Règles Prudentielles Régissant Les Assurances

financement islamique. II LES PRODUIT DE LA FINANCE ISLAMIQUE La finance islamique et la finance conventionnelle ont la même finalité qui est de proposer des solutions de financement qui répondent aux besoins des investisseurs. Cependant leurs règles de fonctionnement et leurs principes sont différents. Si la finance conventionnelle est axée sur l’optimisation du couple Risque/Rentabilité, la finance islamique ne considère pas la profitabilité comme seul critère de décision. Le nombre de produits

des banques. Les travaux anglo-saxons du COSO (Commitee of Sponsoring of The Treadway Commission) le définissent comme « un processus mis en œuvre par la direction générale, la hiérarchie, le personnel d’une entreprise, et destiné à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation d’objectifs entrant dans les catégories suivantes : réalisation et optimisation des opérations, fiabilité des opérations financières, conformité aux lois et règlements en vigueur » (Pigé, 2001, p. 14). Outre les

| |2 - Litiges portant sur un meuble ou un immeuble | |3 - Assurances garantissant les accidents de toute nature | |4 - Action directe de la victime | |5 - assurance crédit | |

financières des opérateurs économiques nationaux avec leurs homologues étrangers. A ce titre, la réglementation régissant ce type d’opérations diffère de celle appliquée aux autres opérations classiques de la banque. La spécificité de la réglementation : L’action déjà entreprise visant à adopter le régime d’économie de marché d’une part, et les exigences du contrôle des changes et des règles et usances internationales d’autre part ont nécessité l’institution d’une réglementation bien spécifique adéquate

voie de modification du Règlement général de l’AMF. La loi de sécurité financière du 1er août 2003 a encadré la profession de conseiller en investissement financier, mais cette réglementation ne s’applique ni aux banques, ni aux intermédiaires en assurance, ni même aux entreprises d’investissements dans le cadre ou ils sont soumis à une réglementation spécifique au titre des opérations qu’ils réalisent. Par ailleurs, une institution bancaire qui fournit des services d’investissement rentre dans le

représente une priorité essentielle. Elle doit permettre d’accroître la transparence et d’améliorer la gestion du risque de contrepartie. Si la difficulté réside dans les détails, le principal défi pour les régulateurs consiste dorénavant à finaliser les règles et les incitations qui permettront d’atteindre ces objectifs. Nous devons trouver le juste équilibre afin d’inciter suffisamment les intervenants de marché à mieux gérer leurs risques tout en évitant de faire obstacle à l’innovation financière ou de

apparentes des acteurs sur le secteur. [pic] I. L secteur bancaire à l’international : Afin de régler les modalités des réparations de guerre imposées à l’Allemagne par le traité de Versailles, la création de la Banque des Règlements Internationaux a vu le jour. Cependant, son rôle ne s’est pas limité à la supervision des dédommagements payés par

principal coût étant celui de l'administration des comptes et des services associés. Les comptes fournissent également une plate-forme pour vendre des services financiers plus rentables tels que les fonds communs de placement islamiques et Takaful (assurance islamique), fournis par la banque islamique ou par des tiers. Dans ce dernier cas, le tiers paiera des frais à la banque islamique pour ses services.La technologie de gestion des données peut réduire le coût de gestion des comptes de transaction

❖ Président du conseil d’administration : Mohamed El Kettani ❖ Slogan : Une banque nouvelle ❖ Capital : 1.929.959.600 Dh ❖ Siège social : 2, Bd Moulay Youssef, Casablanca ❖ Effectif : 7000 ❖ Filiales : Wafa assurance • Wafasalaf • Wafa Immobiler • Wafa Gestion • Wafabail • Attijari Factoring • Attijari Tunisie • Attijari Sénégal 2/ Historique : La BCM est née en 1911 à Tanger, elle devient

Economiques et Sociales de Rabat-Agdal, Université Mohamed V, d’avoir eu la gentillesse de siéger parmi les membres du jury pour juger ce travail de recherche ; Monsieur Slimane ECHCHIHAB, Directeur Général Adjoint, pôle Bancassurance à Wafa Assurance, de m’avoir fait l’honneur de siéger parmi les membres du jury pour juger ce travail de recherche ; Monsieur Mbarak RBIB, Directeur à la Société Centrale de Réassurance, d’avoir eu l’amabilité de siéger parmi les membres du jury pour juger ce