se caractérise par une mise en page (disposition particulière), une mise en images (figures de style) et/ou une mise en rythme. (des jeux sonores) mais pas forcément les trois en même temps. Il existe des poèmes en vers (poèmes « classiques ») ou en prose (comme n’importe quel texte sauf qu’il comportera davantage de jeux sur les mots ou les sons…) II-LA MISE EN PAGE

nature magique. Hugo, dans son poème, nous présente tout d’abord un paysage mélancolique, avec le champ lexical de la nature, « le grand bois », « la colline », « foret », « pluie », dans un ton de couleurs tristes « jaunissant », « rouillé ». Le rythme est lent, avec peu de ponctuations. On remarque le champ lexical de l’automne, « le grand bois jaunissant », « l’automne décline », « dore seul la colline », ce qui connote la mort. Le poète exprime un désir de solitude, avec l’emploi de l’impératif

occasionnel, à temps plein ou à temps partiel (contrat sur planning). C’est un lieu spécialement conçu pour le confort, l’éveil et le développement du tout petit et du jeune enfant. Une aile composée de 5 chambres est dédiée au repos afin de respecter le rythme de sommeil de chaque enfant. Dans la pièce de vie centrale plusieurs espaces sont aménagés : - un coin cuisine - un coin garage et établie - un coin calme - un grand tapis de jeux - un espace dédié au tout petit délimité par une barrière afin